Corps hautement spécialisé de la
Grande Armée de la République, les clones ingénieurs étaient entraînés pour un vaste panel d’opérations allant de la réparation de véhicules sur les champs de bataille jusqu’à certaines opérations de démolition en passant par la capture d’engins ennemis.
Équipés d’un cutter à fusion F-187, les clones ingénieurs pouvaient également installer des tourelles de défense fournissant un support non négligeable à l’infanterie mais également réparer les droïdes bacta et les distributeurs automatiques de munitions.
Très vulnérables face à l’ennemi et nécessitant une couverture d’unités conventionnelles, les ingénieurs disposaient néanmoins d’un fusil léger mais puissant assurant leur survie lors d’opérations délicates sous le feu ennemi. Ces unités étaient facilement identifiables par leur casque spécifique, possédant une lampe au milieu de celui-ci afin d’avoir les mains libres lors des manœuvres.
La Grande Armée possédait également une unité particulière nommée Bataillon des Ingénieurs de Combat et rattachée à la 38ème Division Blindée. Spécialisés pour des interventions sur les véhicules lourds, ces soldats disposaient d’une formation complémentaire destinée à intervenir sur une mécanique plus complexe et étaient reconnaissables par une armure Phase II disposant de trois bandes jaunes sur leur casque. Cette unité était principalement déployée sur les Juggernauts et les SPHA.