Charmant sujet!
Moi je crois que ce qui m'a le plus marqué ça a été la première fois que j'ai vu la bande annonce de la menace fantôme au cinéma.
J'étais alors pas encore fan de starwars, et en tant que bon appartenant au commun des mortels, j'associais volontiers Lucas au reste des films hollywoodiens qui sortaient. A l'époque où j'avais appris que Lucas ressortait une "prélogie" (quelle idée étrange) je m'étais dit "tiens, il n'a pas encore assez d'argent?"
Et un jour, dans un petit ciné où j'étais mal assis, j'ai vu la bande annonce. Ah... holàlà! J'en ai pris un coup parce que ce que je considérais jusqu'alors comme "une daube de film d'action de plus" est passé directement de ce rang à "mon prochain film que je ne peux pas rater même dans mes rêves". J'ai été sidéré par la qualité des effets spéciaux, il y avait tellement de plans impossibles, de trucs que je n'aurais jamais cru, et même un personnage entièrement fait en images de synthèses du début à la fin!!! (ouais bon, riez pas lol) Toutes ces scènes de jour, et biensûr la fameuse course! Et evidemment les quelques plans sur un athlète peint en rouge et noir... J'ai cherché et épié tous les programmes tv pour être sûr de ne rien rater sur ce nouveau film. Je n'avais pas le net alors j'ai dû me contenter de ça.
Ensuite les quelques moments marquants en résumé ça a été la rencontre avec un wookie
, c'était le premier fan que j'ai rencontré. Et finalement la première projection, j'ai pas tout compris l'histoire parce que
SW je ne connaissais pas très bien ça, je ne savais même pas trop combien de films
SW existaient déjà à cette époque... Au moment du début, avec ma glace à la main et tous ces étudiants qui pestaient, certains téléphonaient même pendant la séance, je me suis dit "ça y est, je crois que je dois rentrer dans la catégorie 'fan'". J'm'en suis pas réjoui mais le fait était là, le scène ou Qui Gon a coupé la porte restera gravée! Je me disais que c'était tellement bien, enfin, un film où un réalisateur laissait libre cours à ses envies, il a coupé la porte, wahou!
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