Quand on ne sait pas répondre sur le fond:
- on verse dans l'attaque de la personne qui parle
Calimero a écrit:C'est bien ce que je dis, vous jouez les technicien de la narration alors que vous n'y connaissait rien, ou en tout cas pas plus que moi.
Tu n'a peut-être pas assez lu, ou parler avec les mauvais pro, où alors tu comprends pas ce que t'a lu ou ce qu'il t'on dit.
(...)Tu te fou de moi ? Tu viens d'enterer ta crédibilité. Une tel mauvaise foi est hallucinante.
(...)mais tu dois être aveugle
(...)Comme je l'ai dit il va falloir arrêter de se faire passer pour un technicien de l'art narratif, et de parler comme si tu en savait plus que les autres sur le forum parce que t'as lu deux-trois truc. Tu ne connais pas les connaissance de tes interlocuteur sur le sujet, évite donc de présumer que t'en sais plus qu'eux ( et que moi. )
- répéter en boucle les même arguments basés sur son ressenti sans jamais y apporter une référence théorique ou des exemples analogues
Calimero a écrit:Ce que tu ne comprends pas c'est qu'il ne sont pas important pour le fil narratif du film mais le sont pour celui de la trilogie, et un film fait pour être le premier d'une trilogie doit se suffire à lui même en tant que film qui à SON intrigue, avec des éléments qui participe à l'intrigue de la saga qui seront résolu plus tard qui ne doivent pas interféré avec l'intrigue du film seul. Et ici les éléments irrésolu n'empêche pas de profiter de l'intrigue du film, on a pas besoins de savoir quoi que ce soit de plus.
Les canons établis ne disent rien de ce que tu dis mon coco.
En analysant à travers l'écriture, la mise en scène, et selon les canons établis que moi j'ai lu, on a pas forcément besoins d'être au clair sur les conflits et enjeux des personnages si ces conflits ne sont pas important pour l'arc narratif du film.
Va falloir m'expliquer les subtilité. Pour moi un mystère, c'est une question qui se pose à laquelle il manque des réponses, c'est ce qui se passe dans la caractérisation de Ben. Va savoir ce que t'appelle précisément une situation floue après.
Bref le laius sur ma sympathie sonne bien faux après autant de choses dites sur moi.
Je conclurai donc sur cette dernière attaque:
Calimero a écrit:Non, encore une fois tes connaissances en l matière semble fausse ( je me permet de te prendre de haut autant que tu le fait, tu m'en veux pas ). Une mise en scène, et la caractérisation du personnage n'est pas forcement faite pour crée l'empathie, elle peut viser à crée la detestation ou l'incomprehension, selon ce qui nous est le plus utile à la narration en faite ( et là y en a des exemple à foison. ).
Ici l'incomprehension est parfaitement crée, tu le dis toi même, parfait, les moqueries elle ne viennent que de la gueule de driver, et ça c'est triste, ça vient pas d'un problème de caractérisation ou de mise en scène, mais de la connerie des gens.
L'empathie est par définition la capacité de se mettre à la place d'autrui, de ressentir ce qu'il ressent. C'est un moyen qui permet d'amener le spectateur à avoir une émotion vis à vis du personnage. Pour susciter identification, détestation ou incompréhension.
Voici ce que dit une de mes références:
"Caractérisation : ensemble des attributs (apparence, costumes, etc.) et des comportements (actions, gestes, etc.) qu’un auteur confère à un personnage pour le rendre vivant, crédible.
Comment rendre un récit vivant ?
Pour rapprocher un spectateur réel et un personnage de fiction, le mieux est de s’appuyer sur la plus universelle des sensations humaines : l’empathie."
Et voici ce que dit une de mes connaissances dans le monde de l'écriture de scénario :
Le méchant torturé : c’est un méchant à plusieurs détentes. En général, l’histoire nous explique pourquoi il est devenu méchant même si au départ, ce n’était pas une mauvaise personne. Ce type de méchant a une profondeur psychologique, il a un passé et une faille . Javier Bardem incarnant Silva dans Skyfall en est une parfaite illustration. En général, l’histoire nous donne les clés pour comprendre ce type de personnage, qui fait qu’on pourrait presque sympathiser avec lui. Le danger de ce type de méchant est d’en faire un être plus attractif que votre héros (car il vit plus de conflits). Une bonne façon d’éviter cet écueil est de montrer son côté obscur de façon claire (Bardem n’hésite pas à tuer une innocente par plaisir par exemple ou de s’en prendre à quelqu’un sans défense) quitte à justifier l’injustifiable…
Bien je clos ici l'échange et laisse les lecteurs juger. Car mon credo est toujours de voir chez les gens, non pas la connerie mais l'intelligence qu'ils peuvent avoir.