StarWars-Universe.com utilise des cookies pour faciliter votre navigation sur le site, et à des fins de publicité, statistiques, et boutons sociaux. En poursuivant votre navigation sur SWU, vous acceptez l'utilisation des cookies ou technologies similaires. Pour plus d’informations, cliquez ici.  
L'Âge Sombre
  • Titre original The Path to Nowhere - Dark Times #1 à 5
  • Genre Comic-Book
  • Série Dark Times (Vol. 1)
  • Univers Legends
  • Année et période -19 (Emergence de l'Empire)
  • Scénariste(s) Mick Harrison
  • Dessins Doug Wheatley
  • Encrage Michael David Thomas
  • Couleurs Ronda Pattison
  • Couverture Doug Wheatley
  • Traducteur(s) Anne Capuron
  • Synopsis :

    Les jours sombres sont arrivés. Alors que les mondes de l’ancienne République sont pris dans la poigne d’acier de Palpatine, la galaxie semble être au bord d’une époque de chaos et de désespoir, sans foi ni loi. Sur Coruscant, Vador attend que son Maître révèle sa vision du futur. Mais y a-t-il un projet au-delà de la prise du pouvoir ? Sur New Plympto, le Maître Jedi Dass Jennir dirige une armée de Nosauriens dans une guerre perdue d’avance. Est-ce cela être un Jedi désormais ?

  • Note du staff SWU
     (78 % - 4 commentaires)
  • Note des internautes
     (78 % - 6 commentaires)
     (80 %)

    Scénario

    Bomo



    « The Path to Nowhere ». Tout au long de ces cinq numéros, plus on avance dans l’histoire, plus le titre prend son sens. D’un concept historique exprimé avec plein de style au début (les Jedi aux abois), la voie sans issue est devenu une réalité dramatiquement tangible dans le dernier numéro. Hartley conduit brillamment l’évolution de ces personnages et de l’intrigue. Ces derniers vont de mal en pis, non pas au sens traditionnel du terme, mais également avec une intensité dramatique qui va crescendo pour les deux héros : Bomo et le Jedi Daas Jennir. L’un voit sa famille menacée, l’autre ses convictions, et l’équilibre des deux permet à l’histoire de conserver une certaine variété dans les enjeux. Une attention toute particulière a été apportée aux lieux de déroulement de l’action et aux personnages qui accompagnent les héros. En terme de rythme, on ne s’ennuie pas. L’équilibre action/discussion fonctionne bien et on a même le droit à quelques scènes spectaculaires. Au départ, le choix du scénariste de se contenter d’un héros qu’il avait créé et qui semblait avoir moins d’envergure que d’autres disponibles pouvait sembler douteux. A la conclusion de cette histoire, Jennir s’est démarqué, a acquis une vraie personnalité, de vrais problèmes également. Il devrait séduire les lecteurs et mérite sans nul doute qu’on revienne sur son cas.

    Dessins

    Jennir



    Graphiquement, à part couvrir d’éloges Wheatley, il y a peu à dire. Le dessinateur n’a pas été retenu pour l’Episode III pour rien. Il est toujours aussi bon, voir plus soigné encore que sur l’adaptation du film. A l’aise dans toutes les situations (calmes ou agitées) et dans tous les environnements, il est difficile de le prendre en défaut. Tout au plus peut-on dire que les expressions de ses personnages sont parfois un peu crispées. La mise en couleur de Ronda Pattison est fine et enrichit les planches. Enfin, les couvertures sont bonnes, voire pour certaines carrément excellentes.

    Conclusion

    Jedi Way?



    Il existait un risque à supprimer Republic, depuis des années la série fer de lance de Dark Horse, pour se lancer dans une nouvelle « série de mini-séries ». Ce genre de méthode s’apparente souvent à des manipulations pour envoyer des signes à un nouvel électorat et l’inciter à saisir l’occasion de prendre le train en marche. Cependant, le risque est aussi bien présent de voir un lectorat fédéré par une longue série voler en éclat. Ici, la qualité du scénario tout autant que celle des dessins présente des garanties de continuité dans la qualité des productions au-delà des effets d’annonce. Bien sur, il n’est pas totalement évident que Mick Harrison, scénariste des futurs numéros, poursuive totalement sur la même lancée, par contre Wheatley planche déjà sur son prochain arc. Ceci ajouté à l’ambiance trouvée dans cet arc et aux potentialités qui reposent dans la fin de Republic devrait convaincre les lecteurs de s’impliquer dans la durée.

  • 05/01/2008
     (80 %)
    Voilà un TPB sympathique. Une histoire prenante et trés sombre avec une relation maître à élève plus complexe que prévu pour Vader. Cependant et on regrettera que le Jedi Dass Jennir ne trouve point la mort à la fin d'une telle histoire. Ce sont les jours sombres, mais dans Starwars on a vraiment trop de mal à faire mourir les Héros ce qui au bout du compte n'est pas bon pour l'image des protagonistes.
  • 13/01/2008
     (80 %)
    Un très bon bouquin sur les débuts de l'Empire qui change de tout ces comic-book se déroulant pendant la Guerre des Clones... Toutefois les évènements se déroulent un peu vite et on a tendance à se perdre un peu...Côté artistique, rien à dire, Weathley à fait du très bon boulot.

    Note : L'histoire se déroule en parallèle avec "Dark Lord" puisque le dialogue Vader/Palpatine du roman est carrement illustré dans le comic-book(passage où Palpatine en hologramme annonce à Vader que des clones ont désobéis à l'ordre 66).
  • 10/08/2016
     (70 %)  •  Langue : VO
    Une plongée sympathique dans l'Ordre 66, mais malheureusement un peu vite expédiée au profit d'une nouvelle aventure. Reste la psychologie et les doutes de Dass Jennir, mais peu exploitée, au profit de l'action. L'intrigue reste intéressante, agrémentée de bons dessins.

    De la psychologie du côté de Vador également, qui se méfie de l'Empereur, sans toutefois oser s'opposer à lui pour l'instant.