LCI
Jérôme Vermelin
(...) une superproduction à la fois sombre, complexe et spectaculaire (...) Foisonnant, complexe, spectaculaire, Rogue One ne se digère pas en une seule projection. Surtout si l'on n'a jamais vu un seul épisode avant. C'est même, à vrai dire, le genre d’opus qui a tout pour ravir les fans ultimes, qui savoureront les nombreuses références habiles – et surprenantes – au premier film de George Lucas.
Ecran Large
Simon Riaux
"Rogue One" s'impose comme l'opus le plus spectaculaire de la saga, mais également le seul à égaler L'Empire contre-attaque en termes de dramaturgie.
Télé 2 semaines
Thomas Colpaert
Une éclatante réussite qui séduira les fans de la première heure comme les novices.
Marianne
Gabriela Trujillo
Récit d'initiation, space opera et épopée contemporaine, "Rogue One" annonce probablement la renaissance de "Star Wars" (...).
20 minutes
Caroline Vié
Gareth Edwards, réalisateur de "Godzilla" (2014) et de "Monsters" (2010) a choisi de traiter son sujet comme un film de guerre à la fois sale, élégiaque et galvanisant. Il révolutionne la saga en lui appliquant son style guérilla dans des décors crasseux où il est malaisé de survivre.
Public
Florence Roman
Beaucoup plus charismatique que la trop fade Daisy Ridley, Felicity Jones relève le gant et incarne la rebelle garçonne avec autorité et panache, bien entourée par un casting cinq étoiles.
DirectMatin
La Rédaction
Un film fidèle à l’esprit des origines et riche en scènes épiques.
Le Figaro
Olivier Delcroix
On comprend pourquoi George Lucas a aimé cet épisode sans réserve. L'équipée sauvage de ce commando suicide vaut largement le détour. Certes, on objectera que le film est un peu long à se mettre en place, mais la Force est là, indubitablement.
Les Inrockuptibles
Alexandre Büyükodabas
Brillamment mis en scène par Gareth Edwards, le premier spin-off de la saga “Star Wars” réussit à trouver un équilibre périlleux entre le respect de l’ADN de l’univers créé par George Lucas et une réinvention moderne de ses formes et motifs. En creusant une veine sombre et étonnamment violente, cette variation autour d’un imaginaire commun s’affirme comme une oeuvre à part entière.
Filmsactu
Henry Swanson
Sans être la claque annoncée, "Rogue One" est un excellent blockbuster. Le film de Gareth Edwards apporte une vision neuve et plus sombre à la saga de George Lucas. Jamais la Guerre des Etoiles n'aura autant mérité son nom.
Le Journal du Dimanche
Stéphanie Belpêche
Malgré des irrégularités dans le rythme, l’émotion l’emporte durant l’affrontement final, particulièrement intense. George Lucas peut profiter de sa retraite dorée, la relève est assurée.
Le Point
Philippe Guedj
D'une beauté folle, le film de Gareth Edwards se révèle être un brûlot guerrier cohérent jusqu'au final. Un choc inattendu qui redonne espoir dans la saga.
Ouest France
Gilles Kerdreux
(...) la vraie réussite de ce Rogue One est qu’il s’agit d’un film à part entière, avec sa propre esthétique digne, régulièrement, d’un film de guerre réaliste n’ayant pas peur de la rouille et de la saleté.
Les Fiches du Cinéma
Michael Ghennam
Le premier spin-off “Star Wars” est un film de guerre dense et dénué de cynisme, qui compense des personnages superficiels par une écriture puissante et implacable.
La Voix du Nord
Philippe Lagouche
Pur film de guerre, "Rogue One" – ses familles dévastées, ses héros sacrificiels – macère dans une implacable et inaccoutumée noirceur et renvoie, par son sens de l’hécatombe, à des classiques du genre comme "Douze salopards", "Sept samouraïs". La saga rebondit. Que la Force soit avec elle !
Le Parisien
Renaux Baronian
Avec ce film-dérivé, Gareth Edwards a réussi l’impossible : renouveler la saga « Star Wars » tout en la dynamitant. L’esprit d’origine est respecté - les scènes de combat, décoiffantes, rappellent celles, mythiques, des épisodes IV et V, les favoris des fans, et Dark Vador opère un retour fracassant.
Mad Movies
Cédric Delelée
(...) "Rogue One" est bien trop riche pour que justice lui soit rendue en quelques lignes et s'impose comme un space opera épique et crépusculaire unique en son genre.
Positif
Hubert Niogret
Gareth Edwards (...) a brillamment tourné ce film qui tient du space opéra et film de guerre, réalisé dans des lieux magnifiques (...).
CNews
La Rédaction
Un film fidèle à l’esprit des origines et riche en scènes épiques.
Télé 7 Jours
Julien Barcilon
Reste un film de guerre sombre et assez violent, servi par une troupe solide à défaut d'être charismatique.
Chronic'art.com
Louis Blanchot
Le principal souci de "Rogue One" tient justement dans sa façon de lutter de toutes ses forces contre son statut d’oeuvre sauvage et collective, en improvisant pendant plus d’une heure une sorte de modèle réduit de la saga.
Sud Ouest
Sophie Avon
Le film de Gareth Edwards a bien du mérite de parvenir à cet assemblage qui se veut garant d’un esprit originel tout en inventant des personnages nouveaux. Il le paie en complications inutiles, mais il se rachète avec sa façon spectaculaire de recycler les tragédies de l’histoire contemporaine – qui ne manquent pas.
Elle
Khadija Moussou
Soyons honnêtes : il y a du bon et du moins bon dans "Rogue One : a Star Wars story". Très attendu par les fans de la saga, le film signé Gareth Edwards est tout de même réussi. (...) Seulement, force est d’avouer que l’histoire peine à s’installer. Après tout, la fin est connue de tous...
aVoir-aLire.com
Nicolas Lochon
Le morceau de bravoure ultime, au-delà de sa réjouissante générosité, fait se côtoyer l’espoir (...) et le funeste, dans un moment réellement touchant. La scène éclipserait presque les égarements d’un épisode, certes imparfait, mais largement plus attachant que les épisodes 1, 2 et 3 réunis !
Le Dauphine Libéré
Jean Serroy
Tous les ingrédients y sont, y compris Dark Vador, pour ce qui se veut être surtout un vrai film d’action. Mission accomplie !
GQ
Toma Clarac
Loin des éclats mélo de la saga familiale des Skywalker, Rogue One devient dans sa deuxième moitié un pur film de genre. Difficile dans ce contexte d’échapper à la surenchère et à la confusion. Mais qu’importe, d’autant que quelques plans somptueux viennent rehausser de manière fulgurante l’ensemble (...).
Paris Match
Yannick Vely
(...) un divertissement plus adulte que les autres films de la saga. Une vraie claque visuelle à laquelle il manque juste un peu de la magie «Star Wars».
VSD
Bernard Achour
C’est le paradoxe du spectacle : somptueusement efficace quand il se réfère directement à la mythologie dont il est l’héritier (jamais Dark Vador n’a eu droit à une apparition aussi grandiose qu’ici), il se montre bizarrement incapable d’imposer ses nouveaux personnages, humains et robots confondus.
Libération
Olivier Lamm
Ce manège immersif assez plaisant - réellement efficace plutôt que fétichiste - est malheureusement plombé par une débauche délirante de clins d’œil inutiles et une intrigue qui mime la complexité (...).
Le Monde
Thomas Sotinel
Les concepteurs du film ont forcé la dose d’ingrédients propres à induire la dépression chez le spectateur.
Cahiers du Cinéma
Vincent Malausa
Une petite space opérette dénuée de toute émotion et réduite à sa plus sommaire expression – avec en guise d’apothéose burlesque un coucou tardif de Dark Vador digne du