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La Rédaction de la Tribune Impériale [#5]
 
Dans les coulisses du Journal de l'Empire !
30/01/2013
Bonjour à tous !

Comme vous l'avez sans doute remarqué, la Tribune Impériale n'est pas parue comme initialement prévu le 24 décembre dernier. Oui, ça arrive, d'autant plus que nos rédacteurs essayaient de se cacher trois jours avant à Bugarach pour... Nan, pas la peine de vous raconter d'histoires : elle n'était pas prête. Mais à présent que les nouveaux rédacteurs sont rôdés (Applaudissez les nouveaux venus, Yorkman et Hiivsha !), le travail reprend de plus belle, pour une publication prévue le 24 février prochain. 

D'ici là, la Rédaction de la Tribune Impériale revient pour commencer enfin 2013, avec une équipe toujours plus déjantée aux commandes ! Découvrez dès maintenant un épisode écrit par Yorkman...
 
La Rédaction de la T.I.
An 0 - Jour 10

 
Tribune Impériale, dans la matinée.

Ça y est ! J'y suis enfin ! 
Non mécontent de découvrir enfin son bureau flambant neuf sous ses yeux, Smaugh Eskolar poussa un "ouf" de soulagement, comme exténué après des heures et des heures de formalités administratives. Il jeta sa besace sur son bureau et se vautra dans son fauteuil, les bras tombant, ses aisselles sur les accoudoirs.
- Je déteste la paperasse ! 
Le journaliste laissa tomber sa tête contre le dossier de son fauteuil, fermant les yeux pour faire le vide. Toute l'attitude noble et raffinée que Smaugh affichait en public disparut soudainement pour laisser place à une flemme et un laxisme débordants. Il mit sa main sur son front et la rabattit doucement sur le côté pour s'éponger de la sueur qui l'envahissait. Il posa ses pieds sur son bureau et cria : 
- Un caf s'vous-plaît ! 
Personne ne répondit et ne vint pour lui apporter son gobelet. Eskolar ouvrit les yeux et releva la tête, scrutant les couloirs de la rédaction qu'il pouvait apercevoir à travers la porte vitrée de son bureau. 
- Ho ! lança-t-il. 
Il se leva soudainement de son fauteuil et se dirigea vers la porte, l'ouvrit et passa sa tête dans le couloir, l'air furieux. 
- Y a quelqu'un ? 
Il ouvrit plus amplement la porte et fit passer tout son corps dans le couloir désert. Ne distinguant pas le moindre bruit il baissa la tête et soupira. Vous en foutrez du personnel, moi. Il tourna rapidement la tête vers la porte vitrée, la détourna avant de la rabattre brutalement de nouveau vers la porte, constatant que quelque chose manquait. 
- Et...Et pourquoi mon nom n'est-il pas sur la porte ? cria-t-il. 
Personne ne répondit. Il soupira à nouveau, de désespoir cette fois-ci. Ça doit être une mauvaise blague. Il mit sa main devant ses yeux.
- Quelle matinée de merde...
Il retourna dans son bureau d'un pas décidé et activa la console holographique sur la table, après avoir éjecté sa besace d'un revers de main.
- Alors...
Il chercha les numéros de fréquence dans un calepin qu'il avait mit dans sa poche droite et entra celle de la salle de pause du niveau 4, là où les secrétaires se retrouvaient pour casser la graine. À son grand désarroi, il tomba nez-à-nez avec un agent d'entretien holographique. Eskolar soupira pour la troisième fois.
- Où sont les larbins de la rédaction ? demanda-t-il d'un ton excédé.
- Ils sont arrivés tôt ce matin, mais ils sont très vite repartis, lui répondit la silhouette bleue.
- Pourquoi ?
- Qu'est-ce que j'en sais moi ? Suis pas leur mère.
Outré par l'attitude intolérable de l'agent d'entretien, Smaugh leva le point en l'air, comme s'il voulait écraser l'hologramme, mais il se ravisa rapidement et ferma les yeux. Du calme Eskolar, du calme. La zen-attitude, tu te souviens ? Oui, je crois que tu as appris ça lorsque tu as marché sur une merde d'eopie sur la planète à produits toxiques qu'est Kessel.
- Est-ce que le colonel Covelian est là ? demanda le journaliste qui avait recouvré son calme et sa lucidité.
- J'en sais rien. Jamais vu.
- Il n'est pas venu au bureau en trois jours ? demanda Smaugh, intrigué.
- Apparemment non.
- Et pourquoi personne n'est là ? 
- Vous ai déjà dit que j'en savais trop rien ! Pis de toute façon vous auriez dû les voir partir en arrivant.
- S'ils sont partis alors je les ai loupés, je ne suis arrivé que très tard ce matin, expliqua Smaugh.
- Eh ben mon cochon...
Eskolar reprit soudain son air excédé et commença à élever la voix :
- Non mais ! J'avais de la paperasse à remplir, espèce de...
Smaugh tenta une nouvelle fois de reprendre son calme mais curieusement cela ne marchait pas aussi bien.
L'employé marmonna quelques mots dans sa barbe mais ces paroles étaient parfaitement audibles.
- Ces journalistes, nan mais j'vous jure. 
- Ecoute-moi bien, espèce de larbin ! Tu as de la chance de ne pas être un rodien, auquel cas je t'aurais fait bouffer ton balai !
L'employé réagit vite aux paroles menaçantes de son supérieur hiérarchique, comme s'il ne mesurait pas la gravité de son insubordination et de son insolence.
- Vous avez un prob... 
Eskolar ne laissa pas le temps à cet agent d'entretien de terminer sa phrase et coupa la communication. Les limites de sa patience avaient été atteintes et de toute façon il n'avait pas le temps d'houspiller un simple balayeur. Il laisserait la sécurité se charger de cet employé séditieux. 
Reprenant son souffle, il saisit un petit communicateur dans la poche extérieur de sa besace qu'il avait ramassée et entra la fréquence privée du colonel Jace Covelian. Après quatre essais et plusieurs minutes d'attente, Smaugh Eskolar comprit que personne ne répondrait. Il laissa tomber son bras et le communicateur avec, qui percuta la moquette du bureau. Le journaliste prit une grande inspiration tout en fermant les yeux puis laissa passer un grand soupir, son quatrième du matin, tout en expirant. Il rouvrit les yeux et fixa le néant. Je crois que là, ma matinée ne peut pas être plus pourrie.
Soudain, la porte de son bureau s'ouvra violemment et deux agents d'entretien entrèrent, traînant un bac à produit sur répulseurs. 
- Entretien ! cria l'un des deux.
- ...Je vais vomir...

 ************

Coruscant, dans les décombres de la Tribune Impériale, 3 jours plus tôt.

- On connaît les coupables, fit Smaugh Eskolar, les yeux rivés sur les ruines de l'ancienne rédaction de la Tribune Impériale.
- À priori des anarchistes dissidents, répondit l'officier qui se tenait derrière lui, mais on n'est sûr de rien.
- Non-humains ?
- Probablement. Ou bien des membres du Cartel des contrebandiers. Les lois impériales ne leur laissent aucun répit.
- Ça vit dans les bas-fonds, ça ?
- Ça bouge beaucoup, surtout depuis que l'Empire a adopté les arrestations arbitraires dans la capitale. Mais visiblement, il en existe encore quelques uns dans les niveaux inférieurs.
Ces paroles dégoûtèrent le journaliste au point qu'il sentit des douleurs affluer dans son estomac, et remonter jusque dans sa gorge. Son regard mêlait mépris et tristesse à la vue des pierres morcelées par le feu. Depuis quand le journalisme est-il devenu une cible supplémentaire pour ces monstres sanguinaires ? pensa-t-il. Qu'est donc devenue la fierté du peuple impérial ?
- Monsieur, dit l'officier, je crois qu'au fond, c'est l'instinct de survie de ces gens qui parle, plutôt que leur cruauté. 
Eskolar se retourna et regarda l'officier dans les yeux.
- Qu'est-ce que ça veut dire ? demanda-t-il avec méfiance.
- Depuis vingt ans, la liberté des citoyens s'amenuise de plus en plus. Les droits de chacun s'évaporent avec le temps. Vous même, vous étiez muselé par le gouvernement dès vos premiers articles. Ce n'est pas un acte de folie, c'est...c'est un appel à l'aide.
Le regard de dégoût d'Eskolar se reporta sur le jeune officier. 
- Je ne crois pas à ça ! s'offusqua le journaliste, pointant son doigt vers son interlocuteur. L'Empire a ramené la paix et la sécurité dans la galaxie, là ou la République a failli à cause de la corruption. De la traîtrise, voilà ce que j'entends !
Smaugh Eskolar se refusait catégoriquement à croire à ces déclarations de la part d'un agent de police. Sa détermination était perceptible, mais cachait un fond de désespoir. Il décelait un fond de vérité dans ces paroles, et cela le terrifiait. Son esprit était embrumé par la crainte et la déception de voir un Ordre en lequel il croyait ardemment par le passé, déchoir. La rébellion prenait de plus en plus d'importance alors que la politique impériale à l'extérieur du Noyau continuait de s'endurcir. Bien entendu, il n'en laissa rien paraître et reprit sur un ton autoritaire :
- Faites votre travail ! Ou je me verrai obligé de vous dénoncer aux autorités.
- Ou-oui, monsieur. 
L'officier se retourna et descendit du tas de gravas, laissant Eskolar se perdre dans ses pensées. Un de ses hommes le rejoignit, un datapad dans la main.
- Monsieur ! cria ce dernier.
- Oui ?
- Regardez ces relevés.
Il pianota sur son datapad pour afficher un diagramme de radiation sur l'écran et le montra à son supérieur.
- C'est...incroyablement élevé, dit celui-ci, inquiet.
- En effet, monsieur. 
- Quel produit pourrait atteindre un tel pic de radiation ?
- Je n'en connais qu'un, monsieur. C'est du carburant de malastare à l'état gazeux. Même sous cette forme, il est extrêmement inflammable. Il pianota à nouveau sur l'écran et fit s'afficher une estimation des doses de carburant utilisées. Il n'y en a pas beaucoup, reprit-il.
- C'est impossible. Comment si peu de carburant peut-il causer pareils dégâts, demanda-t-il en tournant son regard vers les décombres.
- On a dû placer la bombe dans la chaufferie et les tuyères de gaz auraient explosées avec, causant tous ces dégâts. Toute cette radiation a dû se dissiper dans l'air maintenant, mais la tuyauterie en est sûrement saturée.
- Mettez tout le bâtiment en quarantaine...
- Attendez. Jetez d'abord un coup d'oeil à ça. 
Il lui montra un nouveau relevé sur l'écran du datapad, et celui-ci provoqua instantanément l'incompréhension chez le jeune officier.
- Mais c'est...
- Oui monsieur. Du cortose ! 
- C'est bien trop rare et bien trop cher pour de simples contrebandiers.
- Pour des contrebandiers peut-être. Mais pour des Hutts...
- Des Hutts ? 
L'officier ne semblait plus rien comprendre à la situation.
- Vous avez entendu parler de l'alliance entre les Hutts et les contrebandiers, monsieur ? Les Hutts doivent extorquer des entrepreneurs de mines de cortose et le faire entrer illégalement dans la capitale par des contrebandiers.
- Mais pourquoi du cortose ? On peut fabriquer une bombe toute aussi efficace et à moindre frais.
- Recouvert d'une poudre spéciale, le cortose devient totalement invisible à n'importe lequel détecteur de métaux.
Le jeune officier s'arrêta un instant pour réfléchir et reprit :
- Des empreintes ?
- Oui monsieur. Une seule en fait. Sur le bouton d'enclenchement du compte à rebours...
- Vous vous fichez de moi ? fit l'officier, interloqué.
- Attendez la suite. Selon les fichiers de police, il s'agit de...Jace Covelian. 
Le temps sembla s'arrêter dans l'esprit du jeune officier, choqué par la révélation que son subordonné venait de lui faire. Puis son esprit s'éclaircit d'un coup.
- Le traître ! Il aurait bien pu faire ça pour évincer tout le personnel de la Tribune Impériale afin de s'en voir confier les rênes par le BSI. À la tête du média le plus important de la galaxie, il en devient l'un des hommes les plus influents. Et je vous parie que l'arrestation contre Cirederf Nomis ne lui est pas étrangère, de près ou de loin. Ce que je ne comprends pas c'est l'implication des Hutts dans tout ça...
- Mais, monsieur...les empreintes ne vous choquent-elles pas ?
- Pourquoi cela ?
- Enfin...un professionnel de la sécurité comme le colonel Jace Covelian ne laisserait pas ses empreintes sur une bombe, en particulier sur le bouton d'activation.
- Où voulez-vous en venir ? se méfia l'officier.
- Et bien soit le colonel Covelian est un traître qui a été pris de court...
- Soit ?
- Soit c'est une mise en scène pour nous le faire croire.
L'officier s'arrêta pour réfléchir encore une fois. Après quelques secondes de réflexion, son verdict tomba :
- Dans le doute, contactez le BSI pour interdire l'accès à la Tribune Impériale au colonel Covelian et faites signer un mandat d'arrêt à son encontre.
- Oui monsieur. Tout de suite.
Son subordonné le quitta aussitôt, le laissant seul, perdu dans ses réflexions, ne sachant plus quoi penser. L'Empire part en miette, pensa-t-il.

Appartement de Smaugh Eskolar, 4 jours plus tard.

Smaugh Eskolar contemplait les buildings géants de Coruscant qui s'étendaient sur des kilomètres depuis la vue panoramique que lui donnait son somptueux appartement des niveaux supérieurs. Mais contrairement à ce qu'on pourrait croire, Eskolar n'y voyait que le néant d'un Empire qui s'effrite. Sa journée passée sur les ruines de l'ancienne Tribune Impériale lui avait laissé un goût amer dans la bouche et des tourments qui le hanteraient jusqu'à la fin de ses jours. Tant de journalistes tués. Vingt ans de travail acharné au service de l'Empire partis en fumée. Qu'est-ce qui me dit que nous ne serons pas les prochains ? Il entendit soudainement des bruits de talons derrière lui. C'était sa secrétaire personnelle à la rédaction qui approchait. Une grande et sulfureuse secrétaire, dont les vêtements très professionnels ne cachaient en rien ses attraits féminins. 
- Monsieur Eskolar ? fit-elle.
- Oui ?
- On a retrouvé le colonel Covelian, monsieur.
- Ah oui ? Et où est-il ?
- En prison, monsieur.
- En prison ?
- En effet, monsieur. Il a été appréhendé par le BSI il y a quatre jours dans l'après-midi, peu après qu'il a fait arrêter monsieur Nomis. Devons nous reporter la prochaine édition en attendant sa relaxe ?
- Non, dit-il immédiatement. Le prochain numéro de la Tribune Impériale paraîtra à la date prévue. Notre rédaction n'a pas besoin d'un militaire pour travailler ; inutile de l'attendre. Je dois dire qu'un peu de leadership ne me fera pas de mal. Ce sera tout.
- Bien monsieur. La secrétaire de Smaugh Eskolar sorti de la pièce. Ce dernier oublia l'espace d'un instant toutes ces pensées obscures et ne put s'empêcher de se sourire dans la vitre. Finalement, tout ne va pas si mal.

Eskolar va-t-il réellement prendre la tête de la Tribune Impériale ? Covelian est-il le traître que nous recherchons ? Ou tout cela n'est-il que la surface immergée d'un complot galactique ? Réponse à toutes ces questions dans le prochain numéro de la Tribune Impériale... Ou pas. 
En attendant, vous pouvez lire ou relire le dernier numéro de la Tribune Impériale en cliquant sur le lien ci-dessous.



Vive l'Empire ! Vive la Tribune Impériale !
 
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Je vous dis à la semaine prochaine pour un prochain numéro de La Rédaction de la Tribune Impériale et me permets de vous signaler que vous pouvez également lire le début de la rédaction de la Tribune Impériale ici !
Parution : 30/01/2013
Source : La Rédaction de la Tribune Impériale
Validé par : Jagen Eripsa
On en parle sur nos forums
 
Les 10 premières réactions (voir toutes les réponses) :
  • 25/02/2013 - 9:42
    Et voici le dixième numéro, avec une nouvelle version qui, je l'espère, vous plaira ! :)

    Un grand merci à Hiivsha, Minos et Yorkman, les rédacteurs de la TI, pour leurs excellents articles, à Chadax et à Sky Karrde pour cette nouvelle version, ainsi qu'à Dolarn pour ses conseils éclairés ! :cute:
  • 25/02/2013 - 10:09
    J'aime toujours, très bon à lire :)
  • 25/02/2013 - 10:15
    Merci. :jap:
  • 25/02/2013 - 12:08
    Jagen Eripsa a écrit:ainsi qu'à Dolarn pour ses conseils éclairés ! :cute:


    :cry: Merci, merci.
  • 11/11/2013 - 16:55
    Si certains d'entre vous ne l'avaient pas encore remarqués, la T.I sort d'un long tunnel d'inactivité et est de retour ce lundi 11 novembre pour un onzième numéro !

    http://www.starwars-universe.com/actu-9 ... mero-.html

    Un jour donc à célébrer, comme pour l'Armistice (et ma première année sur le forum :D ), avec ferveur !

    Merci à Sol, Hiivsha, Minos et bien sûr à Jagen Eripsa, à qui je reprend le fauteuil de Rédac'chef.
    Ainsi qu'à Dolarn Sarkan pour ses conseils éclairés de vieux briscard de la T.I. :jap:

    Bonne lecture à tous !
  • 11/11/2013 - 17:01
    Merci, merci ! :cute:
  • 11/11/2013 - 18:24
    Il y a du texte dans cette tribune, elle fourmille idées, c'est incontestable. :sournois:
    Ça devrait intéresser les SWUistes qui apprécient l'univers des fan-fics. :)

    Bonne chance à elle ! :jap:
  • 11/11/2013 - 19:12
    Super numéro.
    Vous imitez le style des journalistes des articles ici et là sur la presse papier ou internet. ;)
    Vous imitez bien les articles des journalistes étouffés par les dictatures d'Hitler et consort.
    Je vois bien l'Empire utiliser ce genre de données pour abrutir les gens.
    Le ton est assuré et convaincant.
    Bravo. :)
  • 11/11/2013 - 19:24
    Ca me rappelle un peu les discours de Périclès sur la guerre du Péloponnèse.
  • 11/11/2013 - 19:28
    On essaye de rendre le discours le plus réaliste possible, en s'inspirant de faits et d'orateurs réels. Mais on aime aussi laisser la place à la suggestion que tout ce que vous lisez n'est que de la propagande bien grasse et qu'il existe bel et bien une réalité derrière.
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