Série "Tales from the Mos Eisley Cantina" • Littérature • Star Wars Universe

Description

Comme pour le très bon Tales from Jabba’s Palace ou le très moyen Tales of the Bounty Hunters, Tales from the Mos Eisley Cantina vous offe en premier lieu un retour direct pour la case “trilogie”.

Comme les deux autres recueils, on a envie de se repasser le film correspondant (ici l’épisode IV) pour re(re)découvrir tous les personnages de la cantina. Alors oui, évidemment, avec autant d’auteurs et de personnages, il y a du bon, et du moins bon, mais le tout est magnifiquement orchestré par Kevin J. Anderson et Tales from the Mos Eisley Cantina est certainement le plus cohérent des trois.

Vous adorerez le tale des Sœurs Tonnika (par Tim Zahn), l’excellentissime (sans doute le meilleur) tale de Greedo (par Tom Veitch) et des trucs très rafraîchissent et sympathiques comme le tale de Muftak et Kabe (de maître Crispin, très étonnant, bien amené, des personnages hauts en couleur, assurément mon coup de cœur), le tale du Stormtrooper, le tale du Jawa, celui du Ranat également.

Évidemment, chaque histoire comporte son caméo du film. Au premier conte, vous trouvez ça marrant de revivre la scène de l’altercation Luke / Dr Evazan sous un point de vue différent. Au deuxième conte, vous vous amusez de revivre le "Han shot first" et l’échec cuisant de Greedo. Au troisième conte, revoir l’une ou l’autre de ces scènes vous fait moins kiffer. Bref, au bout du bouquin, si vous n’y prenez pas garde en adoptant une attitude de type « bon, de toutes façons, je sais qu’il y aura un passage caméo », vous en aurez ras-le-bol !

Carton rouge pour le premier conte, qui est vraiment nul. Qui en plus de ne pas être divertissant est tout juste incompréhensible. Je me suis demandé l'espace de quelques instants si c'était moi, que mon niveau d'anglais avait chuté à l'ouverture du livre. Ouf, non. Toujours est-il que je n'ai toujours pas compris !

Points positifs L'esprit tellement trilo Le recueil le plus cohérent	Points négatifs Attention à l'indigestion Deux ou trois tales vraiment pourris !
Note : (75 %)