par The real Dark Vador » Mer 21 Juin 2006 - 15:20 Sujet:
Aprés l'épisode 1 alternatif,voici l'épisode 2 alternatif:
Star Wars
(Prélogie alternative)
Episode II :
La revanche des Sith
Il y a 18 ans que la guerre des clones a commencé. Ce terrible conflit a changé la face de la Galaxie. Les Jedi autrefois gardiens de la paix sont devenus des guerriers, des généraux pour les armées de clones de la république.
Ces temps de crises ont obligés le Sénat à prolonger le Mandat du Chancelier Suprême Palpatine, et lui ont donné les pleins pouvoirs.
Ce terrible conflit qui embrase la galaxie semble bientôt prendre fin.
En effet, Obi Wan Kenobi et Anakin Skywalker ont trouvé la cachette du Comte Dooku sur Géonosis et s’apprêtent à le capturer.
Chapitre 1
Géonosis
Anakin et Obi wan se retrouvent dans un immense hangar, rempli de pont de levage, de consoles de contrôle, de vaisseaux remorqueurs et de bancs de travail.
Ils découvrent Dooku à l’intérieur. Le Comte se tient devant un panneau et manipule des instruments. Une navette de type Tydirium repose dans une cale sèche à proximité, un vaisseau élégant aux ailes repliées.
Anakin dit « Vous allez payer pour tous vos crimes, Dooku », s’avançant vers le Comte avec détermination.
Obi wan retient Anakin et dit : « Nous y allons tous les deux, toi tu le contournes par… »
Et Anakin réplique : « Non j’y vais maintenant » crie Anakin, s’écartant de son ancien maître pour se mettre à courir »
Obi wan crie : « Anakin ! Non ! »
Comme un Reek en train de charger, Anakin fonce, brandissant la lame bleue de son sabre laser, décidé à trancher Dooku en deux. Le comte le regarde du coin de l’œil comme si la situation l’amusait vraiment.
Mais Anakin ne voit rien, la rage seule guide ses pas…
Le Comte n’a rien d’un guerrier ordinaire. La main de Dooku se lève brusquement en direction du Jedi, projetant un mur invisible aussi solide que du roc et décochant une vague de décharges énergétiques bleutées, qui soulèvent Anakin de terre.
« Comme vous pouvez le constater, mes pouvoirs dépassent de très loin les vôtres » dit Dooku, calme et confiant.
« Je ne le crois pas », dit Obi Wan, s’avançant lentement de son adversaire, son sabre laser à lame bleue en diagonale au dessus de son épaule.
Dooku sourit et active son propre sabre laser à lame rouge.
Obi Wan s’avance d’abord doucement puis chargea soudainement, lançant sa lame bleue de la droite vers la gauche.
Dans un mouvement presque imperceptible, la lame rouge croise la bleue puis se relève brusquement. Le sabre d’Obi wan manque sa cible et s’en va frapper le vide. D’un léger retournement de poignet, Dooku attaque, oblige Obi Wan à faire un bond en arrière. Ce faisant, il ramène son arme devant lui pour parer. Mais Dooku s’est déjà reculé pour adopter une parfaite position de défense.
Contre cette tactique, la soudaine volée d’attaques d’Obi Wan semble aussi exagérée qu’inefficace, car Dooku semble les contrer les unes après les autres, parant ou esquivant, sans pour autant donner l’impression de bouger. Alors qu’Obi Wan et la plupart des Jedi sont d’excellents sabreurs, le Comte Dooku, lui, est un bretteur hors pair, se battant selon une technique ancienne. Les Jedi dans l’ensemble, ont abandonné cette vieille technique de duel, considérant qu’elle est dépassée face aux ennemis qu’ils rencontrent le plus souvent dans la galaxie. Mais Dooku s’est entêté à la perfectionner, affirmant là qu’il s’agit là de la plus noble des disciplines de combat.
Et l’ancienne technique fait preuve de toute son efficacité. Obi Wan, bondit et tourne sur lui-même, frappant sur le côté, dardant son sabre laser vers l’avant. Mais tous les mouvements de Dooku paraissent infaillibles. Ses gestes suivent une ligne droite, d’avant en arrière, et des pieds se déplacent constamment afin de conserver un équilibre parfait. Il recule ou attaque avec une telle vivacité, avec des coups si dévastateurs, qu’Obi Wan est la plupart du temps obligé de battre en retraite.
« Maître Kenobi, vous me décevez », lance le Comte « Yoda à pourtant une bien haute estime de vous ! »
Ses paroles incitent Obi Wan à l’offensive et il chargea avec une série de coups droits et balayages.
Mais la lame rouge de Dooku se lève en diagonale de gauche à droite, forçant celle de Kenobi à glisser sur le coté. Le chevalier doit à nouveau faire quelques pas en arrière pour reprendre son souffle.
« Allons, allons, maître Kenobi, abrégez vos souffrances… » Dit le Comte, les lèvres retroussés en un sourire mauvais.
Obi Wan se raidit et fait sauter la crosse de son sabre d’une main à l’autre afin de raffermir sa prise. Puis il passa de nouveau à l’action dans un déferlement de mouvements, attaquant férocement, faisant aller sa lame bleue en tous sens, mesurant mieux ses coups, cette fois-ci, renversant régulièrement les angles, transformant brusquement un large balayage en une poussée directe. Dooku finit par reculer, agitant sa lame rouge Obi-Wan en respect.
Kenobi renforce son assaut mais Dooku continue de se défendre avec application. Quelques instant plus tard, la situation s’inverse de nouveau en sa faveur. Le Comte conserve son équilibre parfait, prêt à contre attaquer, alors que le chevalier s’est un peu trop avancé.
C’est au tour de Dooku d’attaquer, Sa lame rouge frappe et se rétracte avec une telle rapidité que toutes les tentatives de parades de la part d’Obi Wan se soldent par des coups dans le vide.
Obi-Wan est alors obligé de battre en retraite, encore et encore, et chacun des coups de son adversaire semblent, progressivement et irrémédiablement, sur le point de faire mouche.
Dooku fait soudainement un pas en avant, visiblement prêt à frapper Obi-Wan au niveau de la cuisse. La lame bleue fut abaissée pour l’interception. Mais au grand désarroi de Kenobi, le Comte interrompt son mouvement et relève brusquement sa lame selon un angle opposé. Obi Wan n’a pas le temps de changer la position de son propre sabre. Il n’a pas le temps, non plus, d’esquiver suffisamment le coup.
La lame rouge de Dooku s’enfonce violemment dans son épaule gauche. Kenobi se jette en arrière. Le Comte retire sa lame et celle-ci suit à nouveau sa course pour frapper la cuisse droite du chevalier.
Celui-ci titube, perd l’équilibre, heurte un mur. Dooku fonce sur lui, sa lame rouge fait un moulinet à l’intérieur de celle d’Obi-Wan et d’un brusque mouvement vers le haut, il envoie voler le sabre laser de Kenobi à quelques mètres de là.
« Voilà, c’est fini », dit Dooku à Obi Wan privé de défense.
Haussant les épaules, le Comte leva bien haut la lame de son sabre en direction de la tête de son adversaire.
Une lame verte s’interpose, interrompant le mouvement dans un fracas d’étincelle.
C’est Maître Yoda qui est venu à la rescousse de son ancien élève.
« Maître Yoda », souffle Dooku
« Comte Dooku » dit Yoda.
Dooku écarquille les yeux, se recule, lève son sabre laser à hauteur de son visage puis éteint sa lame avant de baisser la crosse en un salut officiel.
« C’est la dernière fois que vous contrecarrez nos plans, Yoda ! »
Dooku fonce sur son adversaire, en une attaque aussi soudaine que dévastatrice.
Qui n’atteint pas son but. D’un geste imperceptible, Yoda vient de dévier le coup.
Les actions de Dooku se transforment en un acharnement sauvage, plus violent encore que le déchaînement dont il avait fait preuve face à Obi Wan, et les coups se mettent à pleuvoir vers le petit maître Jedi. Yoda, pourtant, ne semble pas bouger d’un iota. Il ne prend même pas la peine de faire un pas en arrière ou de côté. Ses esquives subtiles et ses parades précises rendent inoffensifs tous les coups et balayages exécutés par Dooku.
L’échange dure pendant un long moment. A terme, les attaques de Dooku se ralentissent. Le Comte acceptant l’inutilité de sa tentative à terrasser son opposant, fit brusquement un pas en arrière.
Mais pas assez vite.
Dans une démonstration soudaine de puissance à l’état brut, Maître Yoda bondit en avant. Dooku tient bon, cependant, sa lame rouge contre avec efficacité, chacune de ses parades et blocages appuyés par la force, sans laquelle les coups de Yoda auraient certainement porté.
Au moment même où il s’apprête à lancer une contre-attaque, Yoda disparaît. Le maître Jedi bondit très haut dans les airs, effectue un saut périlleux, se rétablit parfaitement juste derrière Dooku et frappe avec détermination.
Dooku renverse sa prise et projette son arme derrière lui, interceptant l’attaque. Il lança son sabre vers le haut, le lâcha brièvement, fit demi-tour et le rattrapa sans même perdre le contact avec la lame de Yoda.
Poussant un grondement de colère, Dooku invoque la Force, la laissant affluer en lui comme si son corps n’était plus qu’un vecteur de la manifestation physique de cette énergie. Le tempo de ses attaques s’accéléra, soudainement et considérablement. Trois pas en avant, deux pas en arrière, le tout dans un équilibre parfait.
Il ne parvient pas cependant pas à abattre son arme correctement, car Yoda ne semble jamais en contact avec le sol. Le petit maître saute, tournoie, vole en tous sens, parant chaque coup et répondant au moyen de bottes insensées qui obligent Dooku à faire des pas chassés en arrière.
Un coup droit soudain de la part de Yoda oblige le Comte à battre de nouveau en retraite et, pour la première fois, l’homme semble perdre l’équilibre. Puis le petit maître Jedi se projette lui-même en arrière.
Dooku se lance à sa poursuite, vise la tête de son adversaire. Il pousse un cri de rage lorsque son coup rate de nouveau sa cible. Il veut contre-attaquer en frappant sur le coté.
Le sabre de Yoda intercepte le coup, maintenant la lame rouge en respect. Les deux opposants se retrouvent coincés en un véritable bras de fer, une épreuve aussi physique que mentale.
« Bien combattu, tu as, mon vieux Padawan, le félicita Yoda, tout en décalant légèrement son sabre laser de côté afin d’obliger Dooku à reculer.
« La Bataille est loin d’être finie ! » rétorque Dooku d’un ton entêté. « Elle ne fait que commencer ! »
Invoquant la Force le Comte décroche l’une des énormes grues du hangar de son support et la fait voler vers Anakin et Obi Wan, toujours sonné…
Maître Yoda stoppa la descente de la grue. Ce faisant, il à détourné son attention de Dooku. Celui-ci ne perd pas de temps et cours jusqu'à la rampe d’accès à sa navette.
Au moment où Yoda dépose doucement la grue à terre. Les moteurs de l’engin spatial se mettent à vrombir. Et les 3 Jedi impuissants, regardent le Comte Dooku prendre la fuite.
Anakin et Obi-Wan rejoignent Yoda, qui est visiblement épuisé. La Jedi Twi lek à peau bleue Aayla Secura fait irruption et aide Anakin à se relever et fait de même pour Obi Wan.
Dooku encore échappé s’est, d’un autre sombre jour il s’agit…
Un peu plus tard, sur Coruscant.
Les Jedi Shaak Ti, Roron Corobb et Foul Moudama protégent le Sénateur Palpatine du terrible Général Grievous, un monstre, qui est par sa nature même une abomination : Une fusion de chair et de Droïde, et l’on dit que ses parties droïdes ont plus de compassion que ce qui lui reste de sa chair d’Alien. Des planètes ont été calcinées sur son ordre. C’est le mauvais génie des séparatistes, L’architecte de ses victoires.
Le général dit : « Jedi, vos sabres ne serons que des trophée supplémentaires pour ma collection,ôtez-vous de mon chemin et laissez- moi le chancelier !
Shaak Ti, sabre laser à la main réplique : « Jamais ! Il te faudra nous passer sur le corps si tu souhaites capturer le chancelier ! »
Roron Corobb et Foul Moudama enclenchent eux aussi les lames de leur sabres laser et foncent sur Grievous.
Grievous parent les coups des 3 Jedi avec une grande aisance, Mais Shaak Ti utilise la force, plaque Grievous au sol, la victoire semble pour un cours instant appartenir aux Jedi.
Mais le général Biodroïde écarte les pans de sa cape, révélant les 4 sabres laser glissés dans des poches de sa doublure. Il recule et écarte largement ses bras de Duranium.
Les bras largement écartés du Général se fendent en deux jusqu’aux mains. De sorte qu’il à maintenant 4 bras et quatre mains.
Et alors que sa cape tombe à terre, chaque main prend un sabre laser.
Surpris par cela, Roron Corobb périt sous le premier coup de sabre que Grievous donna en direction des Jedi. Foul Moudama et Shaak Ti tiennent tête au Général du mieux qu’ils peuvent, mais c’est en vain. Foul Moudama meurt, éventré par un des sabres du Général, et Shaak ti est projeté au loin par un violent coup de pied du Général. Le Général, Capture le Chancelier et s’enfuit.
Plus Tard, Shaak Ti retrouve ses esprits. Les Jedi Mace Windu et Qui Gon Jinn rentre dans les appartements du sénateur, et constatent que le sénateur à été enlevé. Shaak Ti honteuse baisse les yeux et dit à Mace Windu : « J’ai échoué ».
Au même moment sur Naboo, C3PO dit : « Dame Padmé, je suis bien heureux de savoir que vous attendiez un heureux événement.. »
Padmé songeuse dit : « Merci, C3 PO »
Pendant ce temps, Dans son Vaisseau, Anakin apprend la triste nouvelle via l’holonet : « Le Chancelier Palpatine vient d’être enlevé par le Général Grievous. »
Anakin dit : « R2 D2, nous sommes tout prêt de la navette de Grievous, il est temps d’allé secourir notre vieil ami ! »
Obi Wan qui n’est pas loin, dans un chasseur voisin dit : « Anakin, c’est trop risqué, nous ne sommes pas tout à fait remis de notre combat contre Dooku ! »
Anakin : « Veuillez m’excuser ! »
Anakin se dirige vers le vaisseau du général Grievous. Les canons du vaisseau d’Anakin crachent des décharges d’énergie, et les émetteurs de bouclier à droite de la porte du hangar explosent. Le vacillement bleu du bouclier s’affaiblit, s’estompe, et disparaît.
Les Vaisseaux d’Anakin et Obi Wan pénètrent dans le hangar.
Quelques canonnières de la république les accompagnent peu après…
Les Jedi et les clones se trouvent bien vite face à une armée de droïde.
Obi Wan dit : « occupez vous des clones, Cody, Anakin et moi allons tenter de retrouver le Chancelier ! »
Le commandant Cody répond : « Très bien, général Kenobi ! En formation ! »
Une lutte sans merci s’engage entre les Droïde et les clones.
Anakin et Obi Wan se glissent discrètement dans le couloir des appartements du général.
Ils forcent une porte grâce à leur sabre laser.
Une fois rentré, Anakin longe les sièges rangés le long de l’immense table qui occupe le centre de la salle de crise des quartiers du général.
Obi Wan se déplace parallèlement de l’autre coté.
La seule lumière de la salle est apportée par les éclairs silencieux qui crèvent les ténèbres sur l’énorme mur panoramique du fond : ce n’est qu’une tempête de tirs au canon lourd à éclats, de décharges de turbolasers et de supernovae miniature, dont chacune traduit la disparition corps et bien d’un vaisseau.
Noyée dans l’ombre, sur ce fond de Carnage, se découpe la forme d’un gigantesque fauteuil.
Anakin croise le regard d’Obi-Wan, de l’autre coté de la table, et eut un mouvement de tête en direction de la silhouette sombre qui se dressait devant eux. Obi Wan répond par le geste de la main Jedi qui voulait dire : « Avance prudemment », et ajouta le signe « tiens toi prêt à agir ».
Les lumières se rallument
Anakin s’immobilise.
La forme sombre, assise dans le fauteuil…c’était bien le Chancelier Palpatine. Il n’y avait pas de Droïdes en vue, et son cœur aurait du bondir de joie dans sa poitrine, sauf que….
Sauf que Palpatine à l’air au plus mal.
Plus que vieux, il à l’air aussi âgé que Yoda ; d’un âge indicible. Epuisé, souffrant Et pire…
Anakin voit sur son visage quelque chose qu’il n’aurait jamais pensé y trouver. Et ça lui coupait le souffle, et ça lui vidait le cerveau de toute parole.
Palpatine à l’air terrifié.
Anakin ne sait que dire.
Obi-Wan, avec sa courtoisie habituelle, incline gravement la tête.
« Chancelier », dit-il, calme et respectueux comme s’ils s’étaient croisés par hasard dans le grand hall du Sénat Galactique.
Pour toute réponse, Palpatine émit un murmure assourdit,
Et dit : « Le comte Dooku »
Le Comte, majestueux, adresse aux Jedi : « Général Kenobi, Anakin Skywalker, vous êtes mes prisonniers.
Le balcon d’accès, situé bien au dessus des Jedi, les dominant de toute sa hauteur, avait l’angle idéal pour que Dooku commence ce qu’il qualifie de « farce ».
Dooku sait qu’il ne pourra jamais être vaincu par un simple Jedi. Quel dommage que son vieil ami Mace n’ait pu être des leurs aujourd’hui, il aurait sans doute apprécié le spectacle qui se prépare.
Dooku a toujours aimé bénéficier d’un public de connaisseurs.
Au moins, Palpatine était là, menotté dans le grand fauteuil. Au fond de la salle, le combat spatial fait rage sur le fond lumineux derrière lui.
Mais Palpatine est moins un public qu’un acteur, ce qui n’est pas du tout la même chose.
Skywalker tourne le dos à Dooku, mais sa lame est déjà dégainée, et sa grande silhouette mince est figée par l’attente, tellement immobile qu’elle semble frémissante.
Quant à Kenobi, il regarde calmement Dooku, les mains ouvertes complètement détendu, son visage n’exprimant qu’un intérêt débonnaire.
Kenobi dit à Anakin : « cette fois, on va le faire ensemble »
L’œil d’aigle de Dooku voit la main droïde se Skywalker se crisper sur la poignée de son sabre laser.
Anakin répond : « vous m’ôtez les mots de la bouche »
Dooku se penche en avant et sa cape d’armorweave se déploie comme des ailes, il s’élève doucement dans l’air en prenant appui sur la Force et se laisse descendre lentement, majestueusement, sur le niveau principal. Il effleure le bout de la table d’état major et regarde les 2 Jedi, les sourcils froncés.
« Vos armes, mes seigneurs, s’il vous plait. Faisons grâce au chancelier d’un spectacle désolant. » dit le Comte.
Obi Wan soulève son sabre laser à deux mains et se met en garde, selon l’attitude équilibré Ataro : Le Style de Yoda et de nombreux autres maîtres Jedi.
Obi Wan, dit : « Cette fois, Dooku, vous ne nous échapperez pas ! »
Dooku réplique : « Vous échapper ? Je vous en prie ! Vous croyez que j’ai orchestré toute cette opération avec l’intention de m’enfuir ? »
Skywalker adopte une garde Shien : sa main de Duracier gantée de noir, levée haut devant l’épaule, son sabre tendu vers le haut, la pointe un peu détournée.
Dooku dit : « Ce n’est pas parce que vous êtes deux que vous devez croire que vous avez l’avantage. »
Kenobi réplique : « Rendez vous, vous n’aurez pas d’autre chance ! »
Dooku répond : « je doute d’en avoir besoin, à moins que l’un de vous ne se trouve avoir Yoda dans sa poche ! »
La force crépite entre eux. Dooku décide alors que le moment est venu. Il feint de jeter un coup d’œil par-dessus son épaule – une diversion élémentaire afin de déclencher l’attaque…Et ils bougent tous les trois en même temps.
Anakin ne peut se retenir plus longtemps. Il bondit, son sabre laser prêt à tuer.
Dans une coordination parfaite, Obi Wan bondit de l’autre coté de Dooku, et ils se rencontrent à mi-chemin dans le vide.. parce que le seigneur Sith n’est plus entre eux.
Anakin lève les yeux…juste à temps pour entrevoir les semelles de ses bottes en cuir de rancor : Dooku se laisse retomber en plein sur son visage et le renverse les quatre fers en l’air. Anakin puise dans la force pour se relever sans effort, se rétablit dans un équilibre parfait et rebondit vers les éclairs flamboyants, écarlates et d’un bleu céleste, qui jaillit des sabres entrechoqués. Dooku repousse les assauts d’Obi-Wan par une succession de coups entrelacés de fioritures détournant la lame du Jedi alors qu’elle allait l’atteindre au cœur.
Anakin se laisse tomber sur le dos de Dooku – et le Comte, se tournant à demi, esquissa un geste désinvolte tout en tenant Obi Wan à distance d’un mouvement élégant.
Les chaises se mettent à tourner autour de la table d’état major, en direction de la tête d’Anakin. Il repousse la première avec une sorte de mépris, mais la seconde l’atteignit aux genoux et la troisième s’écrase sur son épaule, l’expédiant à terre.
Anakin réprime une grimace de douleur et plonge dans la Force pour projeter des chaises à son tour, jusqu’à ce que la table d’état major elle-même s’abatte sur lui et le repousse contre la paroi. Il laisse échapper son sabre laser qui tombe bruyamment sur le dessus de la table, puis par terre, de l’autre coté.
Dooku semble à peine faire attention à lui.
Anakin et cloué au mur, à bout de souffle, à moitié assommé.
Tout en esquivant sans effort Kenobi et l’averse de coups d’estoc de son sabre bleu, Dooku sent la force repousser la table d’état-major et la catapulte dans son dos à une vitesse stupéfiante. Il à juste le temps de sauter et de rouler par-dessus, évitant qu’elle ne lui brise la colonne vertébrale.
Après sa roulade arrière, il se retrouve debout sur ses deux pieds, juste devant Anakin désarmé qui charge, tête baissée, à la suite de la table qu’il à écarté d’un coup de pied.
La poignée du sabre laser de Skywalker siffle dans l’air et rencontre sa main dans un ample revers de lame.
Dooku fait un écart précis, vise avec sa lame la jambe de Skywalker. L’arme d’Anakin l’intercepte, et il réussit à passer son sabre derrière sa tête pour parer le coup que Dooku destinait sournoisement à sa nuque. Mais sa charge maladroite le place devant Kenobi, de sorte que le maître Jedi dut employer la force pour rouler par-dessus la tête de son partenaire.
Droit vers la lame levée de Dooku.
En pivotant en apesanteur, Kenobi repousse l’assaut et Dooku ait un nouveau pas de coté, de sorte que c’est au tour de Kenobi de se retrouver en plein sur la trajectoire de Skywalker.
« Vraiment, c’est pathétique » commente Dooku.
Dooku se penche pour porter dans le ventre de Kenobi un coup d’estoc que le maître Jedi pare d’une esquive qui relève son sabre, et ils se retrouvent poitrine contre poitrine, leurs lames embrasées verrouillés l’une contre l’autre, à une main de leur gorge à tous les deux.
Dooku dit : « Vos mouvements sont trop lents, Kenobi. Trop prévisible. Il va falloir faire mieux.
En réponse à cet aimable avertissement, Kenobi considère son adversaire avec une lueur doucement amusée dans l’œil.
« Bon très bien », répondit le Jedi
Et il saute au dessus de la tête de Dooku, si vite que ce fut comme s’il s’était volatilisé.
Là où se trouvait la poitrine de Kenobi, il n’y a plus que l’éclair bleu lancé par la lame de Skywalker qui plonge droit dans le cœur de Dooku.
Grâce à un tourbillon désespéré sur le coté, ce qui aurait été une plaie fumante dans sa poitrine se limite à un accroc calciné sur sa cape d’armorweave.
Dooku se rend compte que sa « farce » est soudain passée de la comédie au drame mortel, et sombre rapidement dans la terreur. Les deux Jedi ont réussi à devenir vraiment dangereux.
Dooku s’emplit de nouveau de force en une unique inspiration qui draine de l’énergie d’un bout à l’autre de l’univers.
Une infime étincelle de cette énergie, aussi infime qu’un mouvement de poignet, projette Kenobi au mur, si rudement que l’hydromousse de permaciment cède et s’éffondre sur lui. Mais Dooku n’a pas le temps de se réjouir, Skywalker est déjà sur lui.
Le sabre laser bleu, étincelant, tournoie et crépite, et tous les revers de lame s’écrasent contre les parades de Dooku avec l’invincible puissance d’un météore. Pour simplement répondre à ces assauts sans être coupé en deux, le seigneur Sith gaspille ses réserves de force et Skywalker…
Et Skywalker devient de plus en plus fort.
Dooku éprouve un nouveau changement d’impulsion dans les courants de la force qui les séparent, et il comprend enfin.
Il comprend comment Skywalker devient de plus en plus fort. Pourquoi il ne parle plus. Comment il est devenu une machine de guerre.
Skywalker est un « naturel ».
Il a à la place du cœur un réacteur thermonucléaire qui brûle à travers les murs pare-feu de son entraînement de Jedi. Il maintient la Force dans l’étau de son poing chauffé à blanc. Il est déjà à moitié Sith, et il ne le sait même pas.
Ce trentenaire avait le don de fureur.
Dooku s’écarte d’un revers et fait un grand bond en arrière. Une peur qui te consume. Le héros sans peur tu parles ! Tu es une escroquerie ambulante Skywalker. Tu n’es qu’un poseur !
Il pointe son sabre laser sur le Jedi comme un doigt accusateur.
Skywalker bondit à nouveau sur lui, et cette fois Dooku repousse aisément sa charge. Ils étaient debout presque pied à pied, leurs lames jetant des éclairs si rapides que l’œil ne peut les suivre, mais Skywalker a perdu son mordant, il a
Suffi de lui faire une remontrance pour le déconcentrer : au lieu de rester focaliser sur sa victoire, il consacre son attention au contrôle de ses propres émotions. Plus il était en rage, et plus il avait peur, et la peur nourrit à son tour sa colère.
Dooku s’autorise à sa détendre ; il sent que toute la maîtrise du jeu revient sur lui, alors que Skywalker et lui se tournent autour dans leur danse mortelle. Quelque joie qu’il y ait à tirer de ça, il à encore intérêt à en profiter pendant qu’il en est encore temps.
C’est alors que pour une raison ou une autre, le Chancelier décide d’intervenir :
« N’aie pas peur de ce que tu éprouves, Anakin, sers-t’en ! Utilise-le ! fais appel à ta rage. Concentre-la, et il ne pouurra pas te tenir tête. La fureur est ton arme. Maintenant frappe ! Frappe ! Tu-le ! »
Skywalker et Dooku se figent un dernier, un suprême instant, leurs lames soudées l’une à l’autre, se regardent par-dessus une croix crépitante de bleu et d’écarlate, et à cet instant, Dooku se demande avec une naïveté émerveillée Si Sidious (Le Chancelier) n’a pas soudain perdu l’esprit.
De quel coté est-il en fin de compte ?
Les décennies d’expérience de Dooku au combat ne font pas le poids. Son aptitude au combat est vaine.
Dooku ne fait plus le poids face à Anakin.
La lame du Jedi bouge au rythme de sa volonté, une flamme, un plasma bleu, pulvérise la nanosoie noire Corellienne, désintègre la peau et tranche l’os, et la main du seigneur Sith- celle là même qui tenait son sabre, tombe dans des traînée de fumée. Sa main tombe dans une traînée de feu écarlate qui s’étend tout autour d’elle – cette main même qui, dans la mort se crispe convulsivement-, et le cœur d’Anakin exulte à la chute de cette lame rouge.
Il tend le bras pour la prendre et la force s’en empare pour lui.
Alors Anakin prend l’autre main de Dooku.
Chapitre 2
Le Comte Dooku, mutilé, est à la merci d’Anakin.
Le Chancelier dit : « Anakin, achève-le »
Des années de formations Jedi font hésiter Anakin. Il contemple Dooku à ses pieds et ne voit pas un seigneur Sith, mais un vieillard, abattu, brisé et rampant.
Anakin répond : « Je ne devrais pas… »
Mais quand Palpatine aboie :
« Vas-y maintenant ! »
Anakin comprend que ce n’est pas un ordre.
C’est en fait ce qu’il a attendu depuis le début de la Guerre des clones.
Une autorisation.
Les lames des sabres laser d’Anakin viennent se croiser dans la gorge de Dooku comme des ciseaux.
La tête tranchée de Dooku continue sa course en roulant.
Le sabre de Dooku s’échappe des doigts d’Anakin qui desserrent leur étreinte.
« Je…je ne pouvais pas m’arrêter.. » dit le Jedi
Avant même que ces mots ne franchissent ses lèvres, il entend combien ce mensonge est vain et évident.
Palpatine lui dit : « Tu as bien fait Anakin. Non seulement tu as bien fait, mais tu as fait la seule chose à faire. Il était trop dangereux pour rester en vie.
Anakin réplique : « c’était un prisonnier désarmé, je n’aurais pas du faire ça »
Il regarde le corps étendu à ses pieds. Il contemple la tête coupée.
Anakin étouffé par la culpabilité dit : « c’était une erreur ! »
Palpatine réplique : « Toute te trompes. Le désarmer était peu de choses, il avait des pouvoirs qui dépassent ton imagination.
Anakin secoue la tête :
« Peu importe. Ce n’est pas la manière de faire des Jedi ! »
Palpatine ajoute : « ce n’était pas une erreur. Anakin. Ce n’était peut être pas la manière Jedi, mais c’était juste. Tu voulais te venger, il avait prit la vie de ton ami d’enfance Elno Darklighter et de nombreux Jedi, et ta vengeance c’est faite justice ! »
Anakin réplique : « La vengeance n’est jamais juste, elle ne peut pas l’être ! »
Palpatine agacé dit : « Ne fais pas l’enfant, Anakin. La vengeance est le fondement de la justice. La justice commence avec la vengeance, et la vengeance est encore a ce jour la seule justice que certains peuvent espérer ! »
Anakin répond : « Ce n’est pas ainsi qu’un Jedi agit ! »
Palpatine réplique : « tu es un homme avant d’être un Jedi, Tu as agit en homme, tout simplement ! N’en parlons plus, détache moi maintenant.. »
Anakin détache le chancelier.
Enfin libéré Palpatine se fraie un chemin parmi les débris qui jonchent la pièce noyée d’ombre et gagne l’escalier d’une rapidité surprenante et dit :
« Suis moi, Anakin, il ne nous reste que peu de temps. »
Mais Anakin pense à son ami Obi Wan, il se dirige vers la pile de gravats : des débris de mousse et de permaciment.
Anakin déblaye les débris qui recouvrent le corps de son ami. Obi Wan gît, inerte, les yeux clos. Anakin palpe la gorge d’Obi wan, vérifie son pouls, et par cette palpation laissa le flux de la force s’insinuer dans tout le corps de son ami. Il respirait bien, régulièrement, et il n’avait rien de cassé : il était juste commotionné.
Au même moment, dans le hangar, le général Grievous tue quelques soldats clones avec une grande sauvagerie, enclenche la phase d’autodestruction du vaisseau et s’échappe dans une navette de secours.
Une voix robotique et nasillarde retentit dans tout le vaisseau : « Moins de 2 minutes avant la procédure d’auto destruction de l’appareil ! »
Palpatine dit à Anakin : « laisse-le ! Nous n’avons plus le temps ! »
Anakin mit son ami sur ses épaule et dit : « Le destin d’Obi Wan ne sera pas différent du notre ! »
Une troupe de clones rentre dans la pièce, leur commandant dit : « Messieurs, nous allons vous escorter vers le hangar, jusqu’au navette. »
Anakin ayant Obi Wan sur le dos, et le Chancelier suivent la troupe de clones.
Après avoir longé les couloirs, Obi Wan retrouve ses esprits sur le dos d’Anakin.
Obi Wan dit : « Euh, Anakin, que se passe-t-il »
Le Chanceler répond : « Il à vaincu le Comte Dooku »
Obi Wan dit : où est-il si il est notre prisonnier »
Le Chancelier réplique : « Anakin n’a pas eu d’autre choix que de le tuer »
Obi Wan dit : « bon, si tu n’avais pas le choix, pose moi a terre »
Obi Wan, Anakin et le chancelier prennent une navette, Anakin prend les commandes, ils s’échappent de justesse du vaisseau amiral du Général Grievous qui explose.
Le Chancelier et les 2 jedi se rendent sur Coruscant.
La Navette se pose dans la cité. Et la rampe s’ouvre. Le Chancelier suprême, Obi-Wan Kenobi, Anakin Skywalker sont sur le pont à coté de la navette, suivis de prés par une unité R2.
Mace Windu s’approche d’eux.
« Chancelier, comment allez-vous ? » dit le maître Jedi.
« Tout va très bien, vraiment bien grâce à ces 2 hommes. » répond le Chancelier
Mace Windu se tourne vers Obi-Wan : « Quelque chose à signaler Maître Kenobi ? Des nouvelles du Général Grievous ? »
« Le Comte Dooku était avec lui, et maintenant, il est mort » dit Skywalker, coupant la parole d’Obi-Wan.
Mace, surpris dit : « Comment ça ? Il est mort ? Vous avez tué le Comte Dooku ? »
Obi-Wan répond : Mon ami est trop modeste. C’est lui qui a tué le Comte Dooku. Pour ma part, je…faisais la sieste. »
Tout sourire, Obi-Wan touche la bosse sur sa tête.
Etonné, Mace reprend la parole : « Eh bien, c’est la meilleure nouvelle que j’ai entendue depuis….Depuis si longtemps que je ne m’en souviens même pas. Anakin, comment t’y es tu pris ?
Chose inexplicable, Skywalker semble extrêmement mal à l’aise. Sa belle assurance s’effondre en un instant comme un transformateur grillé, et au lieu de se tourner vers Mace, il fixe son regard sur Palpatine. Mace ne pense pas vraiment que c’est par modestie. Il regarde le Chancelier à son tour, et son allégresse se mue en un étonnement mêlé de suspicion.
Puis Palpatine dit : « ça à été, absolument extraordinaire. Je ne connais quasiment rien aux combats à l’épée, bien sûr ; mais à mes yeux de néophyte, le Comte Dooku a peut être péché par…excès de confiance en lui. Surtout après avoir défait si facilement Maître Kenobi.
Obi-Wan rougit juste un peu et Anakin beaucoup plus.
Puis Palpatine ajoute : « Peut-être qu’Anakin était-il simplement plus déterminé. Après tout, Dooku se battait seulement pour abattre un ennemi ; Anakin se battait pour sauver…si je puis me permettre de m’attribuer cet honneur, un ami.
Mace se rembrunit encore. Les paroles sont habiles. Peut être même sont-elles vraies. Mais quoi qu’il en soit, elles ne lui plaisaient pas.
Au Conseil Jedi, on n’apprécie pas beaucoup la proximité de Skywalker et du Chancelier- il y a eu plusieurs conversations sur le sujet avec Obi-Wan lorsque Skywalker n’était encore que son Padawan.
Mace dit : « Je suis sur Anakin, que le conseil sera très intéressé d’entendre la totalité de votre rapport »
Obi-Wan ajoute : « Et nous devons signaler que Grievous s’est enfui, Il est toujours aussi lâche »
Mace acquiesce à ces nouvelles :
« Ce n’est qu’un cadre de l’armée. Sans Dooku pour maintenir la coalition, ces soi-disant Systèmes Indépendants vont voler en éclats, et ils le savent. C’est notre meilleure chance de demander la paix, c’est l’occasion de mettre un terme à cette guerre. »
Palpatine répond : J’ai peur que la paix ne soit pas possible tant que Grievous sera en liberté, déclara tristement le Chancelier. Dooku était le seul garde-fou de la folie destructrice de Grievous. Sans Dooku, le général à les mains libres pour dévaster la galaxie. J’ai peur que loin d’être terminée, cette guerre ne soit sur le point de devenir plus effroyable encore. »
Obi wan dit : « Et que faites vous des Sith ? La mort de Dooku aurait dû au moins entraîner l’affaiblissement de l’obscurité, or elle semble plus forte que jamais. Je crains que l’intuition de Maître Yoda ne soit juste : Dooku était l’apprenti d’un Seigneur Sith ! »
Mace se dirige vers le petit quai où la navette Jedi va atterrir, et les autres lui emboîtent le pas.
Windu répond : « Le Seigneur Sith, si Sith il y a encore, apparaîtra en temps voulu. C’est ce qu’ils font toujours. L’énigme la plus intéressante reste Grievous. Il vous tenait à sa merci, chancelier, et la miséricorde ne figure pas au nombre de ses vertus. Nous sommes tous très heureux qu’il vous ait épargné, mais je ne peux m’empêcher de me demander pourquoi. »
Palpatine écarte les mains devant lui dans une attitude évasive et dit :
« Je peux seulement supposer que les Séparatistes préféraient m’avoir comme otage plutôt que de faire de moi un martyr. Bien qu’il me soit impossible de l’affirmer. Ce n’est peut-être qu’une lubie. Le Général est connu pour sa versatilité. »
Mace dit : « Peut être l’autorité Séparatiste pourrait-elle le maîtriser, en échange de certaines considérations. »
Palpatine se redresse, remet de l’ordre dans les plis de sa tunique et dit :
« Hors de Question. Négocier une paix séparée reviendrait à reconnaître la CSI comme le gouvernement légitime des systèmes rebelles… autant dire à perdre la guerre ! Non, maître Windu, cette guerre ne pourra finir que d’une seule manière. Une capitulation sans condition. Et tant que Grievous sera en vie, cela n’arrivera jamais.
Alors Mace dit : « Très bien, Désormais, les Jedi feront de la capture de Grievous la première de leurs missions. »
Il jette un coup d’œil à Anakin et Obi-Wan, et se penche légèrement vers Palpatine et ajoute :
« Cette guerre a bien assez duré. Nous allons retrouver le général, et rétablir la paix. »
Palpatine répond : « Je n’en doute pas, mais il ne faut pas sous-estimer la sournoiserie des séparatistes. Il est possible que la guerre elle-même n’ait été qu’une étape dans un jeu beaucoup plus vaste. »
Puis les autres politiciens se joignent au Chancelier et aux trois Jedi.
Obi-Wan dit à Anakin : « voici ton heure de gloire, Anakin ! »
Anakin répond : « comment ça mon heure de gloire ? »
Obi-Wan répond : «c’est toi l’homme du jour ! Je n’ai pas de temps à perdre avec les gens de l’holonet, ni avec les politiciens, le conseil à réclamé ma présence. Allez, va vivre ton jour de gloire entouré de politiciens. »
Anakin n’a que faire des mondanités ils souhaitent retrouver sa femme au plus vite sur Naboo.
Mais Anakin écoute son ami, et s’éloigne de lui d’un geste de la main, en pressant le pas pour rattraper Palpatine qui s’enfonce parmi les sénateurs avec la décontraction du politicien chevronné, souple comme un mécanisme de transparacier bien huilé.
Obi Wan et Mace se rendent dans une navette les menant au conseil des Jedi.
L’écoutille se ferme, la navette s’élève.
« Vous vouliez me parler », dit Obi-Wan à Maître Windu.
Le Maître Jedi répond : « C’est Anakin. Je n’aime pas la relation qu’il entretien avec Palpatine.
« Nous avons déjà eu cette conversation » dit Obi-Wan, agacé.
Mace ajoute : « Il y a quelque chose entre eux. Quelque chose de nouveau. Je le vois dans la Force. Ça m’a l’air puissant et incroyablement dangereux.
Obi-Wan écarte les mains et dit :
« Je répond d’Anakin sur ma vie. »
Mace répond : « Je sais. Je voudrais seulement que nous puissions compter sur le Chancelier Palpatine pour veiller de la même façon sur Anakin. »
« Les décisions de Palpatine sont…parfois discutables. Et il adore Anakin comme un gentil vieil oncle adorerait son neveu favori. » dit Obi-Wan
Mace regarde par le hublot et ajoute :
« Le Chancelier adore le pouvoir. S’il a une autre passion, je ne l’ai pas discernée ? »
Obi Wan secoue la tête d’un air dubitatif et répond :
« Je vous rappelle qu’il n’y a pas si longtemps encore, vous comptiez au nombre de ses admirateurs »
Mace Windu répond tristement : « Les choses… changent. »
Leur navette atterrit devant le temple des Jedi.
Pendant ce temps aux portes du Sénat, Anakin serre des mains, acquiesce, sourit et essaie désespérément de se frayer un chemin jusqu'à sa navette pour pouvoir se rendre sur Naboo.
Le Sénateur Sakull est présent mais pas la Reine de Naboo, la Compagne d’Anakin.
Anakin parvient à se libérer de la poigne moite de Tundra Dowmeia qui le soûle avec ses invitations à visiter ses propriétés de famille sous-marines de Mon Calamari.
D’un haussement d’épaule faussement navré, il expédie Ask Ask, le Sénateur Malastéen.
Anakin salut son vieil ami le sénateur Organa qui le félicite, puis ensuite prend sa navette.
La navette d’Anakin décolle.
Au même moment Palpatine dit « Je suis éprouvé, excusez-moi, mais je dois partir dans mes quartiers.
Pendant ce temps, La Navette du Général Grievous atterrit sur une planète Volcanique, un enfer de lave du nom de Mustaphar.
Quelques droïde de type IG1000 l’accueillent, il se rend dans ses quartiers.
Un peu plus tard sur Tatooine. Zam Wessel, une chasseuse de prime Clawdite reçoit un ordre du Seigneur Dark Sidious par l’intermédiaire d’un Droïde sphérique de couleur noire. La silhouette du Sith sous forme holographique et donne le message souvent : « Voici 20.000 crédit pour le travail suivant, c’est un travail aisé, je vous ai engagez pour accomplir le travail suivant : vous devez prendre l’apparence du Maître Jedi Obi-Wan Kenobi et tuer Shmi Skywalker à l’aide de ce sabre.»
Zam Wessel prend l’apparence du maître Jedi et se rend en route.
Sur Coruscant, dans le temple des Jedi.
Obi-Wan et Mace Windu regardent, assis côte à côte, Yoda parcourir le rapport des yeux.
Le regard de Yoda, à travers le chatoiement translucide de l’holoprojection d’un rapport sur les derniers amendements apportés au Traité de sécurité, est tout sauf calme : il est rétrécis, glacés, et ses oreilles sont rabattues sur son crâne.
Le petit Maître Jedi dit : « Ce rapport, d’où vient-il »
Mace Windu lui répond : « Pour l’instant, les Jedi ont toujours des amis au Sénat, comme Bail Antilles d’Alderaan.. »
Yoda demande : « Quand cet amendement présenté sera, voté il sera ? »
Mace hoche la tête et répond :
« Mes contacts s’attendent qu’il soit adopté à l’unanimité. Une victoire écrasante. Dés cet après-midi peut-être. »
« Le but du Chancelier dans cette affaire, flou pour moi est. Si pour la forme, à la tête du Conseil, le sénat le place, les Jedi le contrôler ne peuvent. Morale, bien plus que légale, notre autorité toujours été à. Simplement des ordres exécuter, les Jedi, ça ne font pas ! » dit Yoda.
Mace répond : « Je ne crois pas qu’il ait l’intention de contrôler les Jedi, dit Mace. En plaçant le conseil Jedi sous l’autorité du Chancelier Suprême, cet amendement lui donnera le droit constitutionnel de dissoudre l’ordre lui –même. »
Yoda, surpris dit : « Que son intention ce soit, vous ne pouvez sûrement pas croire. »
Et Mace répète lugubrement : « Son intention ? Répète Mace lugubrement. Peut être pas. Mais ses intentions ne sont pas en cause. Seul compte désormais le dessein du Seigneur Sith caché dans l’ombre, Car Dooku n’était que le disciple ! L’Ordre Jedi pourrait être le dernier obstacle entre la domination galactique et lui. Que pensez-vous qu’il fera ? »
Yoda affirme : « L’autorité pour les Jedi dissoudre, jamais le sénat ne lui accordera. »
Mace répond : «C’est exactement ce que le sénat votera cet après midi. »
« Les conséquences, mesurer ils ne doivent pas ! » dit Yoda.
« Peu importe désormais ce qu’ils mesurent ou non, dit Mace. Ils savent où est le pouvoir » dit Mace.
« Mais même dissous, même sans autorité légale. Toujours Jedi nous serons. Les chevaliers Jedi, la Force servent depuis bien avant que la République Galactique n’existe, et encore nous la servirons quand cette république plus que poussière ne sera. » dit Yoda.
Pendant ce temps, sur Tatooine, La clawdite Zam Wesell qui a pris l’apparence de Zam Wesell tue Shmi Skywalker d’un violent coup de sabre laser.
Le Droïde Sphérique pars après avoir filmé la scène.
Sur Coruscant, le Maître Jedi Plo Koon dit :
« Nous ne savons pas quels peuvent être les plans du Seigneur Sith, mais ce que nous savons, c’est qu’il ne faut pas nous fier à Palpatine. Plus maintenant. Ce projet de résolution n’est pas le fruit d’un délégué trop zélé. On peut être sûr que c’est Palpatine lui-même qui l’a rédigé et fait présenter par un Sénateur à sa botte, pour faire croire que le Sénat une fois de plus « le contraint à accepter malgré lui une extension de ses pouvoirs au nom de la sécurité. »
On peut craindre qu’il ne continue à agir ainsi jusqu'à ce qu’un jour il soit « contraint d’accepter une dictature à vie ! »
Mace répond : « Je suis convaincu que c’est la prochaine étape de ce plan qui vise directement les Jedi, dit Mace. C’est un pas vers notre destruction. Le Chancelier est entouré par le coté obscur de la Force ! »
Obi Wan ajoute : « Tout comme il entourait et voilait les yeux des Séparatistes avant même le début de la guerre. Si le Chancelier est influencé par le coté obscur, toute cette guerre pourrait avoir été depuis le début, qu’un complot ourdi par les Sith pour détruire l’ordre Jedi ! »
« Pure spéculation ! Sur de telles théories nous reposer nous ne pouvons. De preuves besoin nous avons. Des preuves ! » dit Yoda en frappant le sol de son bâton.
« Des preuves…Je crains que ce soit un luxe que nous ne pouvons nous offrir. Nous devons nous préparer à agir ! » dit Mace
Une lumière dangereuse brille à présent dans les yeux de Mace Windu.
« Agir ? » relève Obi-Wan avec douceur.
Mace dit ; « On ne peut le laisser intervenir contre l’ordre. Pas plus qu’on ne peut le laisser prolonger la guerre inutilement. Trop de Jedi sont déjà morts. Il est en train de démanteler la République même ! J’ai vu ce qu’est la vie hors de la République. Vous aussi. Obi-Wan. Esclavage, Torture. Guerre sans fin. J’ai vu ça à Nar Shadaa et sur Haruun Kal. J’ai vu le résultat sur Depa, et sur Sora Bulq. Quel que soit ses imperfections, la République est notre seul espoir de justice et de paix. C’est notre seule défense contre l’obscurité. Palpatine doit être sur le point de réaliser ce que les Séparatistes ne pouvaient faire : renverser la République. S’il essaye, il doit être demis de son poste. »
« Démis, vous voulez dire arrêter ? » dit Obi-Wan.
Yoda secoue la tête et dit : « Vers l’obscurité, cette façon de penser nous conduit. Très prudent être nous devons. »
Mace proteste : « La République est la civilisation. C’est la seule que nous ayons. Nous devons nous préparer à une action radicale, c’est notre devoir. »
Mace replonge ses yeux dans ceux de Yoda puis dans ceux d’Obi-Wan, et Obi-Wan sent la chaleur dans le regard du Maître d’Oppuchi.
« Mais c’est de trahison que vous parlez » proteste faiblement Obi-Wan.
Mace répond : « Obi-Wan n’ayons pas peur des mots ! Si c’est de trahison qu’il s’agit, ainsi soit-il j’agirais dés maintenant, si j’avais l’assentiment du Conseil. La véritable trahison serait de ne pas agir. »
Soudain, la porte du Conseil s’ouvrit, Qui Gon Jinn apparaît devant le Conseil et dit : « Je partage tout à fait l’avis de Maître Windu ! »
Yoda dit : « Maître Qui gon, toujours aussi téméraire, rare sont les fois ou suivi le conseil vous avez ! »
Qui Gon dit : « Dans son intervention sur l’Holonet, Palpatine à dit que le seul obstacle à la paix était le Général Grievous ! Des troupes ont trouvé ce monstre, il est sur Mustaphar ! Que quelques Jedi se rendent pour le capturer sur cette planète, pendant qu’un autre groupe de Jedi capture Palpatine me semble la seule chose à faire ! »
Yoda répond : « Capturer Grievous, une bonne idée me semble, Maître Kenobi et Maître Arana se charger de cette mission vont »
Obi-Wan dit : « Très bien, Maître »
« Et pour Palpatine ? » dit Mace
Yoda répond : « Menacer ou capturer le Chancelier, une telle action détruire l’ordre Jedi pourrait. La confiance du peuple déjà perdu nous avons. »
Qui Gon Jinn : « J’ajoute aussi que les Jedi Présent sur Kashyyk sont mort, ils faut de nouveau généraux pour seconder les Wookies »
Yoda répond : « Très bien, Maître Windu et Moi-même allons nous occuper de cela, la discussion est close ! »
Qui Gon Jinn : « Donc vous ne voulez rien faire contre Palpatine alors qu’il nous menace ! »
Yoda répond sévèrement : « De capturer Palpatine, Convaincu que cela est bien, je ne suis pas. Marcher contre notre république alors qu’un Sith toujours vivant est, c’est peut être justement le plan des Sith pour le Sénat et le peuple contre les Jedi retourner ! Ainsi non seulement dissous mais hors la loi nous serions Qui Gon ! »
Pendant ce temps sur Naboo.
Anakin rentre dans les appartements de la Reine de Naboo, sa compagne, la douce Padmé.
R2 émet des whouip, des biips et des whizz.
C3PO les accueillent et dit : « messire Anakin, R2, bienvenue. »
R2 D2 émet quelques bips. C3PO répond : « Oh ça n’a pas dû être si terrible ! Tu exagères, tu es à peine cabossé. »
R2 répond d’un whouip feeroo légèrement indigné. Le vocodeur de C3PO laisse échapper un grésillement qui évoque indéniablement un reniflement réprobateur.
C3PO ajoute : « Sur ce point, je te suis ; il y a bien longtemps que tu mérites une révision. Et, si je puis me permettre un bain.
« 3PO » fit Anakin exaspéré. Il approche du droïde de protocole qui sert la femme qu’il aime. C3PO est restée avec elle durant ces mois, l’a vue chaque jour, l’a touchée, peut être aujourd’hui même… Il sent les échos émaner de son revêtement électromagnétique, et ils lui coupaient le souffle.
C3PO reprend la parole et dit : » Oh ! Messire Anakin ! Je suis très heureux de vous retrouver sain et sauf ! On s’inquiète, lorsque ses amis sont au loin ! C’est ce que disais la Reine, pas plus tard que l’autre jour…où était-ce la semaine dernière ? Comme le temps file ! »
Anakin coupe la parole du droïde et dit : « 3PO, est-ce que tu l’as vue ? Ou est-elle ? Pourquoi n’est-elle pas ici ? »
Padmé arrive, et dit : « j’avais quelques affaires, nous devons être caché…tu te souviens »
Leurs lèvres se rencontrent…
Après une trop brève éternité, leur baiser prend fin, et Anakin dit : « Je sais, 20 ans que l’on se cache ! J’en ai assez ! Pourquoi cacher notre amour comme si il était immoral !»
Padmé juge bon de changer de sujet et dit : « Anakin, oh mon Anakin, je… je n’arrive pas à croire que tu sois rentré. Ils disaient…La rumeur disait…que tu avais été tué. Tous les jours…Je n’en pouvais plus… »
« Il ne faut pas croire tout ce qu’on raconte, murmura-t-il. Jamais. Je reviendrai toujours te chercher, Padmé. » répond Anakin
Padmé dit : « J’ai vécu presque 6 mois sans te voir… »
« C’était une autre vie » répond Anakin.
Padmé porte la main à la cicatrice de brûlure qu’il a à la pommette et dit :
« Tu as été blessé…. »
Anakin lui répond : « rien de grave, juste un rappel pas très amical du fait que je devrais m’entraîner d’avantage au sabre laser. »
« Cinq mois, comment ont-ils pu nous faire ça ? » dit Padmé
Anakin pose doucement sa joue sur sa tête et dit :
« Si le chancelier n’avait pas été enlevé, je ne serais pas encore rentré. Je suis presque…C’est terrible à dire, mais je suis reconnaissant. Je suis heureux qu’il ait été enlevé. C’est comme s’ils l’avaient fait exprès pour que je puisse revenir »
Et les deux amants s’embrassent à nouveau.
Puis ce baiser fini, Padmé dit : « Any, j’ai quelque chose à te dire… »
Padmé veut apprendre la nouvelle à Anakin, il va devenir père, mais C3PO les interrompt et dit : « Messire Anakin, Le Chancelier réclame votre présence. »
Padmé fait la moue et dit : « Bien, je sais ce que cela signifie, La République à besoin de son héros ! »
Anakin dit : « que voulais-tu me dire ? »
Padmé déçue, mais consciente que le devoir doit passer avant tout pour un Jedi dit : « je te le dirais à ton retour ! »
Anakin dit : « Bien cela me fera une raison supplémentaire pour revenir ! »
R2 suis les pas d’Anakin mais Anakin lui dit : « Non, R2, tu as besoin de quelques réparations, donc tu ne m’accompagne pas, je te confie Padmé. »
R2 fait un bip quelques peu mécontent mais écoute son maître.
C3PO dit : « R2, je connais un réparateur très doué du nom de Rett Porkins »
Anakin et Padmé s’embrassent une dernière fois…
Puis Anakin se rend à son vaisseau.
Anakin pars en direction de Coruscant.
Pendant ce temps Yoda et Mace Windu rencontrent les wookies sur Kaashyyk et saluent Tarfull et Chewbacca.
Sur Coruscant, Qui Gon parle devant quelques Jedi et dit :
« Palpatine nous menacent, il veut dissoudre le conseil des Jedi, le Coté Obscur le corrompt ! Le Conseil ne veut rien tenter contre lui ! Je sais que je m’oppose au conseil en voulant agir de la sorte mais il en va de notre survie les amis !!! Qui veut me suivre pour arrêter la folie du félon Palpatine ! »
Il y a peu de Jedi présent pour écouter Qui Gon, qu’une petite dizaine, car tous les autres se battent dans tous les coins de la galaxie.
Le premier à vouloir suivre Qui Gon, est le Maître Jedi Roan Shryne il se range à ses cotés.
Qui gon dit : « très bien, maître Shryne, qui d’autre ? »
« Moi », répond le maître JediTsu Choi de la Race des Aleen
Le Jedi du nom de Traavis dit : « moi aussi, il faut arrêter Palpatine ! »
Et le maître Agen Kolar est le dernier à les suivrent.
Qui Gon dit : « Bon, personne d’autres ? »
Le jeune padawan Zett Jukassa dit : « nous devons suivrent le conseil ! »
Qui Gon, faisant mime de n’avoir rien entendu dit : « Bon maintenant, il est temps de voir Palpatine ! »
Pendant ce temps, sur Tatooine, le Chasseur de Prime Boba Fett tue Zam Wesell d’un coup de blaster. La clawdite s’écroule sur le sol, Une Sphère droïde apparaît et projette l’hologramme de Dark Sidious, le seigneur Sith dit :
« Très bien, chasseur de prime, vous avez méritez vos 20.000, débarrassez vous du corps en le brûlant » Boba Fett s’exécute en utilisant le lance flamme de son armure.
Pendant ce temps sur Kashyyk, Jango Fett qui est sous contrat avec la république aident Mace, Yoda et les Wookies contre les Droïdes.
Obi-Wan s’approche de Mustaphar, il est attaqué par 4 Vulture Droïdes mais s’en débarrassent très aisément.
Puis il atterrit sur la planète. Trois Droïde IG1000 se rue sur lui, mais il en décapitent 2, et en lance 2 autres dans lave en utilisant la Force.
Pendant ce temps dans les appartements du Chancelier Suprême, Palpatine se retrouve face à 5 Jedi.
Palpatine leur dit : « Eh bien, Maître Jinn, quelle agréable surprise ! »
Qui Gon répond : « Ce n’est certainement pas une surprise, Chancelier. Et elle n’est agréable ni pour vous, ni pour moi ! »
Palpatine : « Pardon ? Maîtres Jedi, je vous salue. J’espère que vous allez bien. Qu’est ce qui amène cinq maître Jedi dans mon bureau à cette heure tardive ? »
Qui Gon répond : « Nous connaissons vos intentions, nous sommes ici pour vous arrêter »
Palpatine : « Je vous demande pardon ? »
Qui Gon Jinn : « Vous êtes en état d’arrestation »
Palpatine : «Vraiment, maître Jinn ? Vous voulez rire, sûrement. Et sous quel chef d’accusation ? »
Qui Gon dit : « Vous êtes un Seigneur Sith ! »
Cette nouvelle surprend les quatre Jedi qui accompagnent Qui Gon.
Palpatine, amusé répond : « Vraiment ? Même si c’était vrai, ce ne serait pas un crime. Mes options philosophiques sont une affaire personnelle. A vrai dire – la dernière fois que j’ai lu la constitution, en tout cas -, nous avons des lois très strictes contre ce genre de persécution. Alors je vous le demande à nouveau : de quel prétendu crime suis-je accusé ? Comment espérez vous justifier votre mutinerie devant le Sénat ? A moins que vous n’ayez l’intention d’arrêter tout le Sénat ? »
Qui Gon : « Nous ne sommes pas venu discuter avec vous. »
Palpatine : « Non, vous êtes venus m’écrouer sans jugement. Sans même feindre la légalité. Voici donc, enfin, quel est le plan des Jedi : prendre le contrôle de la République. »
Qui gon : « veuillez nous suivre, sur-le-champ ! »
Palpatine : « Je n’en ferai rien. Si vous avez l’intention de m’assassiner, vous pouvez le faire ici, et tout de suite ! »
Qui gon : « n’essayez pas de résister ! »
Palpatine: « Résister ! Comment pourrais-je résister ? C’est un meurtre espèces de traître Jedi ! Comment pourrais-je constituer une menace pour vous ? »
Impuissant, Palpatine secoue un poing vide, parfaite image d’un vieil homme las, effrayé, impuissant puis ajoute :
« C’est un meurtre, espèces de traîtres Jedi ! Comment pourrais-je constituer une menace pour vous ? »
Puis il sort un sabre laser de sa manche, une lame rouge en jaillit, il décapite Traavis d’un coup et dit :
« A l’aide ! à l’aide ! Au secours ! vite ! on veut me tuer ! »
Et il éventre Tsu Choi et décapite Shryne dans un mouvement rapide.
il reste 2 Jedi face au Seigneur Sith qui montre enfin son vrai visage.
Dans la seconde de vide qui suit, pendant que Qui Gon et Agen Kolar restent planté là, tenant leurs sabres laser dans la position dite en garde, Palpatine enjambe vivement les cadavres, retourne vers son bureau et d’un revers rapide, chirurgical abat sa lame sur le dessus de son bureau.
Le sabre laser entre dans le plateau de la table comme dans du beurre. Alors il se retourne, soulève son arme et paraît la considérer comme on peut dévisager un ami bien –aimé qu’on aurait longtemps cru mort. L’énergie se concentre autour de lui jusqu'à ce que la Force bouillonne d’obscurité.
Palpatine dit : « Si vous saviez… Depuis combien de temps j’ai attendu ce moment… »
Pendant ce temps sur Mustaphar…
Quatre droïde garde du corps se répartissent selon un arc étroit entre Obi-Wan, Koffi et Grievous, soulevant leurs piques électriques. Obi-Wan s’arrête et distance respectable et dit :
« Général Grievous. Vous êtes en état d’arrestation »
Le Général biodroïde s’avance à grand pas vers lui, écartant sans la moindre hésitation son écran de garde du corps et dit :
« Non, Kenobi, ne me dites rien ; laissez moi deviner : C’est le moment où vous me laissez une chance de me rendre. »
« C’est possible. Ou si vous préférez, ça pourrait être le moment où je démantèle votre exosquelette et où je vous renvoi sur Coruscant dans la soute d’un cargo » répond Obi-Wan.
Grievous dégaine un sabre laser décapite Koffi Arana et dit : « Je choisi l’option numéro trois, C’est celle où je vous regarde mourir »
Obi Wan aidé par la force se débarrasse d’un coup bref de Sabre laser des droïdes Gardes du corps et se trouve face à Grievous et dit :
« Pardon je n’ai pas été assez clair ! Il n’y a pas d’Option numéro trois ! »
Grievous répond : « Arana est mort, vous êtes seul face à moi, vous êtes perdu ! »
Obi-Wan dit : « Votre trop grande confiance en vous est votre faille ! »
« Votre foi en la force est la votre ! » répond Grievous.
Au même moment sur Coruscant, Qui Gon et Agen Kolar se battent vaillamment contre Palpatine. Malgré son grand âge, le seigneur Sith tient tête au deux Jedi.
Après de nombreuses parades, Palpatine éventre Agen Kolar, Qui Gon Jinn se retrouve seul face au seigneur Sith.
Sur Mustaphar.
Grievous dit à Obi-Wan : « Ce sera donc un duel à mort ! »
Le général Grievous écarte les pans de sa cape, relève les quatre sabres lasers glissés dans des poches de sa doublure. Il recule et écarte largement ses bras de duranium et dit :
« Vous ne serez pas le premier Jedi que j’aurai tué et vous ne serez pas le dernier non plus ! »
Pour seule réponse, Obi-Wan incline légèrement son sabre laser vers le haut et l’avant.
Les bras largement écarté du général se fendent en deux sur toute la longueur, se divisant en deux. Jusqu’aux mains…
De sorte qu’il a maintenant quatre bras et quatre mains.
Et alors que sa cape tome à terre, chaque main prend un sabre laser.
Ils s’animent d’une vie lumineuse, perverse, et Grievous les manient avec une rapidité impressionnante, dans des mouvements coulés, si pleins de panache qu’ils semblent former une sphère palpitante d’énergie bleue et verte.
« Allez Kenobi, venez donc me chercher ! J’ai été entraîné dans les arts Jedi par le Seigneur Tyrannus lui-même »» dit Grievous plein de rage.
Kenobi répond : « Vous voulez parler du Comte Dooku ? Quelle curieuse coïncidence, C’est moi qui ai entraîné l’homme qui l’a tué. »
Avec un rictus convulsif, Grievous plonge
La sphère d’énergie du sabre laser bleu qui l’entoure s’enfle vers Obi-Wan et s’ouvre comme une bouche pour le couper en deux. Obi Wan tient bon, la lame silencieuse, immobile.
Des dents se referment sur lui en un éclair.
L’élégance au sabre laser d’Obi-Wan Kenobi ressemble à celle d’aucun des autres grands sabreurs de l’ordre Jedi. Obi-Wan n’a absolument pas l’éclat, le pur brio d’un Anakin Skywalker ; on chercherait vainement en lui la férocité crépusculaire d’un Mace Windu.
Ou d’un Delpa Billaba, ou la Grâce stylistique d’une Shaak Ti ou d’une Aayla, et il n’a rien du tourbillon dévastateur que peut devenir Yoda.
Il est la simplicité incarnée.
Tel est son pouvoir.
Les quatre bras mécaniques de Grievous sont alimentés en énergie par des electrodrivers qui permettent à chacun d’attaquer trois fois en une seconde.
Intégrée par des algorithmes de combat dans le réseau électronique de processeur périphérique du biodroïde, chacune des douze frappes à la seconde venait d’un angle différent, à une vitesse et à une force différentes. Le rythme est en outre rompu de façon imprévisible de coups d’estoc, de taille et de revers, dont chacun peut, à lui seul, ôter la vie d’Obi-Wan.
Aucun ne le touche.
Grievous, montrant rageusement les dents, accentue l’intensité et la rapidité de ses assauts – seize par seconde, dix-huit-, jusqu'à ce que, à vingt coups à la seconde, dix huit – jusqu'à ce que, à vingt coups à la seconde, la défense d’Obi-Wan soit finalement submergée.
Alors, Obi-Wan utilise sa défense pour attaquer
Un changement subtil dans l’angle d’une unique esquive amène la lame d’Obi-Wan en contact, non avec celle du sabre laser qui s’abat sur lui, mais avec sa poignée.
La lame cesse d’exister à un cheveu du front d’Obi-Wan, dans lequel elle se fraye un chemin incandescent. La moitié du sabre laser tranché net tombe, ainsi que le pouce et l’index de duranium de la main qui le tient.
Grievous s’immobilise, les yeux exorbités, puis il plisse les paupières. Il lève sa main blessée et examine les moignons de doigts chauffés à blanc qui ne tiennent qu’une moitié de sabre laser inutilisable.
Obi-Wan le regarde en souriant.
Grievous plonge
Obi-Wan esquive.
Des bouts de sabre laser rebondissent sur le sol de duracier.
Grievous baisse les yeux sur les morceaux de métal qui est tout ce qui reste de ses armes, puis il relève les yeux à nouveau sur ses mains, et semble se rappeler tout à coup qu’il à un rendez vous urgent ailleurs.
N’importe où, Le Général Grievous est très doué pour la fuite.
Sur Coruscant, Qui Gon Jinn lutte pour sa vie.
Plus que pour sa vie : chaque mouvement de lame est un coup porté pour défendre la démocratie, la justice la paix, les droits des êtres vivants, ordinaires, à vivre comme bon leur semble.
Il se bat pour la république qu’il aime.
Qui gon utilise le Vaapad, la septième forme de combat au sabre laser, il est l’un des rares Jedi à utiliser ce style, l’autre maître du Vaapad est Mace Windu.
Le Vapaad est aussi agressif et puissant que la créature qui lui à donné son nom, mais on utilise pas impunément son pouvoir : l’immersion dans le Vapaad ouvre les portes qui contiennent les ténèbres intérieures de l’individu. Pour utiliser le Vaapad, un Jedi doit s’autoriser à apprécier le combat ; s’abandonner a son excitation sa joie. Se laisser porter par la vague qui accompagne la victoire. Le Vaapad est un chemin qui mène à travers la pénombre du Côté obscur.
C’est Mace Windu qui à créé ce style, mais Qui Gon semble en être devenu le maître absolu.
C’est l’épreuve ultime de
Votre manque de foi me consterne...