Mais n'oubliez pas la contrainte imposée par Jagen Eripsa : votre texte doit contenir un mot en Mando'a ! Vous n'avez pas pris Mandalorien en LV2 ? Pas de problèmes : pour vous aider, SWU possède son propre dictionnaire Français-Mandalorien !
Et c'est parti ! Vous avez jusqu'au dimanche 05/03 inclus pour poster votre plus beau texte de 150 mots (avec une tolérance de 25 mots en-dessous ou au-dessus de ce seuil), sous balise spoiler.
A vos claviers !
Edit : Les challengers !
JediLord
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Mission Suicide:
C’était une mission simple. Aucune raison de s’en faire.
Si ce n’était pour le fait qu’il ne soit pas de base taillé pour ce genre d’opérations. Ses principales compétences étaient le sabotage, la reconnaissance, ainsi que l’extraction et la destruction de cibles stratégiques. Pas l’infiltration en civil d’une planète sous contrôle Sith.
Vev Uttaran avait pourtant été choisi. S’il avait survécu aux opérations commandos des Guerres Mandaloriennes, il pouvait le faire. Il devait s’acquitter de sa tâche aux côtés de son groupe: Deux chevaliers Jedi, un officier des services de renseignements, un espion et un membre des divisions d’éclaireurs. Leur tâche: infiltrer la propriété du commandant Doel Scherp et récupérerdes codes cruciaux, pouvant changer le coût de la guerre.
Alors qu’il quittait le spatioport de Sernpidal, il put apercevoir les autres agents de la République, arrivés sur des transports diffèrent. Il espéra que la Force veillerait sur lui et ses compagnons d’armes.
(165)
C’était une mission simple. Aucune raison de s’en faire.
Si ce n’était pour le fait qu’il ne soit pas de base taillé pour ce genre d’opérations. Ses principales compétences étaient le sabotage, la reconnaissance, ainsi que l’extraction et la destruction de cibles stratégiques. Pas l’infiltration en civil d’une planète sous contrôle Sith.
Vev Uttaran avait pourtant été choisi. S’il avait survécu aux opérations commandos des Guerres Mandaloriennes, il pouvait le faire. Il devait s’acquitter de sa tâche aux côtés de son groupe: Deux chevaliers Jedi, un officier des services de renseignements, un espion et un membre des divisions d’éclaireurs. Leur tâche: infiltrer la propriété du commandant Doel Scherp et récupérerdes codes cruciaux, pouvant changer le coût de la guerre.
Alors qu’il quittait le spatioport de Sernpidal, il put apercevoir les autres agents de la République, arrivés sur des transports diffèrent. Il espéra que la Force veillerait sur lui et ses compagnons d’armes.
(165)
LL-8
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— Encore.
RC-1136 mit un genou à terre, et prit quelques secondes pour retrouver une respiration normale. Il lui semblait que l’air n’atteignait pas ses poumons. Il posa une main sur sa gorge, comme si la simple pression de ses doigts pouvait suffire à dégager sa trachée. Devant lui, Skirata attendit qu’il se remette en position.
Le clone se releva, prêt à poursuivre l'entraînement. Mais son instructeur se contenta de secouer la tête.
— Tu es encore un ik’aad.
RC-1136 baissa la tête. Se faire traiter d’ik’aad alors qu’il dirigeait sa propre escouade fit monter en lui une colère sourde.
— On a terminé pour aujourd’hui.
Et Skirata quitta la salle d’entraînement, le laissant seul. Le commando serra le poing. Il n’était pas Mandalorien, il le savait. Mais il se jura qu’un jour, lui aussi pourrait faire partie de ce peuple.
(150)
RC-1136 mit un genou à terre, et prit quelques secondes pour retrouver une respiration normale. Il lui semblait que l’air n’atteignait pas ses poumons. Il posa une main sur sa gorge, comme si la simple pression de ses doigts pouvait suffire à dégager sa trachée. Devant lui, Skirata attendit qu’il se remette en position.
Le clone se releva, prêt à poursuivre l'entraînement. Mais son instructeur se contenta de secouer la tête.
— Tu es encore un ik’aad.
RC-1136 baissa la tête. Se faire traiter d’ik’aad alors qu’il dirigeait sa propre escouade fit monter en lui une colère sourde.
— On a terminé pour aujourd’hui.
Et Skirata quitta la salle d’entraînement, le laissant seul. Le commando serra le poing. Il n’était pas Mandalorien, il le savait. Mais il se jura qu’un jour, lui aussi pourrait faire partie de ce peuple.
(150)
Loucass824
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— Je comprends ce niveau de préparation. Mais tout de même ?
Baz laissa sa main parcourir son fusil d'assaut, avant d'ajuster le réticule. Toujours bien réglé au bout de la sixième fois. Mais la nervosité de ce jeunot le pousserait à vérifier de nouveau durant le trajet, alors que ses pas le rapprochaient des navettes pour le départ.
— Les cartels ne sont pas des ennemis comme les autres, déclara Baz. Liés de près ou de loin aux contractors délaissés par les sociétés privés. Ils embauchent de tout : ex-Division, ex-Blacktower. Divers commandos de forces spéciales. Des kandosii, un corps d'élite Mandalorien. Des types qui ne font pas dans la dentelle.
C'est le moins que je puisse lui révéler, songea Baz. Chaque grimace, rasage, instant où son reflet lui apparaissait. Les marques de cet escadron de Mandalorien demeuraient.
— Et j'en passe, poursuivit-il. Des experts reconditionnés, membres d'escadrons punitifs. Parfois en sommeil, au milieu d'une foule. La réponse armée du GSP est graduée, tout simplement.
Baz laissa sa main parcourir son fusil d'assaut, avant d'ajuster le réticule. Toujours bien réglé au bout de la sixième fois. Mais la nervosité de ce jeunot le pousserait à vérifier de nouveau durant le trajet, alors que ses pas le rapprochaient des navettes pour le départ.
— Les cartels ne sont pas des ennemis comme les autres, déclara Baz. Liés de près ou de loin aux contractors délaissés par les sociétés privés. Ils embauchent de tout : ex-Division, ex-Blacktower. Divers commandos de forces spéciales. Des kandosii, un corps d'élite Mandalorien. Des types qui ne font pas dans la dentelle.
C'est le moins que je puisse lui révéler, songea Baz. Chaque grimace, rasage, instant où son reflet lui apparaissait. Les marques de cet escadron de Mandalorien demeuraient.
— Et j'en passe, poursuivit-il. Des experts reconditionnés, membres d'escadrons punitifs. Parfois en sommeil, au milieu d'une foule. La réponse armée du GSP est graduée, tout simplement.
(171)
Alionouchka
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Peu de choses ont de la valeur dans cet univers impitoyable et corrompu. Mayfeld a cru l’inverse pourtant. Il n’a jamais eu la naïveté de placer des espoirs dans la lumière des étoiles ou la fidélité de l’amour. Mais il a cru un temps à la camaraderie, et même à l’importance de sa propre vie. Parfois, il croit encore à l’oubli que procurent les épices.
Pourtant, une chose étrange se passe quand Djarin prononce ces mots d’une voix basse, presque fragile. Comme une vibration, une mollesse dans sa poitrine. Il ne se rappelle pas avec netteté la dernière fois que cela lui est arrivé. Peut-être ce jour où un de ses camarades, dans une tranchée, a partagé sa capote avec lui pour les abriter de la pluie.
« Je dois récupérer mon kar'ta. »
Il n’a pas besoin de comprendre le Mando'a pour saisir le sens de ce mot.
Peu de choses ont de la valeur. Mais à cet instant-là, il sait qu’il ne trahira pas Djarin.
(175)
Pourtant, une chose étrange se passe quand Djarin prononce ces mots d’une voix basse, presque fragile. Comme une vibration, une mollesse dans sa poitrine. Il ne se rappelle pas avec netteté la dernière fois que cela lui est arrivé. Peut-être ce jour où un de ses camarades, dans une tranchée, a partagé sa capote avec lui pour les abriter de la pluie.
« Je dois récupérer mon kar'ta. »
Il n’a pas besoin de comprendre le Mando'a pour saisir le sens de ce mot.
Peu de choses ont de la valeur. Mais à cet instant-là, il sait qu’il ne trahira pas Djarin.
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Mandoad
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Commandos
Le casque partiellement détruit tomba sur le sol. Pourtant, le son lui parut plus étouffé qu’il n’aurait dû l’être. L’homme passa une main sur sa tempe et fut surpris de la sensation chaude et visqueuse sur l’extrémité de ses doigts. Le gant avait partiellement disparu. Était-ce arrivé après leur affrontement face à cette barrière de lance-flammes ou lors de l'activation de son détonateur thermique à courte distance ? Son armure l’avait protégé, mais l’explosion l’avait séparé de ses frères. Ils ne reviendraient pas, conscients de ce qui devait être fait. C’était pour cela qu’il avait ôté son casque.
Une dernière tâche.
Il sourit en activant la commande manuelle de l’engin. Dix barres rouges s’affichèrent.
— Cabuor.
Protéger. C’était son devoir. La dernière lueur écarlate s’éteignit et la vague étincelante fut suivie par l’obscurité éternelle.
(150)
Le casque partiellement détruit tomba sur le sol. Pourtant, le son lui parut plus étouffé qu’il n’aurait dû l’être. L’homme passa une main sur sa tempe et fut surpris de la sensation chaude et visqueuse sur l’extrémité de ses doigts. Le gant avait partiellement disparu. Était-ce arrivé après leur affrontement face à cette barrière de lance-flammes ou lors de l'activation de son détonateur thermique à courte distance ? Son armure l’avait protégé, mais l’explosion l’avait séparé de ses frères. Ils ne reviendraient pas, conscients de ce qui devait être fait. C’était pour cela qu’il avait ôté son casque.
Une dernière tâche.
Il sourit en activant la commande manuelle de l’engin. Dix barres rouges s’affichèrent.
— Cabuor.
Protéger. C’était son devoir. La dernière lueur écarlate s’éteignit et la vague étincelante fut suivie par l’obscurité éternelle.
(150)
Loïc Solaris
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Rohak cuyir nu draar ret'yc. Bantov…
Le commando Dernière Chance, composé des douze meilleurs guerriers de la planète, avaient échoués.
Mandalore étaient assiégée, et ils devaient assassiner le général des forces adverses pour espérer mettre fin au massacre.
Ca a été sanglant. Tous s'étaient vaillamment battus. Mais il n'en restait plus qu'un. Capturé, puis torturé pendant des heures. Aucun mot n'était sortit de sa bouche.
L'honneur avant la survie.
La douleur plutôt que la honte.
Il était très solidement attaché, sous la surveillance d'une vingtaine d'ennemis, rien que dans cette salle d'un vaisseau en orbite.
Et il ne sentait plus ses jambes ni ses bras, ne voyait que des ombres…
Aucune échappatoire possible…
Il savait qu'il rejoindrait ses camarades, très bientôt.
Les larmes plutôt que de parler.
La mort plutôt que de les satisfaire.
Il avait déjà choisi ses derniers mots.
"Oya Manda !"
(150)
Le commando Dernière Chance, composé des douze meilleurs guerriers de la planète, avaient échoués.
Mandalore étaient assiégée, et ils devaient assassiner le général des forces adverses pour espérer mettre fin au massacre.
Ca a été sanglant. Tous s'étaient vaillamment battus. Mais il n'en restait plus qu'un. Capturé, puis torturé pendant des heures. Aucun mot n'était sortit de sa bouche.
L'honneur avant la survie.
La douleur plutôt que la honte.
Il était très solidement attaché, sous la surveillance d'une vingtaine d'ennemis, rien que dans cette salle d'un vaisseau en orbite.
Et il ne sentait plus ses jambes ni ses bras, ne voyait que des ombres…
Aucune échappatoire possible…
Il savait qu'il rejoindrait ses camarades, très bientôt.
Les larmes plutôt que de parler.
La mort plutôt que de les satisfaire.
Il avait déjà choisi ses derniers mots.
"Oya Manda !"
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L2-D2
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La guerre noire avait laissé des traces partout dans la galaxie. Si les soldats de base avaient pu intégrer la Grande Armée Impériale, certains super-commandos avaient été renvoyés, jugés trop instables - en voilà un diagnostic médical fiable !
Morlitag avait depuis erré de planète en planète, jusqu’à en trouver une qui l’apaisait. Mais les autochtones n’avaient pas apprécié ses manières… et les choses avaient dégénéré. Les forces de sécurité locales le traquaient depuis sans relâche, et avaient même appelé des renforts. Mais le sang de la milice locale s’était figée lorsqu’ils avaient entendu les premières paroles de l’homme à leur tête :
- Je ne suis pas venu sauver Morlitag des forces de sécurité, je suis venu vous sauver de Morlitag.
Et lorsqu’enfin, ils se retrouvèrent face à lui, Morlitag hurla sa rage :
- C’était pas ma guerre, ner vod ! C’est eux qui m’ont créé, moi, je n’avais rien demandé !
Il avait raison, bien sûr. C’est pourquoi il allait mourir, ici et maintenant.
Instable, qu’ils disaient.
(175)
Morlitag avait depuis erré de planète en planète, jusqu’à en trouver une qui l’apaisait. Mais les autochtones n’avaient pas apprécié ses manières… et les choses avaient dégénéré. Les forces de sécurité locales le traquaient depuis sans relâche, et avaient même appelé des renforts. Mais le sang de la milice locale s’était figée lorsqu’ils avaient entendu les premières paroles de l’homme à leur tête :
- Je ne suis pas venu sauver Morlitag des forces de sécurité, je suis venu vous sauver de Morlitag.
Et lorsqu’enfin, ils se retrouvèrent face à lui, Morlitag hurla sa rage :
- C’était pas ma guerre, ner vod ! C’est eux qui m’ont créé, moi, je n’avais rien demandé !
Il avait raison, bien sûr. C’est pourquoi il allait mourir, ici et maintenant.
Instable, qu’ils disaient.
(175)
Vulctyl
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Le Jedi était assis en tailleur entre les arbres, les yeux fermés, visiblement en train de méditer. Shek’eta cessa d’avancer et retint son souffle, se demandant si le général avait pu ressentir son arrivée. Celui-ci ne broncha pas, et le commando ARC se rendit compte que son supérieur flottait à quelques centimètres du sol. Le Jedi semblait totalement déconnecté du monde, plongé dans quelque transe magique.
Cela semblait si simple. Faire taire ses pensées, tirer brusquement son blaster, et abattre sa shabla cible. C’était ainsi que Jango Fett les avait entraînés, ses frères et lui. Alors pourquoi le clone hésitait-il ?
Le blaster était toujours dans son étui. Shek’eta réalisa que sa main tremblait, et qu’il ne savait pas encore ce qu’il allait faire.
— Vous semblez troublé, capitaine, dit le Jedi sans se retourner.
Shek’eta esquissa une grimace sous son casque. Trop tard.
(151)
Cela semblait si simple. Faire taire ses pensées, tirer brusquement son blaster, et abattre sa shabla cible. C’était ainsi que Jango Fett les avait entraînés, ses frères et lui. Alors pourquoi le clone hésitait-il ?
Le blaster était toujours dans son étui. Shek’eta réalisa que sa main tremblait, et qu’il ne savait pas encore ce qu’il allait faire.
— Vous semblez troublé, capitaine, dit le Jedi sans se retourner.
Shek’eta esquissa une grimace sous son casque. Trop tard.
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mareva_mae
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— Tout va bien se passer, Kat. Une fois qu’on sera remontés à la surface, un transport nous attendra. Encore quelques mètres, et on sera de retour à la lumière du jour, on…
— Jehaat, murmura la jeune femme.
Markus adressa un regard interdit à sa collègue. Il ne l’avait jamais entendue s’exprimer dans sa langue natale. Son casque et son plastron peints de vagues à l’écume rouge étaient les seuls signes distinctifs qu’elle avait conservé de son monde d’origine.
— Un médic te prendra en charge dès qu’on sera sortis, ma belle.
— Jehaat, répéta-t-elle.
— Je sais pas ce qui t’as pris de te jeter comme ça devant moi Kat... pourquoi t’as pris cette balle à ma place hein ? s’emporta le mercenaire. On accepte des missions suicide, c’est le jeu.
— Jehaat. Menteur. Tu sais très bien pourquoi j’ai fait ça. Parce que je t’aime, abruti. Depuis que j’ai rejoint votre groupe de tarés. Les tunnels s’étendent encore pour des clics. J’ai un trou dans le bide. Laisse-moi et sauve ta peau.
(170)
— Jehaat, murmura la jeune femme.
Markus adressa un regard interdit à sa collègue. Il ne l’avait jamais entendue s’exprimer dans sa langue natale. Son casque et son plastron peints de vagues à l’écume rouge étaient les seuls signes distinctifs qu’elle avait conservé de son monde d’origine.
— Un médic te prendra en charge dès qu’on sera sortis, ma belle.
— Jehaat, répéta-t-elle.
— Je sais pas ce qui t’as pris de te jeter comme ça devant moi Kat... pourquoi t’as pris cette balle à ma place hein ? s’emporta le mercenaire. On accepte des missions suicide, c’est le jeu.
— Jehaat. Menteur. Tu sais très bien pourquoi j’ai fait ça. Parce que je t’aime, abruti. Depuis que j’ai rejoint votre groupe de tarés. Les tunnels s’étendent encore pour des clics. J’ai un trou dans le bide. Laisse-moi et sauve ta peau.
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