StarWars-Universe.com utilise des cookies pour faciliter votre navigation sur le site, et à des fins de publicité, statistiques, et boutons sociaux. En poursuivant votre navigation sur SWU, vous acceptez l'utilisation des cookies ou technologies similaires. Pour plus d’informations, cliquez ici.  
Loué soit le créateur
 
     (75 %)

    C3POL’histoire se déroule de 3 ans après la bataille de Yavin.
    On découvre l’envers du décor du « démontage » de C3PO sur Bespin. L’évènement est détourné par Windham afin de mettre en place une introspection de Vader sur son passé. En soit, c’est réussi. Là où le principe pêche, c’est que l’on a parfois l’impression que le procédé est utilisé outre mesure pour créer absolument des passerelles entre prélogie et trilogie originale. Aujourd’hui, les scénaristes ont un peu plus d’éléments avec lesquels jouer, à l’époque de cette histoire on pouvait se demander s’il n’y avait pas trop de coïncidences heureuses.



  • 03/01/2018
     (91 %)

    "Tu es de ma famille [...], celle que j'ai choisie, celle que je ressens." Il est des récits qui ont su créer des liens entre la prélogie et la trilogie originale. Thank the Maker est de ceux-là. Tout le long des volets IV, V et VI de la saga, l'impitoyable Dark Vador passe souvent tout près de C-3PO, le droïde qu'il avait construit de ses propres mains (ou presque) dans sa jeunesse, sans jamais l'identifier. D'accord, il existe des millions de droïdes de protocoles au sein de la Galaxie, mais quand même, ç'aurait été trop dommage que 3PO sorte définitivement de la vie d'Anakin Skywalker après une dernière entrevue quelconque sur Coruscant (dans les appartement de Padmé). Eh bien Ryder Windham, scénariste de ce comics, s'est probablement dit la même chose que moi et à décider d'y remédier. C'est ainsi qu'aux confins de la Cité des Nuages, Vador tombe nez-à-nez avec un 3PO en pièces détachées et le reconnaît instantément ! Nostalgique, le Seigneur Sith finit même par l'épargner et ordonne qu'il soit remis à Chewbacca, conscient que le Wookiee le réparera. Une Tales qui procure de telles émotions à ses lecteurs, tout en créant subtilement un lien entre deux époques, c'est magistral !