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Dark vador40 a écrit:Comme quoi on peut vite changer d'avis
-THX- a écrit:-THX- a écrit:Putain je m'excuse dix ans après pour ces propos, j'arrive pas à croire que j'ai pu penser ça même à l'époque...Surement très emballé par le film... parce que je l'ai jamais revu en VF par la suite...
Rocket a écrit:Faut vraiment que je le regarde en VO, au moins une fois. Perso la VF me convient mais pour avoir vu juste certaines scènes (comme le combat final) en VO ça me donne de plus en plus envie ... 10 ans sans le voir en VF par contre, impossible pour moi
-THX- a écrit:Y a aussi quelques plans avec Obi et Vader doublés numériquement qui sont bien crades, dans la salle de contrôle sur Mustafar.
Dark vador40 a écrit:Oui mais c'est assez dur sans les st cars ils parlent vite
Rocket a écrit:-THX- a écrit:Y a aussi quelques plans avec Obi et Vader doublés numériquement qui sont bien crades, dans la salle de contrôle sur Mustafar.
Je vais sûrement me le refaire dans le week-end et j'essaierai d'y prêter attention mais encore en France on a pas trop à se plaindre question doublage (comparé aux doublages asiatiques ou espagnol par exemple) surtout pour des films d'une telle envergure.
Dark Blasterd a écrit:Bonsoir à tous , au risque de choquer les puristes , je suis un grand fan de star wars et je trouve que la revanche des sith est le meilleur opus de la saga , il se passe le plus de chose , il montre vraiment le passage d anakin a Vador et la montée en puissance du côté obscur
Nigel a écrit:
On comprend aussi l'intérêt de Palpatine porte à anakin. C'est Darth Plagueis qui a aidé pour la conception d'anakin. Darth Plagueis étant son ancien maître, il a pensé qu'anakin peut être comme "son géniteur" (si on peut dire ça). Palpatine a tué son maitre pour prendre sa place de maitre Darth et il prend la place de Darth Plagueis face à anakin (la référence du père). Anakin n'a pas réagit à la révélation !!! Est il au courant pour sa conception ?
Joysstar a écrit:Nigel a écrit:
On comprend aussi l'intérêt de Palpatine porte à anakin. C'est Darth Plagueis qui a aidé pour la conception d'anakin. Darth Plagueis étant son ancien maître, il a pensé qu'anakin peut être comme "son géniteur" (si on peut dire ça). Palpatine a tué son maitre pour prendre sa place de maitre Darth et il prend la place de Darth Plagueis face à anakin (la référence du père). Anakin n'a pas réagit à la révélation !!! Est il au courant pour sa conception ?
Dans le film, ça se sent que Palpatine manipule Anakin sur la manipulation des midichloriens pour obtenir la vie. Je pense plutôt que Plagueis a tenté quelque chose avec les midichloriens mais a échoué. Du coup, la Force a créé Anakin afin de détruire les Sith. Si Plagueis avait effectivement conçu Anakin, il n'aurait jamais aimé aussi passionnément sa mère, que Padmé ou ses propres enfants. En plus, Lucas l'a confirmé, la Force a conçu Anakin. Non, Anakin n'a pas été conçu par Plagueis. Ne nous laissons pas avoir par les mensonges de Palpatine.
Emile a écrit:Spoiler: Afficher
Cedric48 a écrit:- les incohérences scénaristiques avec le reste de la saga:
obi wan oublie beaucoup de choses:
- l'existence de R2D2 et C3PO
- l'existence d'une jumelle
- le fait que léia soit une skywalker (il est présent quand les organa prennent Léia).
Cedric48 a écrit:le visage brulé d'Anakin dans le III qui ne l'est plus dans le VI
Cedric48 a écrit:Enfin, que dire du final grotesque, Vador le badass qui pousse son petit cri ...NNNNNNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOONNNNNNNN!!!!
Cedric48 a écrit:- les incohérences scénaristiques avec le reste de la saga:
obi wan oublie beaucoup de choses:
- l'existence de R2D2 et C3PO
- l'existence d'une jumelle
- le fait que léia soit une skywalker (il est présent quand les organa prennent Léia).
Autres choses
- Léia dans la première trilogie a des souvenirs de sa mère, alors qu'elle meurt en couche dans la prélogie.
- le visage brulé d'Anakin dans le III qui ne l'est plus dans le VI
Cedric48 a écrit:Bonjour je veux bien que l'on veuille tout faire fonctionner mais la révélation de l'autre c'est Yoda qui en fait l'allusion alors que la projection astrale d'Obiwan indique qu'il n'y a plus d'espoir au moment ou Luke quitte dagobah pour rejoindre ces amis sur Bespin (épisode V).
Cedric48 a écrit:Donc clairement il n'y a pas de cohérence entre l'épisode III et la révélation de l'existence de Léia dans l'épisode V.
Cedric48 a écrit:Concernant les droïdes je ne suis pas d'accord il y a un lien plus profond entre les humains et certains droïdes.
Cedric48 a écrit:PS: donc luke qui se sait adopté ne peut pas se souvenir de sa mère grâce à la force?
Quand tu parles de mythe je suis d'accord Vimana mais justement il n'y a plus cette dimension dans la prélogie car le mystère fait place à des éléments d'explication qui enlève le mystère de la construction mythologique.
Emile a écrit::hello:
J'avais publié cet imbuvable pavé ( ) en d'autres lieux, et je recopie donc mon avis ici
Quand Un Nouvel Espoir s’ouvre, Luke Skywalker est cet enfant rêvant plus que tout de prendre son envol d’adulte, avec comme point terminal de cette voie lactée qu’il s’apprête alors à emprunter cette figure chimérique de l’adulte qu’il promet de devenir, figure hantée tout au long du métrage par cette image illusoire et idéalisée qu'on lui fait de son Père : Anakin, grand pilote et guerrier Jedi, Héros d’un autre temps. Mais comme souvent dans ce genre de récit où un enfant court vers l’image et l'héritage de son père, Œdipe se révèle ne pas être loin. Pour cause, lors du final tumultueux de l’épisode suivant, Luke tombe littéralement dans le gouffre des désillusions, et nous avec lui : son père est un monstre ténébreux et inhumain, celui-là même qu’il doit combattre, et tuer. C’est un peu ainsi qu’un enfant peut d’un coup se faire adulte en prenant conscience que ses parents peuvent parfois être dans l’erreur, où l’ont été jadis. Le père n’est pas un dieu. Il ne l’a jamais été.
Tel Prométhée le Prévoyant qui chaque jour subissait les souffrances d’un foie inlassablement dévoré par un aigle divin et tortionnaire, Anakin, lui, subit le tourment d’un cœur rongé par les prévisions funestes d’un avenir qu’il ne peut contrôler et de destinées sur lesquelles il n’a pas prise. Et si Luke était au début cet enfant désireux d’être l’égal de son père, Anakin lui est cet enfant sans père, un titan parmi les hommes, qui, à force de constater cette injuste fragilité des mortels face aux malheurs et à la mort, veut être l’égal des Dieux. Et ce, dans le seul but de les en affranchir. Et c’est là qu’il se trompe de chemin, en prenant celui le plus court (le plus rapide, le plus séduisant, disait Yoda), avec la noble volonté, touchante mais forcément tragique, d’acquérir le pouvoir de préserver de la mort les êtres qui lui sont chers, et de les sauver de ses cauchemars prophétiques. Lui qui était un Marcheur du Ciel se retrouve ainsi à arpenter les sentiers obscurs qui bordent les rives du Styx, ses chairs brûlées à jamais enfermées vives dans le sarcophage sinistre qui le maintien en vie. Surement en dépit de son souhait. Son souhait d’en finir.
Son nom est Vador, et cet époustouflant épisode narre sa terrible histoire.
Charnière et conclusion parfaite du geste entier de la guerre des étoiles, cet ultime opus cligne de l’œil à ceux qui ont suivi amoureusement l’affaire depuis les 5 épisodes, depuis ces trente ans, et à moi, depuis mes 7 ans. Fort de cette complicité et de son statut unique de début, suite et fin, il peut alors se permettre de conjuguer avec panache l’action et le drame tantôt au passé-futur, tantôt au futur-passé. Alors pétrifiés par la vision d’un Anakin tordu de douleur hurlant sa haine alors que sa colère le consume, nous savons : il y a dix-sept ans, Anakin renaîtra de ses cendres ; dans vingt-cinq ans, Dark Vador revint dans la lumière. Nous le savons, c’était, et ce sera, dans Le Retour du Jedi.
Et à travers ce canevas mythologique passionnant sur lequel Lucas brode les tapisseries faustiennes de la destinée d’Anakin, le créateur de la saga semble aussi se positionner sur un niveau étonnamment plus intime, posant un regard lucide et légèrement chagriné sur son parcours d’homme et de cinéaste. En 77, tel un Luke songeur devant ce double crépuscule, il était ce jeune cinéaste s’engageant dans une aventure pleine de promesses et de rêves d’indépendance vis-à-vis de la dictature hollywoodienne. 30 ans plus tard, à l’image de Vador sur le pont d’un redoutable croiseur dans les dernières minutes du film, il est cet homme démiurge perclus d'amertume, dont la quête d’indépendance s’est muée progressivement en une solitude bien cloisonnée, désormais perçu comme un traitre à sa propre cause par une frange de ses admirateurs d’autrefois, à la tête d’un Empire de contrôle et de pouvoir, regardant cet astre artificiel et laid se construire, cette Guerre des étoiles qui l’a occupé pendant trente ans. Lucas est le Prométhée d’Hollywood.
Et Sidious, le Malin en ces lieux. Quand il révèle enfin son véritable visage, masque livide de la mort et regard aux éclats perçants de démon, incarnation géniale du cauchemar de Fussli, Iago terrifiant et machiavélique d’une autre galaxie, il enclenche dans le même temps les retrouvailles tant attendues avec la dichotomie du bien et du mal, souterraine dans les deux précédents opus, dans un déchainement des Forces revenant à la fabuleuse mystique de la trilogie originelle.
Spectaculaire au possible, plus que jamais opéra, sombre et lyrique, incroyablement dense – trop peut-être, imparfait, parfois maladroit, La Revanche des Sith clôt, complète et initie tout le cycle Star Wars avec contraste et intensité, suivant le fil simple et efficace d’une narration resserrée au maximum et sur lequel sont enfilées d’anthologiques séquences. L’ouverture vertigineuse sur les percussions martiales de Williams, les ombres qui commencent à se dessiner dans l’alcôve d’un opéra où résonne une chorale lugubre et irréelle, le périple d’Obi-Wan qui hume le bon vieux serial dans sa poursuite du Général Droïde, un Mage noir qui jubile d’un rictus diabolique de se jouer des nacelles de la démocratie, ce duel fratricide au sein d’une Caïne antédiluvienne. Et, aussi, lorsqu’au détour d’une scène muette, primitive et touchante, le film embrasse d'une sublime façon le parfum tragique qui accompagne la tournure que prend l’histoire, quand les deux époux, séparés par un océan de métal, se regardent sans se voir alors que le soleil se couche définitivement sur leur bonheur.
Mon affection pour ce film est immense, elle dépasse le film en lui-même, ses qualités comme ses défauts. Elle est intimement liée à mon parcours, de film en film, depuis tout petit et qui m’a fait grandir en tant que spectateur. Ce film, c’était une promesse, et c’était une très forte émotion que de la voir être tenue d’une si belle façon, avec la poigne au cœur et la gorge nouée d’être le spectateur d’un voile qui se lève enfin sur cette fascinante et ténébreuse icône : de manière aussi inattendue que bouleversante, ce n’était qu’un homme passionné qui voulait donner le feu là où il voyait une froide injustice, et qui finit tragiquement consumé par lui.
Wade Starrwalker a écrit:
Bien sûr, cet épisode III n'est pas parfait. Pour cela, il aurait déjà fallu un Dark Sidious moins caricatural (le délire des changements de tonalité vocale et les sifflements rauques quand il s'adresse à Anakin/Vador sont encore un mystère pour moi aujourd'hui, sans compter son basculement comique cul par-dessus tête lors de son affrontement avec Yoda) tant l'Empereur de l'Episode VI incarnait bien plus et avec quelle subtilité talentueuse le mal absolu, la corruption totale, le côté obscur irréversible fait homme.
ghallium a écrit:Wade Starrwalker a écrit:
Bien sûr, cet épisode III n'est pas parfait. Pour cela, il aurait déjà fallu un Dark Sidious moins caricatural (le délire des changements de tonalité vocale et les sifflements rauques quand il s'adresse à Anakin/Vador sont encore un mystère pour moi aujourd'hui, sans compter son basculement comique cul par-dessus tête lors de son affrontement avec Yoda) tant l'Empereur de l'Episode VI incarnait bien plus et avec quelle subtilité talentueuse le mal absolu, la corruption totale, le côté obscur irréversible fait homme.
J'avoue, il fait parfois très "méchant de Power Rangers" dans cet Episode III mais bizarrement, je marche à fond. On voit que Ian McDarmid est un acteur de théâtre et il surjoue pendant tout cet épisode, ça donne un petit grain de folie vu que les performances des autres acteurs sont assez proprettes.
C'est sûr que ça casse un peu le dramatique de certaines scènes, mais je trouve ses interventions très fun. Au point que lors de la mort de Windu, il fait presque comic-relief.
DarkNeo a écrit:Le faite qu'il se détourne du côté obscur pour la lumière peut l'expliquer aussi.
Sergorn a écrit:Bah le fait que Anakin et Obi-Wan ait "ramené" l'esprit d'Anakin est la seule explication de toute façon, et je ne pense pas qu'on en verra une autre.
-Sergorn
HanSolo a écrit:Sergorn a écrit:Bah le fait que Anakin et Obi-Wan ait "ramené" l'esprit d'Anakin est la seule explication de toute façon, et je ne pense pas qu'on en verra une autre.
-Sergorn
Admettons ...
Maintenant c'est assez etrange que l'initiateur de cette technique (QGJ) soit absent a la fin de l' Episode VI ...
ashlack a écrit:On peut supposer qu'il faille un lien avec celui qui voit les fantômes (en l’occurrence Luke). Et même s'ils peuvent appraître comme ils veulent, qu'est-ce que Qui-Gon viendrait faire là ? Il n'a pas grand-chose à voir avec Luke
HanSolo a écrit:Admettons ...
Maintenant c'est assez etrange que l'initiateur de cette technique (QGJ) soit absent a la fin de l' Episode VI ...
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