Il est difficile de parler d’un modèle standard pour ces vaisseaux, tant leurs caractéristiques peuvent varier d’un modèle à l’autre. Victime d’un manque de moyens flagrant, la Résistance a assemblé ses navettes à partir de pièces récupérées çà et là, pour aboutir finalement à un résultat plus ou moins satisfaisant.
Le cockpit est ainsi issu de B-Wings Mk. II, structurellement assez proches de ces transports. Situé à une extrémité du vaisseau, il est relié au module du moteur (récupéré sur des navettes de classe Montura datant de l’Ancienne République) par un espace passagers exigu. Cette configuration asymétrique ôte une grande part de son champ de vision au pilote, qui doit se fier aux instruments pour contrôler l’appareil.
L’assemblage de composants hors d’âge et de provenances différentes fait de ces appareils des nids à pannes que les techniciens de la Résistance ont bien du mal à maintenir en état. Autre problème, la faible manœuvrabilité rend presque obligatoire la présence d’une escorte capable de repousser les chasseurs, même si le transporteur comporte quelques armes pouvant effrayer même les ennemis les plus intrépides.