StarWars-Universe.com utilise des cookies pour faciliter votre navigation sur le site, et à des fins de publicité, statistiques, et boutons sociaux. En poursuivant votre navigation sur SWU, vous acceptez l'utilisation des cookies ou technologies similaires. Pour plus d’informations, cliquez ici.  
Guérisseuse Jedi
  • Titre original Jedi Healer
  • Genre Roman
  • Série La Guerre des Clones (Vol. 2)
  • Univers Legends
  • Année et période -20 (Emergence de l'Empire)
  • Auteur(s) Michael Reaves & Steve Perry
  • Couverture Dave Seeley
  • Traducteur(s) Patrick Imbert
  • Synopsis :

    En dépit de leurs armures blindées et de leur code génétique amélioré, les soldats de la grande Armée de la République restent des êtres de chair et de sang. Au fin fond des jungles tempérées de Jasserak, sur Drongar, les médecins et les infirmières d’une petite unité médicale se consacrent sans relâche à la guérison des troupes de clones. Les chirurgiens sont débordés, à tel point que même les dons curatifs de la Padawan Barriss Offee commencent à trouver leurs limites. Alors, une option s’ouvre a eux. Bien qu’impensable aux premiers abords, elle se transforme inévitablement en unique solution à ce terrible problème.

  • Note du staff SWU
     (80 % - 3 commentaires)
  • Note des internautes
     (82 % - 5 commentaires)
     (90 %)

    Et nous voici de retour sur la sympathique planète Drongar. Alors, quoi de neuf dans ce deuxième volume ? En fait, pas grand chose… Si vous avez aimé le premier, vous aimerez le second. Voilà voilà, à bientôt pour une nouvelle critique passionnante sur StarWars-Universe.
    Bon, ok, partez pas, ça c’était la version courte, mais si vous insistez y a quand même des trucs à ajouter…

    I - La fête continue…
    Toujours aussi peu orientée action, l’intrigue entamée dans le premier tome suit son bonhomme de chemin avec, comme on pouvait l’espérer, une plus importante mise en avant de l’enjeu de la bataille : le Bota aux propriétés miraculeuses, presque trop miraculeuses comme le découvre rapidement Barris Offee. Pas de problème de ce côté là, l’histoire suit un cheminement logique pour atteindre une conclusion finalement assez prévisible ; après tout on sait bien que le médicament miracle de l’univers Star Wars reste et restera encore un bout de temps ce bon vieux Bacta… Bien sur l’identité du très mystérieux agent triple qui sévissait (et sévit toujours) au cœur du Rimsoo 7 nous est finalement révélée. A vrai dire, malgré quelques fausses pistes au long du roman, cette révélation finale reste relativement convenue et on regrette un peu une éventuelle fin plus sombre, avec un peu plus d’impact comme celle du premier tome qui s’était permis de sacrifier l’un des personnages principaux. Mais bon, après tant d’épreuves nos amis du RMSU 7 méritaient bien ce relatif « happy end ».

    II- On prend les mêmes et on recommence.
    Evidement les personnages qui faisaient la force du premier tome sont toujours là, même si on remarque que, bien qu’ils continuent à évoluer, les auteurs les replacent dans des situations assez similaires à celles du premier volume :
    Barriss fait donc toujours face à ses doutes et ses faiblesses d’apprentie jedi, en luttant ici contre une éventuelle dépendance au Bota. Ah oui, Barriss dans le rôle de la junky de service, voilà au moins un élément original et l’occasion d’aborder un thème plutôt inattendu dans l’UE bien qu’il renvoie directement au danger de l’addiction au Côté Obscur dont sont parfois victime les jedi (si je vous jure, souvenez ce grand asthmatique en noir dans la trilogie originale).
    De son côté, le personnage de Jos continue à se chercher, ici au travers de son amour interdit pour sa collègue, Tolk. L’intervention du personnage de l’amiral Kersos, oncle de Jos, est d’ailleurs un ajout bien choisi au cruel dilemme du pauvre chirurgien.
    Quant aux autres protagonistes, ils continuent sur leur lancée du premier tome. Une mention spéciale à ce brave I-Five (Tope-là) qui n’a plus qu’un but dans la vie, atteindre (ou tout du moins simuler) un état d’ébriété avancé avec l’aide de son ami Den Dhur.


    III - Conclusion.
    Force est de constater que ce deuxième roman ne brille pas par ses surprises par rapport au premier, mais il n’en demeure pas moins excellent et en conserve toutes les qualités, à savoir principalement des personnages passionnants.



    + Les plus

    Les personnages toujours autant mis en avant.

    - Les moins

    Rien de forcément bien neuf.
    Un final un peu classique.

  • 17/03/2015
     (60 %)  •  Langue : VF
    Le RMSU-7 se remet péniblement de l'attaque surprise menée par les Séparatistes qui a mené à la mort du chirurgien Zabrak Zan Yant. Jos Vondar trouve le réconfort dans les bras de sa bien-aimée Tolk, mais la traîtrise et le mal rôdent toujours. Entre un espion au service des Séparatistes, les agents du Soleil Noir et le bota, drogue miracle tentant dangereusement la Padawan Jedi Barriss Offee, rien n'est simple sur Drongar. Il ne manquerait plus que le bota mute au point de devenir inutilisable pour obtenir une situation explosive !

    Nous sommes dans la droite lignée du premier volet, Chirurgiens de l'espace : les qualités et les défauts sont donc les mêmes que dans le tome précédent. Et décidément, non, je n'adhère pas du tôt à l'orientation choisie par les deux auteurs. Les personnages sont à l'arrière du front, et ne sont donc pas impliqués dans les événements "planétaires" importants, ne pouvant que subir ce qu'il se passe sur Drongar ; pas de problème, c'est un choix tout à fait défendable. Le problème, c'est qu'il faut remplir 300 pages.

    Et là, ça tourne au n'importe quoi. Les personnages sont tous des dépressifs chroniques, perdus dans leurs pensées qu'ils nous ressassent encore et encore à chaque nouveau Chapitre où on les retrouve. A ce titre, les différentes parties mettant en vedette Kaird le Nediji en deviennent pénibles à force de lire et relire la même chose, formulée différemment... Passée son introduction, le nouveau chirurgien Uli ne sert pas à grand chose. La relation amoureuse entre Tolk et Jos, assez mignonne dans le premier volet, devient pathétique dans cet opus : après le grand discours final de Tolk, sur l'air de "on se moque de l'avenir, profitons du temps présent", une semaine ou deux plus tard, elle change d'avis et préfère rompre. Zut, les arguments qu'elle emploie maintenant sont les mêmes que ceux que Jos objectait dans Chirurgiens de l'Espace ! :grrr:

    Le cas Den Dhur enfin. L'un des personnages plus sympathiques du premier tome est réduit au stade d'alcoolique - ce qui de toute façon est le cas de la plupart des protagonistes. Son but dans le roman ? Permettre au droïde Tope-là d'expérimenter à son tour la joie d'être bourré... :perplexe:

    Enfin, mais ce n'est pas la faute des auteurs, la traduction française est aussi peu glorieuse que le premier volet. Coquilles, oublis de traduction (Black Sun... :grrr: ), formulations peu claires... Tout ça n'aide pas à s'impliquer plus avant dans le roman !

    Un seul volet aurait largement suffi. Plus long, mais mieux maîtrisé, il aurait pu nous offrir bien plus que cela. Ici, j'ai trouvé le temps long, et j'en devenais impatient de terminer le roman mais pas pour les bonnes raisons. C'est bien dommage car, finalement, la meilleure partie de cette duologie... c'est la nouvelle Intermezzo (traduite par les Chroniques Oubliées :wink: ) qui nous donne tout : des personnages crédibles, humains, qui ne sont pas obsédés par la quête éternelle d'une bouteille tout en étant confronté à des choix éthiques et moraux douloureux. Un comble.

    Note : 60 %
  • 06/10/2016
     (90 %)  •  Langue : VF
    Quasiment aussi bon que le premier, ce deuxième Medstar met à l'honneur un personnage cher à ce duo d'auteurs: le docteur Uli.
    Le style est à peu près similaire à "chirurgiens de l'espace", et se place juste derrière "Intermezzo".
    Un très bon moment encore une fois, malgré quelques passages un peu redondants.