À l’époque de la Haute République, Klerin Chekkat était la fille de l’inventrice Mantessa Chekkat. Elle même suivait les pas de sa mère et avait imaginé un engin capable de désactiver toutes les armes à énergie aux alentours appelé Inhibiteur quatre-sept.

Klerin Chekkat accompagna sa mère à la Foire de la République pour sa rencontre avec le Sénateur Tia Toon afin de lui présenter l’inhibiteur, sans préciser qu’il s’agissait d’une invention de la jeune fille. En route vers Valo sur le Dynamo, Klerin sympathisa avec le Sabre à Louer Tylera Yorrick que sa mère venait d’engager sur Safrifa pour être sa garde du corps. La jeune femme resta dans leur vaisseau pendant la présentation de son appareil mais quand le lendemain les Nihil débutèrent leur attaque contre la foire Klerin partit à la recherche de sa mère qui avait disparue depuis la veille. En effet, cette dernière avait été arrêtée par la Force de Sécurité de Valo suite à la présentation de l’inhibiteur pour possession de Recainium, une énergie interdite par la République, et d’une arme dangereuse contre les sabres laser des Jedi. Elles se retrouvèrent finalement en plein milieu du champs de bataille pour quitter la planète le plus vite possible. Klerin ne put cependant rien faire quand, en chemin vers le Dynamo sans leur garde du corps, Mantessa fut dévorée par un Hragscythe échappé du zoo de Lonisa City.

Considérant que la République était trop pleutre pour acquérir son inhibiteur, Klerin fit croire aux Jedi que les Nihil avaient volé les plans de l’inhibiteur durant la bataille pour qu’ils fomentent un plan afin de laisser le prisonnier Quin Amarant s’échapper de Valo et ainsi localiser la cache des pirates. La jeune femme se fit alors délibérément prendre en otage par le pirate pour qu’il l’amène jusqu’à la planète Grizal. Là, elle voulut négocier avec la Maître-Tempête Lourna Dee la vente de l’inhibiteur quatre-sept mais la Nihil opta plutôt pour l’acquérir brutalement. Lorsque les Jedi attaquèrent finalement Grizal, Indeera Stokes, Elzar Mann et Ty Yorrick n’hésitèrent pas à libérer Klerin malgré sa traîtrise.