Je ne pensais pas avoir autant de succès ^^ En même temps, c'est que le début, cette Guéguerre I n'est pas aussi bonne que la II...
Valà une ptite suite pour rattraper ce week-end :
Pour une fois, le silence régnait au sein du Chrisaor. Normal, c’était la nuit. Et même si l’équipage s’amusait bien pendant son travail, il n’était pas du genre à faire des heures sup’ : la nuit servait à dormir…sauf pour quelques irréductibles bien sûr ! Les chambres du lieutenant Pauline et du commandant Edwige étaient situées juste au-dessous des appartements du général. Aussi, la nuit était pour elles le moment d’une intense activité, occupées qu’elles étaient à fabriquer des gadgets destinés à la chambre de Pikachu. Mais si ce n’était que ça…encore, ça irait ! Pourtant, il y avait autre chose, parfois au milieu de la nuit retentissait une musique infernale. C’était Edwige qui était mélancolique (à cause de Mirage !). Elle jouait de cet instrument primitif qu’elle avait récupéré sur une planète tout aussi primitive : cela s’appelait l’orgue d’Eglise et venait de la Terre. En même temps, elle avait récupéré des partitions d’un certain J.S. Bach, entre autres La toccata et fugue en Ré mineur, un truc bien grave qui faisait vibrer tout le vaisseau à chaque fois qu’elle le jouait. Heureusement, sa chambre était insonorisée. Il y avait juste un micro posé sur l’orgue et branché sur les haut-parleurs de la chambre de Pikachu. Celui-ci se déclenchait à chaque fois qu’elle jouait et cela abreuvait notre ami d’une charmante mais bruyante musique. Voilà pourquoi tous les matins le général se réveillait avec des poches sous les yeux et la gueule enfarinée. Le pauvre n’avait jamais réussi à localiser l’orgue puisqu’il était caché par un faux mur lorsque l’on entrait dans la chambre d’Edwige (Vive le progrès !). Et quand le général essayait d’en parler, tout l’équipage rétorquait en cœur qu’il avait des hallucinations…
La vie continuait à bord du Chrisaor alors qu’un grand danger se profilait à l’horizon.
–Salut, c’est moi, je suis Sancho de Couba, Tchik Tchik y Boom. C’est moi le danger !
*****
–Bon, il va falloir que ce cinéma cesse. Vous savez très bien que nous sommes en période de guerre et franchement, j’ai plus l’impression d’être dans une maternelle que dans un vaisseau de guerre.
–Une maternelle où tous les élèves se saoulent tous les soirs.
–Très drôle, mon cher…Rappelez-moi votre nom, je vous prie, dit froidement Sébastien Fighter.
–Gaulois…My name is Gaulois…Romain Gaulois, déclara fièrement le quidam qui semblait s’appeler Gaulois.
Le commandant Edwige La Chouette se leva et expliqua "calmement" (comme cela lui arrivait parfois !)
–Je suis tout à fait d’accord avec vous, M. Fighter…
Elle s’arrêta quelques secondes sans s’occuper des huées de ses collègues puis reprit :
–Cependant, je me permets de nuancer vos propos. Effectivement, nous sommes en période de guerre ; alors oui il faut être sérieux…mais seulement en mission. Le reste du temps, j’estime qu’il est très important que chaque membre de l’équipage puisse décompresser, et ce, pour son équilibre psychologique. Je veux que mes hommes soient toujours en forme.
–Et vous n’avez rien trouvé de mieux pour décompresser que de vous amuser aux dépens du général ?
Edwige fixa Sébastien puis avoua franchement :
–Non.
Cela déclencha immédiatement les applaudissements des membres d’équipage. A cette seconde, le général Pikachu sut qu’il avait perdu cette bataille. Si effectivement ses hommes se calmaient pendant quelques temps, les "bonnes blagues" reprendraient bien rapidement. Après quoi, Sébastien Fighter annonça l’arrivée de Patricia. Audrey Bumbo, quand elle la vit, hurla :
–Non, pas elle !
Patricia rétorqua :
–Et ben si ! Et maintenant que je suis là, tu ne pourras plus te débarrasser de moi.
Après quoi, elle fit un grand sourire enjôleur au général qui, rougissant, se dépêcha de détourner le regard de son décolleté. Il commença le briefing :
–L’heure est grave…
*****
–Ah, ah, ah ! Vous commencez tous vos briefings comme ça, rétorqua Sébastien.
–Bon, c’est vrai…Voilà ! Nos routes de commerce sont attaquées par des forces impériales, ce qui bloque nos sources de revenu, et donc vos salaires par ailleurs. Nous devons trouver ces forces, les détruire ainsi que leurs infrastructures et capturer leur chef.
–Des informations sur leurs forces ? demanda Fabien, le spécialiste en infiltration et sabotage.
–Et bien…Selon le Haut Commandement, elles ne sont pas immenses.
Un brouhaha se fit entendre.
–S’il vous plaît, calmez-vous. Je sais que vous avez remarqué comme moi les forces déployées. Je pense que le Haut Commandement nous cache quelque chose sur leur importance. Je vous demanderais de rester prudents. Vous pouvez disposer…
Les pilotes se dispersèrent.
–Un instant ! Edwige, Pauline, Bumbo et Mélanie, venez me voir.
Les quatre pilotes s’avancèrent : Edwige, toujours souriante ; Pauline avec son regard espiègle et les deux sorcières de Dathomir qu’on pourrait trouver superbes si elles n’avaient pas cette faculté à charmer les hommes (mais bon même sans cette faculté elles font déjà partie des plus belles femmes du vaisseau) et leur haine relative pour les hommes.
–Bon voilà. Vous avez dû sentir un trouble dans la Force. Je pense que des Sith sont dans les forces impériales. Je vous demande de faire attention si nous les rencontrons.
–Ne vous inquiétez pas. On sait se débrouiller, répondit Edwige.
–Au contraire de vous, rétorqua Mélanie.
–QUOI ? ? ? Mélanie, venez s’il vous plaît.
La pilote s’approcha.
–Bon, je sais que c’est Faudé qui vous a formé, mais c’est pas la peine de reporter la haine qu’elle me porte ; d’ailleurs je me demande toujours ce que je lui ai fait… J’ai pourtant fait tout ce qu’elle me demandait…
–Normal que vous ne compreniez pas…Vous êtes un homme !
–Bon on reprendra cette discussion plus tard. Vous pouvez disposer.
Le général se retrouva seul.
–Mais qu’est-ce que je lui ai fait ? J’étais pourtant fier d’être le seul homme qu’elle ait formé. Je ne comprends vraiment pas.
Il rentra dans ses quartiers.
*****
–Bien dormi général ? demanda le commandant Fighter.
–Non…Il faut vraiment que je débranche ces haut-parleurs.
–Bon, pour te réveiller je te propose un petit tournoi…
–Un tournoi ?
–Une petite joute spatiale…
–Tu as amené le Krishna ?
–Oui, mais, tu sais, je l’ai modifié : boucliers plus résistants et deux lasers en plus. Et toi, toujours un YT-1300 ? (Note de la Recopieuse : pour tous ceux qui savent pas ce que c’est, ça ressemble au Faucon Millenium)
Le commandant eut un sourire, pensant qu’il avait toutes les chances de gagner contre un YT-1300.
–Pas tout à fait…Viens avec moi.
Ils partirent pour le hangar.
–Alex ! Vous pouvez nous ouvrir l’Otana?
–Bien sûr, répondit le chef mécano, twi’lek à la peau bleue. Vous voulez continuer à le modifier ?
–Pas aujourd’hui.
Le commandant fut stupéfait.
–Mais, mais …
–Et oui, c’est un YT-2000.
–Ca n’existe pas !
Le vaisseau avait un peu l’ancienne structure du YT-1300 mais on ne le reconnaissait pas : le cockpit était au centre, la partie cargo était plus bombée et elle était flanquée de deux tourelles en haut et en bas.
–J’ai aussi rajouté un canon à ions, amélioré les moteurs et les boucliers.
–Y’a combien de membres d’équipage ?
–De deux à quatre.
–Qui était le pilote avec toi ?
–Eh bien c’était mon second.
–Ah, désolé…On ne fait pas cette joute alors.
–Si, si attends…
Le général demanda à tous les pilotes de venir au hangar.
–J’ai besoin d’un membre d’équipage pour l’Otana, pour une joute avec le commandant. Qui veut venir avec moi ?
Tout le monde resta bouche bée.
–Personne ?
–Si, moi, répondit Edwige hâtivement.
–Bien si vous voulez il y a deux places de libre encore…
Les lieutenants Le Spain et Gaulois se proposèrent.
–Bien vous serez les deux canonniers. Si les autres pilotes veulent assister au combat, ils pourront le faire sur la passerelle. Rendez-vous dans deux heures.
Il s’en alla.
–Il est malade ou quoi ? Il nous a jamais laissé approcher de son vaisseau, remarqua l’Innocente.
–Il a besoin de nous maintenant, dit Edwige. Je vais enfin voir comment il réagit au combat.
–Qui ? Le vaisseau ou le général ?
–Les deux…
*****
Les deux vaisseaux étaient prêts à décoller.
–Après vous, général !
–Non, vas-y en premier. Ton vaisseau est plus souple…
–A vos ordres mon général ! dit Sébastien d’une voix ironique.
Le Krishna sortit. C’était un VAI de la même sorte que celui de Boba Fett, mais avec deux lasers en plus sur les côtés. L’Otana sortit à son tour. Les deux vaisseaux se retrouvèrent face à face à deux klicks de distance.
–Voilà les règles. Trois manches : le premier qui a perdu son bouclier a perdu la manche.
–D’accord.
–Go !
Les deux pilotes poussèrent leurs vaisseaux à pleine vitesse. Le VAI entama un piqué. L’Otana le suivit.
–Canonniers, préparez-vous à le mitrailler !
–On va le mettre K.O, mon général !
L’Otana se rapprochait du VAI quand celui-ci, plus souple, entama un virage très serré. L’Otana tenta de le suivre mais le perdit.
–Canonniers, vous le voyez ?
–Non, général, il n’est pas sur nos écrans…
–Edwige, est-il sur les radars ?
–Non, ce n’est pas possible ! …attendez ! Il est juste derrière !
–Et merde ! Dans l’angle mort !
Le VAI n’eut pas de mal à enlever les boucliers de l’Otana.
–J’ai gagné la première manche, général…
–Bien commandant.
Les deux vaisseaux reconstituèrent leurs boucliers. Puis ils recommencèrent. Cette fois, le général anticipa les manœuvres du VAI et les canonniers eurent la joie de détruire les boucliers du VAI.
–Je suis impressionné, général ! dit Sébastien.
–Tu utilises la même technique, Sébastien…
–O.K, je vais changer…
Cette fois les deux vaisseaux restèrent face à face. A distance de tir ils se mitraillèrent ensemble jusqu’à ce que l’Otana entame une manœuvre d’évitement. Le VAI le suivit mais ne put l’accrocher.
–Bon, on va l’avoir cette fois-ci, s’exclama Pikachu.
–Hum…Non général ! Je voudrais surtout pas vous déranger…mais je crois qu’on a un problème !
–C’est ça, c’est ça ! Écoutez commandant, vous ne voyez pas que je suis occupé.
–Oui, vous êtes occupé, d’accord…. Mais là, on a un gros problème.
–Arrêtez vos histoires et regardez les radars ! Enfin, cessez de m’importuner quoi !
–Mais putain mon général, regardez-les ces radars !
Edwige criait et était véritablement en train de piquer une crise ! Pikachu voyant son état, s’approcha des dits radars. Et au moment où Pikachu baissait les yeux sur le radar, une musique infernale retentit sur tous les canaux de communication :
–Yé suis Sancho de Couba ! J’aime danser la salsaaaa ! Et yé dit Tchik tchik y boom, tchik tchik y boom !
Les quatre membres d’équipage étaient pliés en deux en essayant désespérément de se boucher les oreilles. Le commandant Edwige hurla :
–Alors, vous voyez mon général qu’il y avait un problème ?
–Comment, je n’entends pas ?
–Vous n’êtes qu’un idiot !
–Comment, je n’entends pas ?
–Vous n’êtes qu’un idiot !
La musique s’arrêta avant la fin de sa phrase. Pikachu fixa les trois pilotes qui venaient de hurler et leur dit :
–Alors, je ne suis qu’un idiot ?
Une voix retentit dans le canal de communication :
–Bon, c’est pas le moment de se disputer, faut le débarrasser de ce pot de colle.
*****
–Mais qu’est-ce que c’est que ce bordel ? fit Pikachu, qui n’avait toujours pas compris. Edwige lui expliqua la situation.
–C’est très simple, général. D’abord, il y avait deux vaisseaux, le vôtre et celui de Sébastien, et maintenant, il y en a trois. Et pour passer de deux à trois, on ajoute un. C’est enfantin, et cela signifie donc logiquement qu’un autre vaisseau vient nous attaquer.
Elle avait dit cela sur le ton d’une mère qui s’adresse à son fils.
Aussitôt, Pikachu s’époumona :
–Branle-bas de combat ! Tout le monde à son poste !
Le lieutenant Pauline ouvrit l’intercom et annonça d’une voix froide :
–Avec tout le respect que je vous dois, général, cela fait plusieurs minutes que nous y sommes. Nous n’attendons plus que vous.
Un silence pesant s’installa. Il fut brutalement interrompu par une forte secousse du vaisseau.
–Boucliers à quatre-vingt pour cent du nominal, annonça aussitôt Edwige, retrouvant ses réflexes professionnels.
–Nous n’arrivons pas à les avoir, lancèrent Le Spain et Gaulois. Ils parviennent à éviter tous nos tirs.
–Utilisez la Force ! cria Pikachu. Vous êtes des Jedi, oui ou non ?
Au moment où il disait ces mots, tous les occupants du vaisseau sentirent une chape de froid tomber sur eux. Pikachu et la Chouette échangèrent un regard inquiet.
–Que se passe-t-il ? demandèrent Gaulois et Le Spain.
–Ils n’ont rien compris, murmura Pikachu.
–Normal, ils ont moins d’expérience que nous, rétorqua Edwige.
–Ne cherchez pas à comprendre et bousillez-moi ce vaisseau ! ordonna Pikachu dans l’intercom.
Surprise par la véhémence du ton du général, Le Spain répondit :
–A vos ordres.
Les deux canonniers se concentrèrent davantage, et un tir parvint à sa destination, soit LE point faible des boucliers des vaisseaux de cette classe. Les boucliers furent réduits à néant. Un autre tir, tiré cette fois par Gaulois, bousilla un stabilisateur.
Alors qu’ils allaient le rattraper, il fila dans l’hyperespace. Gaulois lança un juron. Mais l’intercom était resté ouvert et Pikachu avait tout entendu.
–Essayez de vous contrôler, Gaulois. Un Jedi est censé avoir une certaine sagesse, sérénité et maturité, et par ce vocabulaire inapproprié, vous nous déshonorez. Compris ?
–Compris, général, répondit Gaulois, complètement abasourdi.
Ils rentrèrent à la base.
*****
–Boubou ! Vous me récupérez les informations des enregistreurs de vol et vous me les transmettrez ainsi qu’au lieutenant Pauline.
–Bien, général !
Les autres pilotes arrivèrent dans le hangar.
–On a tout vu depuis la passerelle mais on n’a pas pu vous contacter à cause de cette musique…
–Qu’est-ce que c’était comme vaisseau ?
–Nous n’en savons rien, répondit Edwige. Pikachu et Pauline s’en occupent.
–Pikachu ? ? ? s’étonnèrent les pilotes.
–Eh oui, quoi qu’on en dise, c’est un expert en conception de vaisseaux et il doit s’y connaître plus que vous dans les vaisseaux du passé et du présent.
–Ca doit être sa seule qualité…. dit Mélanie.
–Mélanie ! Mais qu’est-ce que tu as donc contre lui ? demanda Fabien.
–Oh toi, la ferme ! Vous vous supportez entre hommes…
–Je ne sais pas ce qui me retient de te…
Fabien s’avança mais fut comme paralysé à deux mètres de Mélanie.
–Qu’est-ce qui m’arrive ?
–Ce n’est jamais bon de s’attaquer à quelqu’un contrôlant la Force. Calme-toi et je te libérerais.
–Arghh ! D’accord, dit Fabien, dépité.
Il fut libéré et partit.
*****
–Je suis sûr de les avoir déjà vus quelque part…dit Pikachu, perplexe.
–Mais ces informations ne correspondent à aucune de celles des vaisseaux en service, répliqua Pauline.
–Cet aspect, cette noirceur…
–Laissez tomber général. Ça doit être un nouveau type de vaisseau.
–Non ! Je suis sûr qu’il a déjà pas mal d’années derrière lui. Ses moteurs ne sont pas assez évolués pour être récents. Mais où est-ce que j’ai vu ces informations ?
Il y eut un silence.
–Ça y est ! Je m’en souviens ! C’était dans les archives de l’Ancienne République.
–Où avez vous pu les consulter ?
–On m’a ouvert les archives de Charmath.
Le lieutenant regarda le général avec étonnement.
–Comment avez-vous fait ? Ces archives ne sont ouvertes qu’aux historiens !
–J’ai eu la chance d’étudier les archives concernant les Sith. J’en avais fait la demande au général Skywalker. Et je peux affirmer que ce vaisseau est un "Infiltrateur Sith". Il était utilisé par les Sith pour leurs diverses actions. Le seul exemplaire de ce vaisseau qu’on ait pu étudier était celui d’un dénommé Dark Maul avant la guerre des clones.
–Mais ça remonte à des lustres !
–A mon avis les Sith ont retrouvé les plans de ce vaisseau et en ont construit un autre.
–Qu’est-ce qu’est capable de faire ce vaisseau ?
–Il est équipé d’un champ de dissimulation qui lui permet, une fois activé, d’échapper aux radars. Il a six canons lasers, peut transporter six passagers et a, à l’intérieur, des instruments de torture, des droïds espions et plein d’autres choses permettant au Sith qui le pilote de faire d’horribles choses.
–Bien…Que faisons-nous maintenant ?
–Eh bien je vais transmettre ces données à Boubou afin qu’il me trouve comment ce champ de dissimulation marche. Il me serait utile ainsi qu’à la Nouvelle République…
–Je crois que je vais vous laisser, mon général.
–Mais faites donc, lieutenant !
Le Spain sortit.
–Mais comment fait-il pour se rappeler de tout ? se demanda-t-elle.
*****
–Qui vous a permis de prendre mon vaisseau ?
L’ambiance était tendue sur la base de Sokaris IV. Dark X² était furieuse.
–Mais regardez-moi son état ! Lieutenant, j’attends une explication !
–Voilà, j’ai appris que Pikachu faisait une joute spatiale dans un secteur éloigné. Le seul vaisseau permettant de passer en hyperespace était le vôtre. J’étais sûre de gagner, mais avec un seul tir ils ont désactivé le bouclier.
–Lieutenant Sancho ! Vous êtes un de nos meilleurs éléments. C’est pourquoi je n’appliquerais qu’une punition très légère : deux semaines au trou !
–Oh non…s’il vous plaît !
–Oh que si ! Capitaine, mettez-moi là au trou !
Et ce fut ainsi qu’Audrey se retrouva au trou. Sans musique, elle déprima gravement, nourrissant en même temps une haine envers Pikachu, qui selon elle était responsable de son état.
–Je vais te faire payer, Pikachu !
(Quel suspens insoutenable...^^)
Bonus : Voici le général Sarkin alias Pika ^^ dessiné par Chouetta...