Les membres du 501st se sont mis au couleurs du livre, et l'auteur s'est même prêté au jeu en allant serrer les mains ensanglantées des membres de la célèbre troupe !
Au menu des innovations, Joe Schreiber en propose une sacrément intéressante, en nous faisant partager le temps de certains passages les pensées de
Chewbacca, nous donnant ainsi directement accès son « dialogue interne ». En somme, nous serons dans sa tête, jusque-là chose inédite dans nos romans de l'UE. Et le wookie ne nous rassurera apparemment pas sur le cauchemar dans lequel nous plonge le livre...
Un personnage féminin, le Dr
Cody, participera également à la fête (si on peut appeler cela comme ça). Joe Schreiber nous promet un personnage mentalement fort, mais qui va devoir se dépasser face à l'horreur. Une déclinaison de la jeune fille qui se fait poursuivre par des zombies en hurlant ?
L'horreur ne viendra d'ailleurs pas que des zombies, les survivants que rencontrent nos héros n'ont pas l'air d'avoir fait que des choses honorables pour survivre justement... Passage qui a même donné la chair de poule à la journaliste qui l'interviewe ! Toute cette partie du roman devrait donc bel et bien voire ses origines dévoilées dans le second roman de Joe, qui confirme avoir achevé et envoyé une première mouture du manuscrit à Shelly Shapiro.
Pour finir, lorsqu'on l'interroge sur la réception de son œuvre par un lectorat starwarsien, pas forcément porté sur le gore et l'horreur, Joe explique que quel que soit le genre, horreur ou science-fiction, ils ont avant tout en commun d'avoir des histoires bien écrites. Et que, s'il a bien fait son job, le lecteur passera un bon moment sans prêter attention au mélange des deux.
C'est tout ce qu'on espère !