fan fic YUB YUB

j'ai écrit une histoire sur les ewoks et je cherche des lecteurs pour juger mon travail.
si des gens veulent bien lire mon histoire : écrivez moi à gidrojedi@caramail.com
elle est courte !! !

[ 09. juin 2003, 20:20: Message édité par : Cesba ]

Moi je veux !
Yub yub for ever !

missa aussi la veux !!!!

rien que le titre est évocateur...

Yub Yub à tous !!!!!

je vais le mettre sur ce topic mais j'aimerais recevoir des commentaires!!gidrojedi@caramail.com
pour ceux qui sont interréssés, j'écris la suite et je vais la publier d'ici deux semaine.

YuB YuB

Histoire écrite par Gidro.
Gidrojedi@caramail.com

Début de l’écriture le : 17 février 2003.

Figure 1
Commentaire personnel : j’ai écrit cette nouvelle parce que je me suis dit que les Ewoks pouvaient être très amusant et je dois dire que je me suis vraiment fait plaisir en écrivant. Le titre ( Yub Yub ) m’est venu du livre : L’escadron spectre, cinquième tome de la série X-Wings ( je vous conseille cette série ). Mon histoire est assez courte, normal, c’est une nouvelle ! Bonne lecture !

L’histoire se déroule après la bataille d’Endor ( an 4, épisode 6 ). Z-6PO traduit le récit d’un Ewoks. L’histoire que raconte l’Ewoks se déroule d’un peu avant la bataille d’Endor jusqu’à la destruction de la seconde étoile noire.

Chapitre I

Je ne parle pas la langue que vous appelez le basic, ça ne me servirait à rien puisque personne ne vient jamais sur cette planète. J’ai été obligé d’importuner notre dieu pour qu’il m’aide à conter l’histoire de ma vie. Pour ce dieu, je vous expliquerai tout un peu plus tard.

Je vais commencer par le début : le jour de ma naissance. Je ne peux pas vous dire précisément la date où ça s’est passé mais depuis ce jour, j’ai vu passer beaucoup de levers de soleil. Pour les membres de mon espèce, je suis jeune.

Il y a quelques temps, le chef de ma tribu est venu m’annoncer que j’étais prêt pour devenir un guerrier, c’est d’ailleurs ce que je suis désormais. J’ai survécu aux grandes batailles qui ont secoué notre pauvre territoire, je vais donc vous raconter toutes ces terribles batailles du mieux possible.

Mais avant tout, je vais me présenter puisque je ne l’ai toujours pas fait : je m’appelle Dzou, je suis ce que vous appelez un Ewoks, j’aime bien ce nom ! Je vis sur la lune forestière que vous connaissez sous le nom d’Endor.
Excusez-moi, dieu, mais je ne comprends pas ce qu’est une lune.
Z-6PO essaya de garder son calme, heureusement qu’il était encore sous le coup de la victoire due à la destruction de l’Etoile Noire.
Je te l’expliquerai plus tard, c’est comme une planète. Continu de raconter, je me charge de la traduction !

Chapitre II

Je vous parlais d’horribles guerres, j’ai peut-être exagéré, ce n’était pas si horrible que ça puisque nous avons gagné ces guerres !

Il faut que je vous explique quelque chose que vous ne savez sûrement pas : Il n’y a pas que notre tribu sur cette « lune », comme vous l’appelez. Nous nous donnons le nom de « tribu d’ici » et les autres Ewoks, nous les appelons les étrangers. C’est normal, nous sommes chez nous et pas eux !
Depuis plusieurs générations, nous nous combattons pour la possession des terres mais jusqu’à la guerre dont je vais bientôt vous parler, il n’y avait pas vraiment de vainqueur.
La seule façon de différencier nos tribus est le langage, il y a quelques petites différences.

Je vais maintenant commencer à décrire la bataille :
Nous avions préparé nos armes et nous allions bientôt nous rendre dans leur territoire pour combattre lorsqu’un de nos guetteurs est revenu en courant pour nous prévenir qu’un grand groupe d’ennemis arrivait. Il avait estimé le nombre à presque deux fois le nôtre. En résumé, nous avions un gros problème !

Le chef nous réunit tous pour nous expliquer la stratégie à suivre, je cite ce qu’il a dit : « tuez-les tous ! ». Ce message avait pour avantage d’être concis !
Par la suite, il nous expliqua ce qui nous aiderait à vaincre ces monstres supérieurs en nombres, ces lâches !
Il nous décrivit tout notre arsenal de défense que nous avions préparé depuis longtemps déjà. Il y avait de nombreux filets qui étaient déclenchés par une corde au bout de laquelle, était accroché de la viande. Il y avait des rondins de bois qu’on pouvait faire tomber sur eux en coupant une corde. A certains endroits en hauteur, on avait placé des tas de pierres qu’on pouvait jeter sur eux. Bien sûr, nous avions nos armes personnelles : lances, lance-pierres, et un système très ingénieux : on attache une pierre au bout d’une corde, ça permet de lancer plus loin. Nous avions aussi des arcs mais seuls quelques Ewoks savaient s’en servir.
Vous voyez, on était préparés et armés à le pointe de la technologie !

Après quelques minutes passées à attendre, la corne résonna enfin, annonçant le début du combat.
Je courus dans la direction de leurs habitations, je n’allai pas les attendre devant notre territoire ! Déjà deux ennemis arrivaient vers moi. J’étais seul puisqu’on avait ordre de ne pas bouger et que j’avais avancé. Je me lançai sur le premier venu et le projetai à terre. Le second me frappa dans le dos ( je reconnais bien leurs manières !) et je tombai à mon tour. Il arriva en courant sur moi sans faire attention et je lui plantai ma lance dans la poitrine. Il s’écroula. Je me relevai et achevai le premier qui était toujours à terre. Déjà deux ! S’ils sont tous comme ça, on a déjà gagné !
C’est barbare comme récit ! S’exclama Z-6PO
Excusez-moi, dieu, mais nous nous sommes battu pour votre gloire !
Continus.
Apparemment, tous les ennemis étaient arrivés sur le lieu de la bataille sans me croiser. Ils avaient peur de moi ! Maintenant, j’allais servir de tenaille.
Je rejoignis au pas de course la bataille, lance à la main. Nous avions l’air de gagner. Evidement ! Les étrangers n’avaient que leurs lances avec eux, nous allions les écraser !

Je voyais leur chef de ma position, il était très grand( presque 1.2 mètre ). Il se tenait à l’écart de la bataille (un lâche de plus, le plus lâche de tous ! ), deux gardes sur les talons et …un des nôtres ! Un traître ! Je déteste les traîtres, il va le payer !
Ils se dirigeaient tous les quatre vers l’endroit où nous cachions les femmes, les enfants et les Ewoks trop vieux pour se battre. Je devais les en empêcher !

Je sautai sur une liane et me laissai porter vers ma destination : Un passage au-dessus du vide où se tenaient ces monstres. Ils me virent dès que je me posai et un des gardes me sauta dessus, lance pointée vers moi. Je déviai la trajectoire de sa lance avec la mienne et le poussai de toutes mes forces ( autrement dit : Largement assez ! Sans me vanter.) Il tomba dans le vide. C’est tout ce qu’il méritait !
Les trois autres étaient partis en courant mais je vis le deuxième garde s’arrêter pour me barrer la route. La dernière initiative de son horrible vie.
Je le frappai à la main, il perdit sa lance. Je le transperçai à la jonction de la tête et du reste du corps.
Autrement dit : le cou. Résuma Z-6PO.

J’enjambai ce corps infâme, qui gisait lamentablement.

Au loin, j’aperçus les deux ennemis qui arrivaient devant la cachette. Leur chef fit signe au traître de passer avant lui, celui-ci s’exécuta mais n’eut pas le temps de rentrer dans la hutte, il avait une lance plantée dans le dos. Bien fait pour lui ! Bravo !
Leur chef rentra dans la hutte. Des cris s’en élevèrent.
Je courus aussi vite que mes petites jambes me le permettaient. J’entrai à mon tour dans la hutte et je vis ce monstre étrangler un enfant. Je lui plongeai dessus et nous roulâmes tous deux contre un mur. Je lui mis un coup dans la tête mais il arriva quand même à se relever et pointa sa lance vers moi. La mienne était tombée quand j’avais plongé sur lui. Il me planta sa lance dans l’épaule. Ça me fit encore plus mal lorsqu’il la ressortit. Je me traînai un peu plus loin. Il retourna à sa besogne, je replongeai à nouveau sur lui, nous remettant à terre.
Je vis qu’un vieux avait prit ma lance et la braquait vers nous.
La douleur m’empêchait de me battre à cent pour cent de mes facultés mais je n’en avais pas besoin pour vaincre cette raclure. (Sans vouloir me vanter ! Ce n’est pas mon genre ! ).
On se tenait tous les deux les bras et on se poussait à travers la pièce. Il n’avait pas vu la lance dans son dos et s’y embrocha dès que je l’y poussai. Ça s’était assez bien passé. Ca avait même été facile ! Il était grand mais ce n’était pas une lumière ! Il m’arrive encore de m’étonner moi-même !

J’avais évité un massacre. Même le petit n’était pas mort, il était choqué mais s’en sortirait.
Je décidai de retourner me battre malgré les conseils de ma femme.
En parlant de ma femme, c’est la plus belle de la tribu, la fille du chef. C’est bien ce que mérite un Ewoks grand, beau et fort comme moi !

Lorsque j’arrivai, arme à la main, il n’y avait plus un combat. Juste des morts partout ( surtout des étrangers ) et les derniers ennemis fuyaient. Ça court vite un Ewoks qui a peur !
Tous les guerriers de ma tribu criaient leur joie et dansaient.
On avait eu très peu de pertes.

Le soir, une fête eu lieu et je fus acclamé pour mon acte de bravoure ( « son sauvetage » comme disait le chef ). « Quoi de plus naturel » avais-je répondu avec le plus d’humilité possible !

Nous avions agrandi notre territoire ce jour là, jamais je ne l’oublierai. Je me risquerais même à dire que c’était en grande partie grâce à moi.

La vie reprit son cours normal mais nous n’allions pas en rester là !

Chapitre III

Nous avions gagné une bataille très importante mais tout n’était pas joué. Il fallait qu’on leur donne le coup fatal.
Nous avions décidé, le chef et moi, qu’il fallait les attaquer pendant qu’ils étaient affaiblis et sans chef. Ai-je besoin de vous rappelez que c’est moi qui l’ai tué ?
Nous allions attaquer éminemment mais nous ne devions pas faire la même erreur qu’eux. Nous allions emmener nos armes.
J’avais eu la magnifique idée de construire des pièges autour de leur camp principal, si nous arrivions à les y diriger, ils pourraient nous servir d’esclaves par la suite. Mais le plus important, si ce plan marchait, est que j’aurai une récompense.

Avec notre supériorité numérique, nous pourrions construire ces pièges sous leur nez. Il nous suffirait de tous y aller sans se faire repérer. Facile pour un Ewoks ! Le nombre servirait à se défendre si les constructeurs de pièges se faisaient repérer.
Le chef avait bien sûr approuvé mon plan.

La construction des trous se passa sans encombres. Ils furent recouverts de branches. Tout était prêt pour le combat, peut-être le dernier qui se déroulerait sur cette planète.

Notre chef nous dit encore une fois de tous les tuer puis me laissa la parole pour que j’explique mon plan.
Je parlai le plus distinctement possible : « Un groupe fera le tour de leur camp et l’autre restera ici, pour attaquer ceux qui ne tomberont pas dans nos pièges. Le premier groupe se chargera de les faire fuir vers nos pièges mais ne doit surtout pas s’abstenir de les attaquer dès que possible. C’est compris ? ». Un « oui » général s’éleva de la foule de combattants. L’un d’eux cria même : « c’est un plan génial ! » Je me contentai de répondre : « oui, c’est le mien. »

En quelques minutes, tout le monde prit place et la stratégie s’avéra parfaite dès que nos rabatteurs agirent.
Presque la moitié de nos ennemis tombèrent dans les trous et le reste allait bientôt succomber à nos assauts.
Un groupe de deux Ewoks ennemis se cacha derrière un buisson, croyant que je ne les avais pas vus. En Ewoks puissant que je suis, je courus immédiatement dans cette direction, prêt à me battre et à les tuer.
Une fois arrivé derrière les buissons, mon envie ardente de les massacrer se transforma en peur lorsque j’eus fait le compte des ennemis qui se présentaient à moi : Onze.
Je pris quelques secondes pour réfléchir. Si je leur disais ce que je pensais d’eux, j’étais un Ewoks mort. Alors, j’ai essayé de les flatter mais je crois que je m’y suis mal pris. Je leur ai dit : « vous savez qui je suis, c’est pour ça que vous êtes tant, vous n’êtes pas aussi bête que je croyais ! » Cette flatterie n’eut pas l’effet escompté car ils se jetèrent sur moi. Il y a des fois où j’ai du mal à comprendre les réactions des Ewoks !
Je n’eus pas le temps de chercher pourquoi ils faisaient ça. Je frappai sans vraiment faire attention. Quelques fois, un ennemi s’en allait en se tenant une partie fragile de son anatomie mais il revenait quelques secondes plus tard, encore plus énervé contre moi.
Je réussis enfin à saisir une lance et je transperçai son ancien propriétaire. Au même instant, je sentis un bâton percuter mon dos. ( D’habitude, j’aurai pensé qu’il me frappait dans le dos par manque de courage, mais cette fois, c’est parce que devant moi, il y avait déjà cinq Ewoks, donc plus de place. Mais je continue d’affirmer que s’ils avaient pu, ils se seraient tous mis dans mon dos !)
Je sombrai dans l’inconscience.
Je vous le dis même si je ne l’ai pas vu : nous avons gagné la guerre et nous avons tué ou fait prisonniers tous nos ennemis.
Tous nos survivants ont fêté ça toute la nuit. Tous nos survivants, sauf moi !

Une vingtaine d’Ewoks se lança à ma recherche. Ça me flatte !
A l’époque où ça s’est passé, je ne savais pas qu’on me cherchait. J’étais retenu prisonnier dans un lieu que je ne connaissais pas, par les Ewoks qui m’avaient attaqué. Ils allaient sûrement me torturer pour avoir des informations sur notre camp. Peut-être pire : ils allaient abîmer ma superbe fourrure ! Plutôt mourir !

Deux Ewoks arrivèrent. L’un d’eux me détacha de l’arbre mais mes mains étaient toujours liées. Je me répète, mais je trouve qu’ils ne sont pas si bêtes ! Ils auraient dû me bâillonner ! Je n’essayai même plus de les calmer, je comptai me servir de leurs petites cervelles. « Vous n’êtes pas très courageux ! Deux contre un qui a les mains ligotées ! »
Celui qui semblait être le supérieur de l’autre fit un sourire en me détachant, il devait se trouver intelligent !
Apparemment, ils ne voulaient pas me soutirer d’informations, ils voulaient jouer avec moi.
Un d’eux essaya de me frapper. Je fus bien sûr plus rapide que lui et il reçut un coup de pied dans le nez. Il partit chercher sa lance en se tenant le nez.
Son second m’attaqua à son tour. Je bloquai le coup et le coinçai contre un arbre. L’autre, qui était déjà revenu, frappait avec sa lance sans vraiment viser. Je crois que je l’avais énervé ! Il finit, grâce à son intelligence, par toucher son complice au ventre. Celui-ci s’en alla mourir un peu plus loin.
Ce fou continua de frapper sans faire attention à son ami agonisant. Il planta sa lance dans un arbre. Il l’avait plantée suffisamment pour perdre du temps à la ressortir, juste assez pour que je la bloque et que je la lui arrache des mains.
Il ne m’a fallut que quelques secondes pour la lui enfoncer dans le cœur.

Un bruit au-dessus de moi me fit lever la tête juste à temps pour que je puisse esquiver l’Ewoks qui plongeait droit sur moi. Il se releva immédiatement. Je vis sa lance arriver sur moi puis, je sentis une douleur à l’épaule. Sa lance m’avait touché mais était passée juste au-dessus, je n’avais qu’une petite coupure.
Je le transperçai sans qu’il ne résiste. Il s’écroula.

D’autres Ewoks arrivèrent à leur tour. Leurs visages m’étaient familiers, je les connaissais. Ils étaient de ma tribu ! C’était gentil à eux d’être venu mais je n’avais pas besoin d’aide.
Un d’eux vint me parler : ( en Ewoks )
Ça va bien ?
Parfait ! Avez-vous rencontré des étrangers en me cherchant ?
Oui, et nous les avons tués.
Combien ?
Sept.
Parfait ! On peut rentrer. Nous avons gagné la bataille ?
Oui. Nous possédons maintenant tout le territoire.
Tout va pour le mieux. Je vais pouvoir fêter ça.

Au camp, je fus traiter comme le héros du village ( que je suis ). Le chef avait malheureusement été tué au cours des affrontements et je devins le chef.
Tout le monde voulait que je raconte mes aventures, je préfère le terme exploits, mais ce n’est pas grave ! Je les racontais presque à contre cœur. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais je suis plutôt modeste !

Dans notre tribu, tout se passa sans faits notables jusqu’à l’arrivée dans notre ciel d’une boule toute noire.
Vous appelez ça comment ?
L’Etoile Noire.
Voilà !

Chapitre IV

Je vous ai parlé tout à l’heure de l’Etoile Noire qui était apparue dans notre ciel. Elle était horrible, elle faisait peur à tout le monde dans la tribu, même à moi. C’est dire à quel point elle était horrible !
Quand elle était apparue pour la première fois, elle ressemblait à ce qu’elle est maintenant mais en moins concentrée. Comment vous expliquer ça ? C’était la même sauf qu’elle n’était pas pleine comme par la suite.
Je vois ! Il n’y avait que le squelette.
Voilà ! C’est ce que je voulais dire !
Donc, comme je viens de vous le dire, il n’y avait que le squelette. Puis petit à petit, elle se remplissait jusqu’à devenir presque une planète parfaite.

Entre temps, des choses qui marchent en l’air sont arrivées du ciel et se sont posées ici, sur la lune.
Ce sont des vaisseaux.
Si vous le dites, je vous crois.
Des gens comme vous en sont descendus et ont commencé à construire des bâtiments.
Z-6PO le coupa violemment.
Ils ne sont pas comme nous, ce sont des impériaux !
Oui dieu. Excusez-moi !
Ces impériaux, comme vous les appelez, ce sont éparpillés sur notre territoire. Nous en avons tué quelques-uns uns mais ils étaient trop forts pour nous et nous avons du abandonner.
Nous avons envoyé nos esclaves les combattre aux alentours de leur base. Aucun n’est revenu. Nous avions envoyé quelqu’un de notre tribu pour les surveiller. Il est revenu et il nous a dit qu’ils étaient tous morts. Tués par des éclairs rouges.

Nous avions de plus en plus peur et je décidai que nous devions partager notre territoire avec ces monstres.
La vie resta calme pendant un petit moment.

Elle resta calme jusqu’à ce qu’un de nos éclaireurs revienne avec une humain.
Pour les femelles, on dit humaines.
Excusez-moi.
Notre éclaireur disait qu’elle était gentille et que nous pouvions avoir confiance en elle. Il nous raconta qu’elle l’avait aidé à tuer nos ennemis et qu’elle lui avait donné à manger.
Nous lui disions de rester dans notre camp sans qu’elle soit prisonnière. Nous n’arrivions pas à comprendre ce qu’elle nous disait, elle avait l’air perdue. Elle avait l’air d’être d’accord pour rester avec nous.

Dans la journée, nous sommes partis pour vérifier nos pièges, comme d’habitude. Nous sommes arrivés devant un qui avait été déclenché. Les gens coincés à l’intérieur arrivèrent à se libérer mais nous les avons arrêtés sur-le-champ. C’est là que je vous ai vu pour la première fois, grand dieu. Vous étiez comme dans les légendes que nous racontent nos parents. Je ne savais plus quoi faire. Je décidai finalement de les faire tous prisonniers sauf vous, évidemment !
Nous avons ramené tous nos prisonniers à notre camp. Vous nous avez bien sûr accompagné. Nous allions les faire griller puis les manger en votre honneur. L’humaine qu’on avait trouvée auparavant avait l’air de les connaître et ne voulait pas qu’on les tue, c’est ce que j’ai compris mais je ne l’ai pas fait, je n’allais pas importuner notre dieu pour elle ! Même vous, dieu, ne vouliez pas qu’on les tue. J’ai hésité à vous désobéire mais je me suis souvenu d’une histoire qui disait qu’il ne faut par oublier de faire des sacrifices le jour où nous trouverions notre dieu. J’ai donc ordonné de continuer le sacrifice.
Vous avez alors dit quelque chose qui m’a fait très peur : « si vous ne les relâchez pas, je me servirais de ma magie ». J’ai une nouvelle fois hésité mais j’ai ordonné de ne pas vous écouter.
C’est à ce moment là que vous vous êtes élevé comme par…magie ! Tout le monde était effrayé et avait désormais peur de vous. J’ai immédiatement fait libérer vos amis et vous vous êtes posé, à mon grand soulagement !

Par la suite, vous nous avez expliqué ce qui vous amenait chez nous et vous nous avez raconté toutes les batailles que vous aviez menées contre les impériaux. C’est vrai que vous avez accompli beaucoup d’exploits. Presque autant que moi ! Le plus important était selon moi, que vos amis avaient déjà détruit une Etoile Noire. Ça me rassurait, l’espoir naissait en moi.
Au terme de ce récit tonitruant. Je décidai que vous feriez, vous et vos amis, partie de notre tribu. Vos amis avaient très content ! C’est compréhensible !
Une personne de votre groupe me plaisait beaucoup, celui que vous appelez Chewbacca. Il était vraiment intimidant ! Il mesurait trois Ewoks. Je choisis de le nommé second chef pour la mission que vous vouliez mener.
Cette mission était très ambitieuse : détruire la construction impériale que se trouvait sur la lune ! Nous allions apporter toute l’aide possible mais ça allait être très dur.

Chapitre V

Nous y voilà ! Cette fameuse bataille ! Celle où l’avenir de notre tribu se jouerait.
Nous sommes tout d’abord allés devant l’entrée principale mais elle était trop gardée. C’est à ce moment qu’un des nôtres vous à dit qu’il y avait une autre entrée. Nous y sommes tous allés et nous sommes restés cachés.
Il n’y avait que trois gardes. Un de mes compagnons ( il me fait penser à moi quand j’étais plus jeune ) avança discrètement vers leurs machines.
En parlant de ces machines. Je venais d’inventer un moyen de les détruire, vous verrez par la suite.
Toujours est-il que ce Ewoks courageux monta sur la machine et démarra bien qu’il ne sache pas s’en servir. Deux gardes partirent à sa poursuite mais le troisième du rester là puisqu’il n’avait plus de moyen de transport.
Depuis ce jour, ce guerrier à une femme, celle qu’il a choisit. C’est un petit cadeau de ma part.

Un des vôtres attira le dernier garde vers le reste de son équipe et celui-ci leva les mains en signe de reddition.
Vous, puissant dieu, vous nous avez fait l’honneur de rester avec nous dans la forêt.
Après je ne sais pas ce que vos amis ont fait à l’intérieur, par contre, je me souviens que nous nous sommes caché et que d’autres ennemis à vous sont arrivés et ont encerclé le bâtiment. Certains sont rentrés.
Leurs troupes étaient vraiment nombreuses. Il y avait beaucoup d’hommes et il y avait aussi des monstres qui mesuraient au moins vingt Ewoks. C’est la première fois qu’on les voyait mais nous savions déjà qu’ils allaient faire des dégâts dans nos rangs !
Quelques instants plus tard, vos amis sont ressortis avec les impériaux, ils étaient désarmés.
Nous étions tous cachés, comme à notre habitude. La stratégie nous aiderait à gagner.
Chaque impérial pouvait éliminer au moins cinq Ewoks si nous rations notre attaque. Et encore plus pour leurs monstres !
Nous devions nous servir de l’effet de surprise. Mais même avec cet avantage ça allait être dur !
Notre dieu ( vous ) nous a annoncé qu’il s’occuperait de faire diversion. J’étais un peu réticent à l’idée de le laisser seul avec celui qui roule mais tant pis !
Il s’appelle R2-D2 et il est très utile.
Je ne voulais pas lui manquer de respect !
Continus.
Cette stratégie c’est avérée payante puisque vos amis ont réussi à prendre des armes au moment où nous avons attaqué.
Nous nous sommes jetés sur les impériaux qui étaient venus à votre rencontre puis toute notre tribu a commencé à fuir et ( ou ) à attirer les ennemis dans nos pièges.
J’ai vu un de leurs monstres tirer sur deux d’entre nous, et un seul s’est relevé. Nous avions du mal à les semer ( les monstres ) mais nous arrivions assez bien à éliminer les humains.
Notre stratégie marchait de mieux en mieux et nous arrivions même à diriger les monstres.

Je vais ouvrire une parenthèse pour m’attarder sur les pièges contre les monstres. Je ne fais pas ça parce que c’est moi qui les ai inventés mais tout simplement parce qu’ils sont géniaux !
La première idée qui m’était venue était de placer des troncs en haut d’une colline et de les faire dévaler lorsqu’un monstre arriverait. Ce qui a parfaitement marché. Evidemment
Mon autre idée était plus simple. C’était le même principe que pour les hommes mais en plus grand. On attachait une corde entre deux arbres pour le faire trébucher. Encore une victoire pour moi !
L’autre piège était selon moi le meilleur mais aussi le plus difficile à réaliser. Il fallait attacher deux troncs à deux arbres et les laisser se balancer au bon moment pour qu’ils frappent simultanément le monstre. Ai-je besoin de vous annoncer que ça a parfaitement fonctionné ?

Tout notre arsenal de piège était maintenant épuisé et il restait encore deux monstres debout. J’ai du improviser. Chewbacca était toujours à côté de moi et je lui demandai s’il savait se servir des monstres. Il me répondit que oui. Je l’envoyai donc avec un des nôtres voler un monstre pour tuer l’autre. Chewbacca s’exécuta et nous gagnâmes la bataille. Grâce à moi et aussi un peu grâce aux autres. Il faut bien l’accorder.

Il restait cependant un problème : rentrer dans le bâtiment. Je dois avouer, à ma grande détresse, que je n’ai pas encore compris comment vous avez fait pour faire sortir les impériaux. Toujours est-il que vous avez pu placer les explosifs…
C’est le bon mot ?
Oui
Et la base à sauter juste après que nous nous soyons éloignés.

Par la suite, vous nous avez expliqué qu’on avait permis à vos amis d’aller détruire la boule noire du ciel.
Tout le monde avait l’air soulagé d’avoir réussit.

Chapitre VI

Nous étions tous très contents de notre victoire sur les impériaux mais certains d’entre nous étaient très énervés par la situation. Sur notre planète, nous n’avions pas l’habitude de gagner une bataille et de devoir attendre qu’un autre groupe gagne une autre bataille pour fêter la victoire. Moi j’avais compris mais quelques esprits légers ne voyaient pas l’importance et la gravité de la situation.

Nous devions rester sur nos gardes car depuis la destruction de la base impériale, des ennemis attaquaient, poussés par la vengeance.
Ils étaient difficiles à maîtriser. Ils se jetaient tels des furies sur les Ewoks qui se présentaient à eux avec plus ou moins de succès.

S’il ne fallait pas attendre de savoir la tournure que prendraient les évènements, le village aurait pu faire la fête mais au lieu de ça, les femmes pleuraient leurs maris tombés au combat.

Ce qui énervait le plus la tribu était le fait que nous avions aidé des personnes que nous ne connaissions presque pas et que beaucoup d’entre nous étaient peut-être morts pour rien.
Moi, en tant que chef, je pensais le contraire. Nous avions prouvé notre valeur au combat et rempli parfaitement la part du combat. Mais je dois avouer que je trouverais frustrant de l’avoir fait pour rien.

Je regardai cette boule noire qui gâchait ce ciel bleu si parfait. Elle avait aussi gâché la vie de beaucoup d’Ewoks aujourd’hui et celle de beaucoup d’innocents d’après vos récits. Il fallait la détruire ! Coûte que coûte !
J’avais maintenant les yeux fermés. Je me concentra sur la boule noire. Vous m’aviez expliqué qu’il fallait détruire quelque chose à l’intérieur pour qu’elle explose. J’imaginais que cette chose se détruisait, puis que l’explosion de la boule noire illuminait le ciel.
Un énorme bruit me tira de mes rêves. J’ouvris les yeux et je vis ce que j’avais imaginé quelques secondes auparavant. C’était réel cette fois ci. Tout était fini. Nous avions définitivement gagné.

Le soir, tout le monde fit la fête et quelques amis à vous qui venaient du ciel se rajoutèrent au nombre de personnes non-Ewoks.
On jouait de la musique en se servant des casques des impériaux. Tout allait pour le mieux.

Les amis à vous qui étaient descendus des vaisseaux étaient en train d’expliquer comment ils s’y étaient prit pour détruire la boule. Je n’aime pas les personnes qui se ventent. Surtout quand ils se ventent de quelque chose qu’ils n’ont pas fait. Je savais parfaitement que c’était moi qui avais détruit la boule, grâce à ma puissance mentale.
Voilà ! Je suis arrivé au moment présent.
C’est une belle histoire, tu es un chef de valeur.
Merci ! Allez-vous rester avec nous sur cette lune ?
Non, je dois partir mais je t’assure que toi et ton peuple vivrez en paix pendant longtemps.
Je vous crois. Adieux.
Adieux.

Fin de l’écriture le : 08 Avril 2003.

Index

Chapitre 1 Page 2
Chapitre 2 Page 3
Chapitre 3 Page 6
Chapitre 4 Page 9
Chapitre 5 Page 11
Chapitre 6 Index Page 13 Page 15
Remerciements Page 16

Je ne vais pas trop m’étendre sur les remerciements car j’ai écrit ce livre sur un coup de tête sans en parler à personne, cependant, quelques personnes ont été au courant avant d’autres :
- Tout d’abord, à Kano, qui est connu pour des fan-fictions géniales ( jedi perdu, opposition, moi droïd, la lame de la justice ) et pour une histoire qu’il écrit avec d’autres auteurs ( groupe Kenobi ). Son E-mail : kano@jediperdu.com
Sites : www.jediperdu.com ; www.groupe-kenobi.com
A maxime ( coolmax2002@hotmail.com ) qui fut un des premiers à avoir lu cette petite nouvelle. Lui-même a déjà écrit une histoire : Zax Ralter.
A Amiral Ace, qui est aussi un fan des Ewoks et qui publie un hebdomadaire sur www.yubyubdomadaire.com qui traite de Star Wars. Il a été le premier a avoir publié mon histoire.
A ma mère qui a corrigé les fautes.

pour le site de amiral ace, j'ai tapé un peu vite, c'est www.yubyubdomadaire.fr.st
voilà
@+

Attention, ceci est une critique. Evacuez les meufes et les enfants, prestissimo !!!

Or, donc, les Ewoks. Je suppose que la plupart des gens les imagine mignons, certes velus, mais ô combien attendrissants à force d'émettre de petits grognements. En bref, de petits oursons qu'il serait judicieux de déporter d'Endor pour les disperser au sein de familles d'accueil civilisées en guise de bestiole pour les gamins, genre hamster, pékari ou encore razorback.

Eh bien oubliez tout ça. Cette Fanfic' remet les choses à leur place, les points sur les "i" et les barres dans la gueule des Impériaux. Infortunés Impériaux qui ont considérablement sous-estimé la valeur combattive de ces tribus prétendument arriérées. Les sots. Mais rien qu'en voyant ces si attendrissantes boules de peluche, on peut les comprendre. Les Ewoks, c'est maintenant connu, se servent de leur apparence pour tromper l'ennemi.

La Fanfic ci-dessus tranche avec ces idées reçues, nous ramenant à quelques vérités premières. Tout d'abord, celle que les Ewoks sont des guerriers cannibales, loin de l'ambiance "Bouba le petit Ourson" (actuellement diffusé tous les jours vers 13 h sur La Cinquième) - dans leur cas, ce serait plutôt "Braveheart" avec les séquences sanglantes non-coupées au montage (je cause toujours de la FF). Second point : ils ont une conception élevée du patriotisme, vu la manière dont ils se rallieront à l'Alliance rebelle. Troisième élément : ils se battent bien, très bien, même, possèdent leurs génies militaires, leurs ingénieurs, leurs pièges, leurs armes secrètes. Espérons (ou non) que l'arrivée du blaster sur leur lune forestière ne troublera pas durablement la marche de leur progrès scientifique.

Le lecteur est amené à découvrir le monde ewok par le biais d'un récit formulé par un membre de cette peuplade et traduit par C3PO. A ce sujet, l'idée de faire intervenir "Bâton d'Or" est excellente et s'avère être la source de nombreux gags précisément dignes dudit droïd. Car évidemment, le traducteur si pudique a son mot à dire au regard d'une chronique aussi sanglante qu'agitée et émanant, faut-il le rappeler, d'individus situés à des années-lumières de ses goûts personnels.

Et nous suivons donc les aventures de cet Ewok, dans un style spécifiquement "ewok" quoique traduit par C3PO. Des aventures ô combien trépidantes, sanglantes : l'histoire ewok ne semble être qu'une succession de conflits et autres rivalités. En somme, rien de bien idyllique : là se niche une autre bonne idée de l'auteur, avoir "humanisé" les Ewoks, les avoir rendus aussi arrogants, fiers, débiles parfois, fanfarons encore, que nous autres, habitants de la Terre.

Le style est ponctué de remarques drôles, voire franchement hilarantes, et nous fait passer un bon moment (genre "Je n’aime pas les personnes qui se vantent", observe l'Ewok narrateur...). Il y a un côté Astérix à ce récit, et dans certains événements, et dans la manière de raconter, avec quelques décalages bienvenus. On pourra toutefois regretter que si l'Ewok se montre prolixe sur les événements militaires (après tout, c'est un guerrier), il reste assez silencieux sur sa vie quotidienne - genre chasse, pêche, nature et traditions. Mais bon, l'orthographe est respectée, alors...

Une FF sympa, très drôle, donc réussie, peut-être trop courte, justement par manque de description de leur mode de vie, mais... l'humour, l'humour...

tu es la première personne qui m'écrit un commentaire ( y en a eu d'autre mais ils disaient juste que c'était bien, donc ça m'avance pas )!
merci à toi, je te ferai signe lorsque j'aurai bouclé le numéro deux de yub yub!
ca se passera avec les vongs
j'ai plein de temps en ce moment avec les ponts mais maintenant, y'en a plus et je vais ralentir.
en plus le seconde c'est un peu dur!!! j'ia que 15 ans et demi moi ! :roll:

ce que tu réclame " On pourra toutefois regretter que si l'Ewok se montre prolixe sur les événements militaires (après tout, c'est un guerrier), il reste assez silencieux sur sa vie quotidienne - genre chasse, pêche, nature et traditions." je suis en train de l'écrire sous forme de cours donnés par le sage du village mais ça ne parle que des fête, traditions, chasse;;; il n'y a pas d'histoire autour, juste les cours :mad:

Très bonne nouvelle.
Que dire de plus que notre cher ami ci-dessus ?

C'est vrai qu'un plus grand nombre de descriptifs sur la vie quotidienne d'un ewok pourrait approfondir l'histoire et nous faire découvir encore plus ces petites boules de poils si charmantes.

Continue !
Petite remarque personnelle : stp, oublie Z-6PO !
C-3PO est tellement mieux.
Cela dit, ce n'est qu'un détail insignifiant.

[quote]Débat lancé par gidro:
[b] j'ia que 15 ans et demi moi !

Débat lancé par Dark Cador:
[b] il reste assez silencieux sur sa vie quotidienne - genre chasse, pêche, nature et traditions.

si tu veux en savoir plus sur la vie cotidienne des ewoks, va à cette adresse : http://membres.lycos.fr/amiralace/ewokencyclo2.html#article2

et laisse ta griffe sur le forum stp : http://membres.lycos.fr/amiralace/ewokencyclo2.html#article2

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