Gus était le surnom d’un soldat clone, membre de la
Grande Armée de la République durant la Guerre des Clones. Il fut l’un des premiers soldats clones à entrer au service actif de la République en participant à l’une des premières batailles majeures de la guerre sur
Christophsis.
Gus était affilié à l’armée menée par les généraux Jedi
Obi-Wan Kenobi et
Anakin Skywalker, sous le commandement direct du sergent clone
Slick.
Avec son escouade, Gus livra de violents combats dans l’environnement urbain de Christophsis, sauvant même à une occasion un civil menacé d’exécution par des droïdes de combat.
Peu après, il participa à une embuscade menée directement par les généraux Jedi. Les hommes de Slick, avec
Kenobi à leur tête, se positionnèrent dans une tour surplombant un grand axe de la ville alors que Skywalker, à la tête d’un autre contingent de soldats clones, était positionné dans une tour jumelle de l’autre coté du boulevard. Le but était de prendre les forces ennemies entre deux feux et Gus aida notamment dans la mise en place d’un canon blaster. Mais, alors qu’il surveillait l’avancée ennemie avec des macrojumelles, Gus et ses camarades furent attaqués dans leur dos par des droïdes qui avaient visiblement eu vent de leur opération. Malgré de lourdes pertes, Gus et ses camarades purent être évacués d’urgence vers leur base, sous un feu très nourri. Malgré cette situation très chaude, Gus eut le réflexe d’arracher la tête d’un droïde tactique pour y récupérer des informations puis il se jeta dans le transport d’évacuation.
Peu après,
Rex et
Cody menèrent une enquête pour découvrir comment les droïdes avaient pu les surprendre. Celle-ci les amena vers le baraquement des hommes de Slick d’où une transmission suspecte était partie. Comme ses camarades, Gus fut suspecté ce qui le troubla grandement. Néanmoins ayant été blessé pendant l’opération et étant en soins intensifs, il fut immédiatement disculpé. Peu après, Slick lui-même fut finalement démasqué comme étant le traître et fut capturé. Comme ses camarades, Gus eut du mal à avaler le fait qu’un de ses frères était responsable d’actes contre eux-mêmes mais il dut se faire une raison.