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Critique du roman Hors de l’ombre chez Pocket !
 
[Critique] Il aurait pourtant mieux fait d’y rester...
31/03/2022

Bonjour à tous,

Il y a cinq semaines, les éditions Pocket ont publié le deuxième roman jeune adulte de la Haute République : Hors de l’ombre, de Justina Ireland. Ce roman clôt la deuxième vague de publications de la première phase de l’enthousiasmant projet éditorial que représente l’exploration de cette nouvelle ère. Roman estampillé « jeune adulte », Hors de l’ombre explore en partie les conséquences de l’excellent roman adulte L’Orage gronde, tout en faisant intervenir des personnages issus des romans (jeunes adultes) En pleines ténèbres, de Claudia Gray, et Une épreuve de courage, déjà signé Justina Ireland.

Je vous propose donc ma critique basée sur l'exemplaire VF du roman, un exemplaire offert par Pocket que j'en profite pour remercier chaleureusement au passage.

Mais d'abord, un rappel de la couverture et du synopsis !

 

LES SECRETS LES PLUS SOMBRES SONT LES DERNIERS À VOIR LE JOUR…

Le sort semble s'acharner sur Sylvestri Yarrow. Depuis la mort de sa mère, elle se bat pour garder à flots l'entreprise de transport familiale, mais entre les dettes qui s'accumulent et les attaques récurrentes des Nihil, Syl risque de perdre tout son héritage. Partie chercher de l'aide à Coruscant, elle se retrouve mêlée à un différend opposant deux puissantes familles au sujet d'une région de la frontière. Ces problèmes de riches ne l'intéressent pas, mais la promesse d'une généreuse récompense suffit à la convaincre de s'impliquer…

Pendant ce temps, la Jedi Vernestra Rwoh est convoquée sur Coruscant avec son Padawan, Imri. Ils y retrouvent le Maître Jedi Cohmac Vitus et son apprenti Reath qui, comme eux, sont chargés d'arbitrer cette querelle familiale à la frontière. Mais pourquoi ? Quelle importance peut bien avoir cette zone déserte de l'espace ? La réponse conduira Vernestra à mieux comprendre ses capacités, confrontera Syl à son passé... et poussera enfin certaines vérités hors de l'ombre.

Pocket, 400 pages, 9,50 €

 

La critique de L2-D2

 

La Haute République, c’est la nouvelle ère éditoriale de la saga. Se déroulant 200 ans avant les événements de La Menace Fantôme, cette nouvelle aventure est découpée en phases, chacune d’elles étant constituées de plusieurs vagues de publications.

Hors de l’ombre clôt la deuxième vague de publications de la première phase.

 

Une intrigue ? Là où on va, on n’a pas besoin d’intrigue !

Il n’y a pas vraiment d’intrigue dans ce roman.

On s’en rend compte très vite, dès les premières pages, et cela ne va pas aller en s’améliorant : les personnages gagnent du temps. Beaucoup de temps. Trop de temps. Alors que Vernestra et son Padawan sont convoqués sur Coruscant, on se dit que le prochain Chapitre les mettant en scène nous les montrera logiquement sur la capitale, ou au moins lors du trajet. Mais non. On les verra en train de manger, en train de discuter, en train de préparer leurs affaires, en train d’embarquer, etc. Et c’est la même chose pour l’ensemble du roman !

Et du coup, si vous aurez vite compris que l’intrigue tourne autour d’un nouveau mystère lié à l’hyperespace, mystère sur lequel les personnages vont enfin inquiéter pendant une grosse vingtaine de pages avant que les dernières ne soient consacrées à la résolution du roman. Et surtout, surtout, le dit-mystère est résolu pour le lecteur quasiment dès sa formulation, étant donné que Justina Ireland tue dans l’œuf le peu de suspense que l’intrigue pouvait procurer ! L’ensemble est donc long, mou, peu rythmé, et comme si ça ne suffisait pas, les personnages prennent parfois (souvent?) des décisions douteuses voire irrationnelles.

 

De nombreux personnages au potentiel intéressant...

A l’image du roman En pleines ténèbres, Hors de l’ombre joue la carte du casting resserré. Quatre Jedi, tous issus de précédents romans, vont traverser ces pages en compagnie des nouveaux-venus que sont Sylvestri Yarrow, Jordanna Sparkburn et Xylan Graf. Si ce dernier personnage semble le plus savoureux du lot, il ne va malheureusement guère plus loin que le cliché de ce type de rôle (le beau gosse riche, intelligent, hautain et un peu pourri) et m’a fait visuellement penser à Ronen Tagge de la nouvelle série Doctor Aphra (transition toute trouvée pour vous glisser qu’une ancêtre de notre bonne archéologue va faire son apparition dans quelques pages).

Le roman profite notamment du format « jeune adulte » pour développer Vernestra Rwoh et Imri Cantaros, déjà vedettes du roman jeunesse Une épreuve de courage, en leur développant des compétences propres : un don de vision de l’hyperespace (héhé!) pour Vernestra et une empathie extrême pour Imri.

Et il y a les nouvelles venues, Sylvestri et Jordanna, plutôt bien introduites et au caractères trempés. Très différentes l’une de l’autre, les deux jeunes femmes ont évidemment un lien et une histoire d’amour passée qui ne va demander qu’à redémarrer. Mais la rupture passée a laissé des traces, et rien ne dit que les sentiments passés sont toujours d’actualité !

 

mais qui tournent très vite en rond !

Sauf que ces traits de caractère ne sont pas suffisants pour développer des personnages, qui ne vont jamais, non jamais, sortir du cadre fixé par l’autrice. Jordanna Sparkburn en est l’exemple type : dès lors qu’elle retrouve Sylvestri, le personnage s’éteint, perd sa « gouaille » et n’existe plus pour elle-même mais en tant qu’ex de Sylvestri. Cette même Sylvestri passera d’ailleurs le roman à se reprocher de prendre de mauvaises décisions sans pour autant révéler la vérité lorsqu’elle en l’occasion. Son histoire avec Jordanna parasite la mince intrigue car elle est déjà vue et revue, alignant habilement tous les clichés possibles (les holofictions, le coeur brisé, le baiser au bon moment, etc). Xylan Graf joue à qui manipulera qui et, au final, on ne sait absolument pas ce qu’il en est le concernant.

Et je n’allais pas oublier les pires du lot : les Jedi.

Nos Jedi, donc, sont totalement passifs. Ils ne communiquent pas, ils se mentent les uns les autres, ils sont béats (Reath, je parle de toi!), Vernestra est à la limite de l’insupportable, ment à son ancien Maître et décide donc, tout en lui reprochant de ne pas davantage s’impliquer contre les Nihil (il y aurait d’ailleurs de quoi dire là-dessus)… de lui cacher des choses sur ce qu’elle trouve. Et j'en passe. Mouais.

Oserais-je dire que le problème du casting, c’est bien son jeune âge ? Toute la difficulté d’un roman jeune adulte est de, parfois, greffer quelques adultes, ce qu’avait su faire en son temps En pleines ténèbres. Mais là, nous avons des adolescents, tout au plus des jeunes adultes, tous les principaux personnages ont au maximum 21 ans. Et ça se voit. Ils se comportent comme des ados. Tous.

 

Et les Nihil, dans tout ça ?

Vous avez vu les Nihil dans ce roman, vous ?

Le premier Chapitre les impliquant donne l’impression que dans ce roman va se jouer un jeu de dupes entre les factions des uns et des autres, avec le retour de Nan, une mention d’un personnage de la série La Haute République d’IDW, Lourna Dee qui rôde dans le coin… Mais cette impression est trompeuse. Les Nihil n’ont aucun véritable rôle, et ils jouent les croque-mitaines sans que ce ne soit jamais montré, sans que l’on ne comprenne vraiment le pourquoi du comment (la boîte à énigme, le rôle de l’Oracle, etc). Alors Justina a du se dire qu’il fallait nous les rendre redoutables, et pour cela, nous allons avoir droit à un mini-affrontement où quatre (quatre, vous avez bien lu) Jedi vont faire face à une poignée de Nihils… et disons que la performance des Jedi ne sera pas à la hauteur.

Ah, Valo me manque...

 

Bilan

J’avais déjà eu du mal avec le premier roman jeune adulte de cette saga éditoriale. Mais Hors de l’ombre est pire. J’en suis venu à me demander si le roman servait à quelque chose, avec ces personnages qui s’agitent pour rien et son intrigue rachitique. Et pourtant… A l’issue du roman, un événement se produit, qui va peut-être rebattre les cartes pour le plan de Marchion Ro. Ou pas. Allez savoir, tiens.

Encore faut-il avoir l’envie de retrouver les personnages du roman. Disons poliment que je ne suis pas spécialement pressé à cette idée.

 

NOTE : 50 %

 

A noter que le roman porte le numéro 186 !

 

N'hésitez pas à nous dire ce que vous avez pensé du roman en vous rendant sur sa fiche ou bien sur le topic du forum !

 

Encore merci aux éditions Pocket pour l'exemplaire offert pour la critique, et on se retrouve à la toute fin du mois d’avril pour le deuxième roman qui nous narre les aventures du futur Grand Amiral Thrawn alors officier de l’Ascendance Chiss dans le roman Bien commun, deuxième tome de la trilogie Thrawn L’Ascendance !

Et pour les amoureux de la Haute République, le prochain roman est prévu pour la fin juin chez Pocket ! ;-)

Parution : 31/03/2022
Source : Le staff et les éditions Pocket
Validé par : L2-D2
Section : Littérature > Romans
Type : Critique
On en parle sur nos forums
 
Les 10 derniers messages (voir toutes les réponses) :
  • 18/03/2022 - 19:02
    C'est justement la raison de notre erreur. On peut comprendre dans les deux sens. Mais le fait de revoir le vaisseau non capturé après aurait dû nous faire revenir en arrière.
  • 20/03/2022 - 12:01
    ok, merci pour la précision !
  • 31/03/2022 - 16:19
  • 28/06/2022 - 6:22
    Laborieux, c'est le mot.

    Pas mal écrit en termes de style mais attendre plus de 300 pages pour juste réunir les perso et les faire décoller de Coruscant, fallait oser. :paf:

    Je retiens juste une mention de Maz Kanata, en ne sachant pas si ça va être poussé par la suite ou non. Le reste c'était un peu beaucoup l'ennui oui. :transpire:

    Ah et certes, certaines couv photoshopées des romans adultes sont ce qu'elles sont (moi j'aime bien, elles me rappellent le design du jeu Jedi Power Battles :oops: ), mais celle-ci est vraiment plate et ennuyeuse, comme le roman en somme. :neutre:
  • 31/12/2022 - 17:30
    Terminé il y a peu !

    En le lisant je me suis vraiment demandé si j'allais être le seul à être déçu par ce roman ou si c'était global. J'ai quand même vu les critiques du site et je me suis dis que j'étais pas le seul. Par ailleurs :
    @Lain : Il me semble que tes "plus" et tes "moins" sont inversés dans ta critique, mais je peux me tromper.

    Voici mon avis un peu pêle-mêle du roman avec des spoilers non cachés, donc à vos risques et périls !

    Comme beaucoup d'entre vous j'ai bien apprécie la manière dont le roman élargit l'univers de La Haute République avec toutes les discussions autour de l'hyperespace, les pouvoirs des Jedi mais aussi l'importance des grandes corporations qui semblent devenir une des grandes puissances sur lesquelles il va falloir compter sur la suite. L'affrontement entre les Graf et les San Tekka promet beaucoup. La fin semble pas mal rabattre les cartes pour la suite.
    Seul petit bémol concernant Marchion Ro que l'on quitte dans L'Orage Gronde avec de quoi faire peur à tout le monde et qui dans ce roman semble se faire rouler du début à la fin par tout le monde... Dommage.
    Certes les personnages sont intéressants mais il faut avouer qu'ils sont surtravaillés sur 300 pages donc heureusement qu'ils le sont. Ce qui entraîne un roman mou mais mou... Et le peu d'action qu'il y a est vraiment brouillonne (pas beaucoup de nouveaux auteurs Star Wars qui maîtrisent bien l'action je trouve).
    Le personnage de Sylvestri Yarrow synthétise bien tout ça car on s'y attache à cette jeune fille battante qui est ballotée par les évènements. Mais on est bien trop souvent dans sa tête et ses atermoiements. Il y a des moments où elle pense trois fois la même chose sur la même page ! Ca en devient risible comme son histoire d'amour qui aurait pu être intéressante si elle n'était pas balourde.
    Par ailleurs, j'ai trouvé la rencontre entre Sylvrestri et Chancey assez cocasse en mode :


    Quant à Vernestra, j'ai trouvé ridicule qu'elle soit Chevalier Jedi à 16 piges mais j'ai l'impression que l'auteure aussi finalement tant on lui renvoie son âge à la tronche pendant tout le roman et qu'elle pense systématiquement qu'elle est trop jeune pour ce rôle... Une sorte d'aveu d'échec ?^^

    Bref je suis déception mais je pense que j'ai du surtout du mal avec Justina Ireland, ses personnages trop jeunes, son manque d'action, son intrigue qui prend trop de temps, son humour beauf et ses discussions à rallonge...
  • 22/05/2023 - 15:59
    Me voici arrivé au terme de ce roman après 3 jours de lecture pas vraiment intensifs mais assez soutenus. Et heureusement car je pense que la mollesse de l'intrigue à se mettre en place aurait eu raison de ma motivation si j'avais traîné un peu. J'ai, de plus, lu celui-ci en VF car je ne voulais absolument pas renouveler l'expérience douloureuse de L'Orage Gronde que j'avais mis plusieurs mois à finir tellement je m'y ennuyais.

    Alors, le roman se lit relativement bien malgré des descriptions qui se chevauchent ou, pire, se contredisent d'une page à l'autre à intervalle un peu trop régulier pour ne pas hausser un sourcil. Mais il s'étire beaucoup, beaucoup trop en longueur en introduisant pas toujours très bien ses nouveaux personnages. Comme pour le 2ème roman jeunesse, le casting du 2ème roman "ado" change presque complètement (Reath est là mais il aurait pu aussi bien ne pas l'être tellement il est transparent) et j'ai eu l'impression de lire le 2ème acte d'une trilogie sans en avoir lu le 1er concernant Sylvestri. Un prologue sur Valo avec sa mère aurait probablement été un minimum bienvenu. Pour Vernestra, avoir lu Une Epreuve de Courage aura été un plus même si je cherche toujours la raison du pourquoi de son accession au titre de "Chevalier" quand on voit son déplorable état mental. A quel moment un inconscient a pu laisser la jeune fille passer les épreuves et les valider ? A tel point que je me pose des questions les véritables motivations de Stellan Gios. Peut-être aurai-je la réponse plus tard, il me semble qu'une histoire du Annual Comics en parle mais en attendant de l'avoir lue, c'est vraiment un mystère.

    Pour parler des Jedi de manière générale, ce sont donc toujours des "ouin ouin" qui dissimulent ou se mentent entre eux au moindre truc, chose que je trouve assez insupportable. Autant pour un Padawan qui se cherche ça peut se comprendre mais un Chevalier ou Maître, cela paraît plus embêtant. (Je ne dis pas qu'ils ne doivent jamais douter ou se remettre en question, mais quand c'est constamment et pour la moindre petite décision c'est fatigant.) Mais au moins ça reste cohérent avec les autres œuvres de la Haute République tous médias confondus (même si cette facette est - heureusement - moins présente dans les comics).

    Ah et un petit détail qui me paraît incongru : Imri vouvoie son maître tout en l'appelant par le diminutif (qu'elle déteste) de son prénom et se fait, lui, tutoyer. C'est assez étrange comme choix de traduction. :think:
    C'est d'ailleurs en me faisant cette réflexion que je me suis aperçu que les Jedi étaient adressés par leur prénom (Maître Stellan, Cohmac, Vern, etc.). Je ne l'avais pas remarqué avant (et si c'était déjà le cas) mais ça me rend perplexe.

    Pour en revenir à l'histoire du roman, ses points d'intrigue sont quasiment inexistants puisque le roman auto-spoil quasi systématiquement ses révélations via le point de vue d'un personnage Nihil qui, à l'instar des héros, ne fait que subir le scénario. Tout m'a paru trop simple et en même temps laborieux pour y arriver. A force de ruminer les mêmes choses, les personnages tournent en rond. Le roman aurait sûrement gagné en dynamisme s'il n'avait gardé que ses 2 points de vue principaux (Syl et Vern) en sacrifiant quelques chapitres redondants mais même avec ça je ne sais pas si ça aurait suffi. Les gentils sont gentils mais ils doutent et font des erreurs ; les méchants, eux, sont vilains et font les malins parce que tout était prévu depuis le début. Mouhahahaha.

    Pour finir, le livre a au moins le mérite de faire avancer des intrigues générales (à la toute fin hein, faut pas déconner), son intrigue interne semblant être terminée dans un beau : tout ça pour ça évacué en 40 pages (sur 400).

    Bref, je n'ai pas passé un mauvais moment en soi mais le roman a trop de défauts pour que je puisse le conseiller pour autre chose que le fait qu'il paraisse indispensable pour la compréhension de l'intrigue générale...
  • 22/05/2023 - 18:33
    Rikuiame a écrit:Ah et un petit détail qui me paraît incongru : Imri vouvoie son maître tout en l'appelant par le diminutif (qu'elle déteste) de son prénom et se fait, lui, tutoyer. C'est assez étrange comme choix de traduction. :think:
    C'est d'ailleurs en me faisant cette réflexion que je me suis aperçu que les Jedi étaient adressés par leur prénom (Maître Stellan, Cohmac, Vern, etc.). Je ne l'avais pas remarqué avant (et si c'était déjà le cas) mais ça me rend perplexe.

    Je pense que c'est pour coller à la VF des films: dans AOTC, Anakin vouvoie Obi-Wan qui le tutoie et quand Obi-Wan vient demander conseil à Yoda, les novices disent "Bonjour maître Obi-Wan".
    La problématique est purement francophone, les auteurs anglophones n'y réfléchissent pas. C'est toujours une épine dans le pied du traducteur.
  • 22/05/2023 - 22:25
    Ouhlà, ça remonte AOTC en VF… :transpire: Effectivement c’est peut-être pour coller à ça. :think: Après bon, effectivement la question ne se pose pas en VO, mais compte tenu de la proximité affichée entre les deux, plus leur âge quasi identique, etc. ça rend le vouvoiement bizarre pour moi.
    C’est juste un détail ceci dit.

    Par contre pour le « Bonjour, Maître Obi-Wan. » il me semble que c’est Yoda qui leur dit de dire ça, non ? Les gamins ne savent forcément son blaze et ils répètent simplement la phrase. A part ça, c’est surtout du nom de famille qui est employé je crois bien. Sauf erreur, Anakin l’appelle parfois « Obi-Wan » mais jamais « Maître Obi-Wan » ? Personne d’autre ne le fait d’ailleurs. Sauf Yoda donc qui, on le sait tous, est un petit plaisantin.

    Je suis en train d’écouter Maître-Tempête et Avar Kriss est appelée par son nom de famille. Ça semble un peu à géométrie variable tout ca. :paf:
  • 22/05/2023 - 22:47
    Non non ce sont bien les novices qui le disent tous en chœur. :)
  • 22/05/2023 - 22:55
    J’ai revu le passage et tu as totalement raison oui. :oui: Bon, il n’y a pas vraiment de règle spécifique on va dire. :paf:
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