Rôle
A cette époque du 'plus terrible des conflits', l'Alliance Rebelle, prévoyant une bataille importante, voire finale, décida de la conception de nouveaux appareils pour renforcer et surtout rajeunir sa flotte grandissante mais vieillissante. Le RZ-1 A-Wing est un de ces projets mais ce n'est pas le seul (par exemple le B-Wing).
Ce projet avait d'abord pour but de développer un escorteur, parfait pour les convois d'armes, de vivres, de Bacta... Mais il en résulta un appareil avec une toute autre optique : il était beaucoup plus adapté aux attaques éclairs contre les plus petites des stations impériales (en fait, c'est un As de la technique du 'j'inspecte, je tire mes missiles à concussions et je me tire'), à noter qu'il se révèle aussi très bon dans l'inspection de convois (Voir le jeu 'X-Wing Alliance').
Ce qui a engendré ce changement de rôle, c'est le fait que ce chasseur n'est malheureusement pas fait pour les combats rapprochés, notamment à cause de la position du cockpit (qui expose le pilote aux lasers ennemis dans une trop grande proportion) et des faibles défenses de l'appareil.
Matériels spécifiques de l'A-Wing
Le très jeune A-Wing est équipé de matériels toute nouvelle génération et donc de senseurs très puissants le rendant quasiment impossible à surprendre , un système de brouillage pour 'aveugler' avant d'attaquer ainsi qu'un moteur et un système de propulsion lui permettant d'accéder au titre du 'plus rapide appareil' de la Trilogie.
Quelques défauts
Même si sa rapidité et sa maniabilité le font, par exemple, surclasser un
Intercepteur TIE, même si son armement est adapté, il ne faut pas oublier les nombreux défauts de l'engin. Comme dit plus haut, il n'est pas fait pour les combats rapprochés. A cause de ces commandes trop sensibles, bien peu de pilotes osent voler avec. Sa maintenance ayant un coût exorbitant et l'Alliance Rebelle n'étant pas vraiment riche, il est très difficile pour la Rébellion d'aligner une escadrille, voire un escadron, opérationnelle. Enfin il n'y a pas assez d'espace pour embarquer un droïde astromech, comme dans un T-65 X-Wing ou un BTL Y-Wing, qui aurait pu faire des réparations en vol, définir des coordonnées ou enfin ajuster les trajectoires dans un combats tournoyant avec un chasseur TIE.