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[MAJ] Critique du roman Reign of the Empire - The Mask of Fear
 
[Critique] Ca vous dit un podcast sur ce roman ?
03/04/2025, mise à jour le 14/04/2025

Nos amis du podcast Faucon Millenial nous ont invités pour venir discuter du roman et essayer de vous convaincre de le lire ! L'occasion aussi d'analyser un peu plus en profondeur le roman.

Un épisode à retrouver juste en dessous, avant une prochaine grande annonce à ce sujet !

Bonne écoute !


J'espère que vous allez bien aujourd'hui car le livre dont on va parler a de quoi nous déprimer.

Il y a quelques mois est sorti Reign of the Empire - Mask of Fear. Premier tome d'une trilogie impériale ce roman suit principalement trois personnages, Mon Mothma, Bail Organa et Saw Gerrera.

Un roman glaçant, miroir de l'époque troublée qu'on vit aujourd'hui.

REIGN OF THE EMPIRE - THE MASK OF FEAR

Avant la Rébellion, l'Empire régnait.

"Pour garantir la sécurité dans la continuité et la stabilité, la République sera bientôt réorganisée et deviendra la première puissance galactique impériale ! Pour une société fondée sur l'ordre et la sécurité !"

Avec un seul discours et un tonnerre d’applaudissements, le chancelier Palpatine a fait s’effondrer l’ère de la République. A sa place s'est élevé l'Empire Galactique. Partout dans la galaxie, les gens se sont réjouis et ont célébré la fin de la guerre et les promesses d'un lendemain. Mais ce lendemain était un mensonge. Au lieu de cela, la galaxie a été déformée par la cruauté et la peur du règne de l’Empereur.

Au cours de cette terrifiante première année de tyrannie, Mon Mothma, Saw Gerrera et Bail Organa affrontent les ténèbres envahissantes. Un jour, ils seront trois architectes de l'Alliance Rebelle. Mais d’abord, chacun doit trouver un but et une direction dans une galaxie en mutation, tout en abritant ses propres secrets, peurs et espoirs pour un avenir qui pourrait ne jamais arriver s’ils n’agissent pas.

 

La critique de Lain-Anksoo

 

"Pour garantir la sécurité dans la continuité et la stabilité, la République sera bientôt réorganisée et deviendra la première puissance galactique impériale ! Pour une société fondée sur l'ordre et la sécurité !". Ainsi s’ouvre l’ère Impérial. Mon Mothma, Bail Organa et Saw Gerrera sont encore sonnés qu’ils doivent trouver leur voie dans ce nouveau paradigme s’ils ne veulent pas se noyer. Mask of Fear, premier tome d’une trilogie sur le règne de l’Empire, propose d’explorer la première année du régime.

 

L’extinction, bien trop réelle, d’une démocratie

L’avènement de l’Empire : comment une dictature remplace une démocratie et comment elle sécurise son pouvoir, sont des sujets souvent explorés ces dernières années. Kris Kempshall en a beaucoup parlé dans son incroyable Rise and Fall of the Galactic Empire, tout comme le fait avec brio la série Andor. Un nouveau genre s’invite dans les productions Star Wars, les œuvres politiques. Alors oui on a déjà eu des romans explorant les méandres du Sénat, les alliances politiques permettant de faire passer une loi ou de gagner une élection à l’instar d’un Vent de Trahison ou d’un Liens du Sang. Et bien évidemment, n’en déplaise à certain, Star Wars a toujours été politique notamment via ses sujets traités. Ici on va parler d’une œuvre politique au sens propre du terme, une œuvre qui explicite les dérives d’un régime, sa propagande, sa manipulation de masse et la manière dont s’articule son pouvoir. On ne parle plus de manœuvre politicienne ou sénatoriale mais bien du fonctionnement d’un état autoritaire. La cerise étant que la subtilité n’a plus sa place, aujourd’hui les œuvres deviennent des miroirs clairs, sans détours de notre monde. Une manière pour les auteurs d’allumer l’étincelle de l’espoir.

Donc ce livre parle de politique en temps de crise mais elle revient aussi à l’ADN de Star Wars en étant une œuvre avec un parti pris. Star Wars est par essence politique, Lucas y a dénoncé Nixon et la guerre du Vietnam, puis la guerre du golfe et l’impérialisme américain (pourtant une démocratie). Il est donc normal que même chez Disney avec des films souvent policés, un message politique continue à être diffusé dans les livres où même les séries TV. On comprend assez vite que les mécanismes de l’Empire qu’expose l’auteur sont des évènements qu’on peut rencontrer aujourd’hui dans certains pays du globe. Alexander Freed nous livre donc aussi un roman engagé.

C’est dans ce contexte qu’on retrouve nos personnages.

Face à la mort d’une démocratie nos héros vont réagir chacun à leur manière. Mon Mothma va chercher via la voie sénatoriale à réduire les pouvoirs de l’Empereur. Bail Organa de son côté va enquêter pour le faire condamner pour ses crimes. Là ou Saw Gerrera se prépare déjà à la guerre.

On pourrait presque y voir les trois pouvoirs, Mon Mothma ira du côté législatif, Bail Organa judiciaire, et Saw Gerrera est déjà dans l’exécutif, l’affrontement. J’aurai bien aimé aussi que le roman aborde le contre-pouvoir qu’est la presse, quelque chose de trop rare dans Star Wars, et comment l’Empire la musèle pour en faire un organe de propagande. Pour une prochaine fois j’espère.

 

L’extinction de l’espoir ?

On s’en doute tous nos héros vont vivre des déconvenues dans leur projet. On sait déjà que l’Empire règnera presque 25 ans. En plus d’étouffer la démocratie, Palpatine va souffler les recours traditionnels de Mon Mothma et Bail Organa.

A eux deux ils mènent des actions à court terme, plausibles dans ce qui était encore la République, moins dans un Empire. Toute la partie sur la sénatrice de Chandrilla va se rapprocher de ce qu’on connait déjà dans les romans du genre, comment faire passer une loi. Côté sénateur d’Alderaan, sa partie est la plus faible du livre, sa quête portant sur la trahison de Palpatine envers les Jedi bien qu’intéressante, nous emmène dans une direction peu passionnante qui croisera le chemin de Saw Gerrera.

C’est une mauvaise idée d’avoir fait de leurs histoires une histoire commune dans le roman. Ça empêche d’approfondir leurs missions respectives. Pourtant il y avait de quoi déchainer les passions, que ce soit avec le plan de contingence Séparatiste qu’explore Saw et l’enquête de Bail sur l’anéantissement des Jedi.

L’Onderonien est le seul à déjà miser sur le long terme et ça c’est bien vu. Nos sénateurs eux, doivent d’abord faire leur deuil et c’est le sujet de ce livre. Freed fait un très bon travail, le désespoir ainsi que le stress posttraumatique que vit Mon suite aux actes deshumanisants fait par un régime autoritaire, est palpable. Aujourd’hui ce n’est pas difficile pour le lecteur de se mettre à la place de la sénatrice, à un détail près : à un moment dans ma lecture je me suis dit « à sa place j’aurai baissé les bras », Mon elle se relève et cherchera une nouvelle voie pour combattre l’Empire. L’auteur nous montre ainsi qu’elle femme incroyable elle est et surtout qu’elle leader elle deviendra.

Elle et Bail vont devoir changer leur approche, la démocratie n’existe plus, même s’ils font passer une loi pour renverser Palpatine, ce dernier ne la respectera pas et restera en place. Pour cette nouvelle approche ils pourront compter sur Saw et la fin du livre nous montre bien la première pierre d’un futur conflit armé contre l’Empire.

 

L’extinction, un nouveau départ pour d’autres

Il y a un dernier thème dans le livre, avec des nouveaux personnages, qui tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. Je devine que c’est quelque chose qui servira davantage dans les autres tomes de la trilogie.

Il y a principalement deux nouveaux personnages, l’une d’entre eux est des services de renseignement impériaux et l’autre est son apprenti·e non officiel. Pour la première le travail est bien fait et montre admirablement ce qui se passe quand on est une minorité alien qui accepte de jouer les colabo pour l’Empire. Pour l’apprenti·e c’est plus bancal. Iel se retrouve rapidement seul·e et va chercher où se situer face à la propagande impériale, face à des groupuscules de citoyens fachistes, et surtout face à ce qu’iel estime juste.

Son parcourt n’est pas inintéressant, au contraire il est d’autan plus important aujourd’hui, mais c’est tellement loin du reste de l’intrigue qu’on se demande ce que ça vient faire là-dedans. En tout cas pour l’instant.

 

 

Mask of Fear est un livre avant-gardiste dans le sens où il fut écrit il y a moins d’un an, avant la fascisation du pays de son auteur. On ne peut lire ce livre sans faire un parallèle glaçant avec les centaines de témoignage qui nous proviennent des Etats-Unis. On devine aussi que Freed s’est fortement inspiré de l’ « essai historique » in-universe Rise and Fall of the Galactic Empire. Ce livre prophétique avait déjà tout dit, y a plus d’un an.

Au-delà de l’aspect politique l’auteur retranscrit aussi parfaitement la dépression qui se saisit des sénateurs et des citoyens face à l’anéantissements de la démocratie, de leurs droits et de leurs libertés. A eux de faire le deuil d’une époque révolue pour pouvoir évoluer et affronter l’injustice.

Note : 91%

 

N’hésitez pas à venir nous dire ce que vous avez pensé de ce roman, soit en vous rendant sur sa fiche, soit sur le sujet du forum qui lui est associé ou bien encore sur notre serveur discord !

A très vite pour d'autres critiques plus légères.

Parution : 03/04/2025, mise à jour le 14/04/2025
Source : le staff
Validé par : Lain-Anksoo
Section : Littérature > Romans
Type : Critique
On en parle sur nos forums
 
Les 10 derniers messages (voir toutes les réponses) :
  • 04/04/2025 - 7:46
    Freed c'est un bon vin.
    Plus le temps passe plus ses bouquins deviennent meilleurs.
    Le suivant sera sans doute parfait, sans fausse note :love:
  • 04/04/2025 - 12:51
    Lain,

    Merci pour la critique, cependant j’ai été surpris de voir que vous y glissiez un message politique. Je comprends que chaque lecteur a son prisme, mais parler de fascisation du pays de l’auteur…...

    Une critique devrait, à mon sens, laisser la place au lecteur de se faire son opinion. Et non glisser des messages personnels….
  • 04/04/2025 - 13:16
    Par essence une critique est partiale et relève de de l'opinion de son redacteur. Ce livre n'est pas le premier à faire ce parallèle évident (les exemples utilisés par Freed sont limpides, in y reviendra dans un autre article) il ne sera pas le dernier. La vision du romancier compte aussi qu'on soit d'accord ou pas avec.

    Cependant cette discussion n'a pas sa place sur le forum. :jap:
  • 04/04/2025 - 13:38
    Excellente critique, mais dans mon état actuel et au vu du parallèle que je risque en effet de dresser avec le contexte actuel, je ne suis pas sûr de vouloir lire ça tout de suite, quand bien même ce roman me fait envie depuis son annonce. :transpire: :)

    Excellente critique de ta part en tout cas. :)
  • 04/04/2025 - 15:38
    J'ai lu la critique et le synopsis du bouquin, y a juste un truc qui me chiffonne, mais c'est propre à ce nouveau canon j'ai l'impression, c'est comment est gérée la transition république-empire : dans le legends on nous faisait bien comprendre que la république pendant la guerre des clones était déja un régime qui tendait à devenir ultra-autoritaire, mais que le vrai changement lors de la proclamation de l'empire c'est surtout que Palpy ne compte pas rendre ses pleins pouvoirs, faisant ainsi que les débuts de l'empire ne sont pas si différents de la république pendant la guerre des clones, et que d'autres mesures autoritaires sont arrivés, mais au cours des années. Alors que dans le canon, notamment dans The Bad Batch, y a cette impression qu'on passe d'une ère de liberté à une ère d'oppression en un claquement de doigts, avec une nostalgie pour les derniers jours de la république comme si c'était une période de liberté. J'espère que ce livre montre bien à quel point, au fond, dans les premiers jours de l'empire, les gens ne ressentent pas tant que ca de différence, si ce n'est que la guerre est terminée mais que les pleins pouvoirs de Palpatine subsistent, et que beaucoup de gens (en dehors des anciens mondes de la CSI bien sur) sont même contents que la guerre soit terminée et l'ordre restauré, ne se rendant pas compte que Palpatine va leur mettre à l'envers.
  • 04/04/2025 - 16:33
    Le livre le traite bien, l'idée notamment que les séparatistes (si ils n'avaient pas été dirigés par un Sith évidemment) n'avaient finalement pas tords. Et c'est la république autoritaire qui a refusé qu'ils fassent sécession.

    C'était l'idée de Lucas de la prelogie, comment une république quand bien même il s'agit d'une démocratie, en voulant imposer ses idées (en partie dictées par les corporations dixit La Menace Fantôme) et empêchant par la force tout mouvement de contestation opère une dérive autoritaire vers finalement une dictature. Freed a bien fait le travail là dessus, dans le livre on a le point de vu des sénateurs ex-separatistes.
  • 14/04/2025 - 16:05
    pour les adeptes des formats audio/vidéo un podcast sur le roman où j'analyse un peu plus en profondeur le livre

    https://www.starwars-universe.com/actu- ... -fear.html
  • 14/04/2025 - 19:09
    Les retours m'intriguent beaucoup, je pense le prendre une fois qu'il sera sorti en français (j'achète très rarement des bouquins de l'UE mais celui-là me fait vachement envie) :)
  • 19/04/2025 - 21:46
    En revisionnant la saison 1 de Andor j’ai réalisé que je n’avais jamais écrit ma petite critique sur ce roman. Un comble pour ce petit bijou.


    On ne va pas y aller par quatre chemins : The Mask of Fear est un chef-d’œuvre de la littérature SW (avec ce genre de phrase vous ne pourrez être que déçu par la lecture du roman :diable: ).

    Enfin, c’est surtout la première moitié du roman sur l’effondrement d’une démocratie et la mise en place d’une dictature d’une telle justesse qu’on en reste bouche-bée devant les échos avec l’actualité (et pas seulement US, mais du pays où je suis né et du pays où je vis actuellement) – on en vient même à ricaner lorsqu’il est dit que l’Empire change le nom de certains lieux géographiques.
    Mais Mask of Fear n’est pas que cela, le roman a un vrai rôle in-universe pour décrire la transition entre la République, la Guerre des clones, et l’Empire, la paix. On a la dévitalisation du Sénat, le destin de la délégation des 2000, le rôle des planètes séparatistes où encore la mise au pas de l’administration. On est dans cet entre-deux, ni au niveau de l’Empereur (encore moins du Sith) ni au niveau de la population lambda (je pense à l’épisode de The Bad Batch où l’on nous présente la mise en place des chain-codes), mais dans les rouages de la société.

    Mon Mothma est absolument sublime. On ne peut que penser à la Mon Mothma de Andor, sa robe blanche, son appartement de luxe, son mari à la con, même un peu trop j’ai plusieurs fois dû me rappeler que ce n’était pas la même période. Elle a cette foi en la politique qui lui donne cette force pour continuer à lutter pour la démocratie mais qui la fragilise et la rend obsolète face au nouveau pouvoir.
    Pour Bail Organa, j’aime beaucoup un aspect dont je n’avais pas pensé mais qui est excellent : il est traumatisé par l’Ordre 66 et d’avoir vu un Padawan se faire abattre par les clones. C’est d’ailleurs une grande différence avec Mon Mothma, et encore une fois je n’avais pas conscience mais on a beaucoup vu Bail avec les Jedi (dans TCW notamment) alors que Mon n’avait pas de lien particulier avec l’Ordre – comme on peut l’imaginer la plus part des sénateurs – et la disparition des Jedi est certes préoccupante mais pas primordiale dans la lutte politique.
    Saw Guerrera, je n’ai jamais accroché à ce personnage depuis Rogue One et ce roman ne me fait pas changer d’opinion. Meh.
    Côté nouveaux personnages j’ai beaucoup aimé Haki et Zhuna qui donnent un côté espionnage au roman et nous fait quitter le monde des cols propres pour nous projeter dans le milieu des mains sales. Soujen m’a beaucoup fait penser au clone Echo ? Comme une version améliorée de ce que les Séparatistes voulaient créer. Il est là pour donner un peu d’action au roman…

    … et c’est là où la deuxième partie m’a légèrement déçue. The Mask of Fear reste un roman SW donc on ne fait 500 pages sur des tractations politiques. Les sénateurs vont dans des endroits où aucun sénateur n’irait pour faire des choses qu’aucun sénateur ne ferait. C’est comme ça depuis l’épisode IV de la saga donc j’accepte même si je ne trouve pas ça très intéressant. Surtout que tout le monde aura compris en voyant la couverture et en lisant le synopsis qu’on est pas dans un roman d’aventure et d’action, donc si ce qui vous intéresse ce sont les batailles spatiales, les planètes à explorer ou les duels au sabre laser, j’imagine que vous avez déjà compris que ce livre n’était pas pour vous.

    Un point plus important qui m’a chiffonné c’est la façon dont les sénateurs suspects sont traités par les services impériaux (leur détention avec interrogatoire musclé) qui ne m’a pas convaincue. Soit le nouveau régime est radical avec eux (vous étiez proches des Jedi, vous vouliez négocier la paix, donc vous êtes des ennemis : une balle dans la tête ou au camp de rééducation), soit il utilise des pressions beaucoup plus subtiles dû à leur statu de sénateur pour garder une façade respectable auprès du Sénat et de la population.

    Et on arrive enfin au grand défaut de The Mask of Fear : ce devrait être le deuxième tome de la trilogie (ou quadrilogie) ! Il me manque un roman de ce niveau à l’époque de la Guerre des clones pour nous montrer comment la société est travaillée par la tentation de la dictature. On peut certes picorer certains éléments dans TCW et d’autres romans mais une vision plus globale serait nécessaire. Ici le roman commence presque à la proclamation de l’Empire et j’avais l’impression que c’était trop « facile » pour la population, comme si elle était déjà habitué à l’Empire. Il y a un paragraphe très important pour l’expliquer mais il se situe à la fin du roman et ce n’est qu’un paragraphe.

    J'avais exprimé des doutes sur Alexander Freed à l'annonce du livre: alors oui le premier chapitre fait un peu peur quand on arrive des romans de la HR et leurs styles très simples (pardon, efficaces). Mais cette écriture pompeuse (il utilise 6 fois l'adjectif gargantuan tout de même :paf: ) colle parfaitement au monde sénatorial et j'ai dévoré le livre d'une traite!


    En résumé, si vous avez aimé Andor il est fort possible que vous aimiez Mask of Fear, non seulement pour les thèmes abordés mais parce qu’il y a cette même tension, ce même sentiment d’oppression autour des personnages. Si vous n’avez pas aimé Andor, et bien lisez-le quand même! :P
  • 20/04/2025 - 8:52
    J'avais oublié de relever le style de Freed dans ma critique.
    C'est vrai qu'en commençant le livre je me suis dit "ah oui Lain tu lis du Freed là, concentre toi sur l'anglais"
    Il m'a fallu 1h de lecture pour me réhabituer à son anglais plus compliqué. Un bon exercice pour ne pas perdre ses capacités !
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