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Nuits enragées
  • Titre original Nights of Anger : Knights of The Old Republic #16 à 18
  • Genre Comic-Book
  • Série Chevaliers de l'Ancienne République (Vol. 6)
  • Univers Legends
  • Année et période -3963 (Ancienne République)
  • Scénariste(s) John Jackson Miller
  • Dessins Dustin Weaver
  • Couleurs Michael Atiyeh
  • Couverture Colin Wilson
  • Traducteur(s) Anne Capuron
  • Synopsis :

    Ce numéro est le début d'un nouvel arc contenant une captivante histoire de pouvoir, de préjudice et un passé qui ne pourra plus être renié !
    Quand Camper, le propriété du Last Resort, tombe malade, sa protectrice Jarael va tenter le tout pour le tout pour le sauver ; même si cela la conduit sur une planète inconnue pour elle, Arkania, afin de rechercher un remède. Par ailleurs, à cause d'une différence de gênes, les habitants d'Arkania sont dédaignés, voire criminalisés. Cependant, une fois sur Arkania, les ennuis de Jarael seront plus importants que cela : le terrible secret qui hante Campeur devra être dévoilé pour le sauver.

  • Note du staff SWU
     (63 % - 2 commentaires)
  • Note des internautes
     (80 % - 2 commentaires)
     (65 %)

    Scénario

    Camper



    Miller concentre les trois numéros de Nights of Anger sur le duo d’Arkaniens de KOTOR : Jarael et Camper. Les problèmes médicaux de ce dernier les forcent à retourner vers leur monde d’origine sur lequel dire qu’ils ne sont pas désirés est un euphémisme. De là, ils tombent entre les griffes du mégalomane local qui a besoin de Camper pour mettre au point son super plan dont on nous fait saliver les détails tout au long de l’histoire pour une révélation finale plutôt risible. Bref, comme tous les scénarios du genre, les relations entre les personnages ont intérêt à bien fonctionner pour faire patienter trois épisodes. Le scénariste n’y parvient qu’en partie et faute d’être passionné par le contexte de l’époque, le lecteur s’ennuiera ferme. Comme la situation de Zayne ne progresse que par petites touches via une intrigue secondaire, on se raccroche aux quelques scènes d’action spatiale bien spectaculaires (merci les dessins).

    Dessins

    Adasca



    Ching (un épisode) et le nouvel arrivant Harvey Tolibao (deux épisodes) cohabitent tant bien que mal. Leurs styles sont loin de se marier aussi bien que ceux de Ching et Weaver. On ne s’attardera pas sur les qualités de Ching connues sous toutes les coutures. L’artiste nous en donne pour notre argent dans son épisode. Tolibao est en comparaison moins complet. Ses plans spatiaux sont spectaculaires, il est à l’aise avec la technologie et soigne (de manière irrégulière) les décors. En revanche, concernant les personnages, le résultat est parfois peu satisfaisant. Sorte de clone de Tom Raney, il cadre ses personnages plus près que son modèle présumé avec des effets de style peu intéressants (trait trop chargé, nez horribles). La mise en couleur est techniquement bonne sans pour autant donner une touche très naturelle aux dessins. Enfin, Dark Horse mise sur les couvertures avec des bulles. Effet de style « old school » volontaire soit, à condition de ne pas en abuser sur d’autres séries en même temps (Rebellion).

    Conclusion

    Jarael



    Cette incapacité à produire une aventure par un seul dessinateur depuis bientôt une dizaine de numéros commence à gaver. Dessinateurs en retard, éditeurs soucieux de proposer au moins une série à l’heure tous les mois (parce que si on compte sur les autres séries, c’est pas gagné), comme d’habitude faute d’informations on peut accabler qui ont veut et se réjouir d’avoir encore un peu de Ching. Côté scénario, ça traîne pas mal mais heureusement, dès le prochain arc, la patience des lecteurs sera récompensée. L’idée vaseuse de la super menace des verts-géants-de-l’espace risque d’être plus longue à digérer en revanche.

  • 24/08/2008
     (60 %)
    Les dessins sont sublimes et la découverte d'Arkania est très appréciable. Cependant on ne peut pas dire que cela fasse avancer le smilblick de la guerre jusqu'à ce que ce brave Adaska nous parle des Exogorth. Le problème c'est que c'est tellement bizarre comme idée qu'on en vient à bouder son plaisir. :perplexe: