Halte, Voleuse !
- Titre original Stop Thief!
- Genre Comic Junior
- Série Histoires de l'Espace Sauvage (Vol. 1)
- Univers Officiel
- Année et période +35 (Nouvelle Grande Guerre)
- Scénariste(s) Cavan Scott
- Dessins Jon Sommariva
- Encrage Sean Parsons
- Couleurs Charlie Kirchoff
- Note du staff SWU
- Note des internautes
Synopsis :
Alors que la singe-lézard Noni vole les outils de Crater, Emil Graf se souvient d'une petite histoire que lui racontait sa grand-tante Lina au sujet d'un certain Obi-Wan Kenobi.
- Avis du staff
- Avis des internautes
- Résumé
- Editions
- Encyclopédie
- Galerie
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Un premier numéro illustrant bien le problème de cette série, on veut en savoir plus sur Emil et son équipage et les histoires racontées arrivent dès fois comme un cheveux sur la soupe en étant incohérentes.
Celle-ci ne pose pas de problème c'est juste oubliable. -
Une voleuse sévit autour du restaurant de Dex, mais Obi-Wan Kenobi veille au grain !
A chaque numéro de Star Wars Adventures, en complément du récit principal, une histoire bonus appartenant à la catégorie « Histoires de l'Espace Sauvage » est proposée aux lecteurs. Ce court récit prend place à bord du vaisseau Le héraut des Étoiles et met en scène Emil Graf, petit-fils de Milo Graf (l'un des héros de la série jeunesse Aventures dans l'Espace Sauvage, si ça tombe pas bien ça !) ainsi que Noni, le singe-lézard kowakien et les droïdes Crater et Boo. Une courte situation est prétexte pour raconter une histoire du passé impliquant les personnages connus de la licence avant une résolution pour le moins convenue qui exploite ce que le flash-back a permis d'apprendre aux protagonistes. Et rien que pour la cohésion de l'Univers Officiel, je salue l'initiative !
La présente histoire nous ramène donc sur Coruscant en pleine ère prélogique et, a priori, avant que la Guerre des Clones n'éclate. En quatre pages de véritable histoire, difficile de développer quoi que ce soit, mais ce type de format me rappelle la grande époque des Tales de Dark Horse. C'était le bon temps… Aux dessins, Obi-Wan est particulièrement stylisé lors des gros plans, et pas franchement aisé à reconnaître.
Donc, si la forme est à saluer, le fond est nettement plus léger… On saluera cependant le « courage » de nous proposer un récit prélogique, chose devenue bien trop rare depuis le rachat et le passage de la licence chez Marvel (en même temps, là, nous sommes chez IDW !).
Note : 50 %
