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L'Ombre des Sith
  • Titre original Shadow of the Sith
  • Genre Roman
  • Univers Officiel
  • Année et période +21 (Nouvelle République)
  • Auteur(s) Adam Christopher
  • Synopsis :

    Luke Skywalker et Lando Calrissian reviennent dans cet important roman se déroulant entre Le Retour du Jedi et Le Réveil de la Force.

    L'Empire n'est plus. Près de deux décennies après la Bataille d'Endor, les vestiges des forces de Palpatine, en lambeaux, ont fui aux extrémités de la galaxie. Mais pour les héros de la République, le danger et les pertes sont des compagnons toujours présents, même durant cette nouvelle ère de paix.

    Le Maître Jedi Luke Skywalker est hanté par des visions du côté obscur, annonçant un sinistre secret grandissant quelque part dans les profondeurs de l'espace, sur un monde mort du nom d'Exegol. La perturbation dans la Force est indéniable... et les pires craintes de Luke sont confirmées lorsque son vieil ami Lando Calrissian vient à lui avec des informations sur une nouvelle menace Sith.

    Après que sa fille lui a été volé dans ses bras, Lando a parcouru les étoiles à la recherche d'une quelconque trace de son enfant volé. Mais chaque nouvelle rumeur s'est soldée par une voie sans issue et des espoirs déchus, jusqu'à ce qu'il croise la route d'Ochi de Bestoon, un assassin Sith dont la mission était de capturer une jeune fille.

    Les véritables motivations d'Ochi restent obscures pour Luke et Lando. Car sur une lune-décharge, un mystérieux envoyé de l'Éternel Sith a légué une arme sacrée à l'assassin, lui promettant qu'elle lui donnerait des réponses aux questions qui le hantent depuis la chute de l'Empire. En échange, il doit compléter une dernière mission : retourner sur Exegol avec la clé de la renaissance glorieuse des Sith : la petite fille de Dark Sidious lui-même : Rey.

    Tandis qu'Ochi pourchasse Rey et ses parents aux frontières de la galaxie, Luke et Lando se précipitent  vers le mystère de l'ombre persistante des Sith et aident les membres d'une jeune famille à courir pour leurs vies.

  • Note du staff SWU
     (76 % - 3 commentaires)
  • Note des internautes
     (70 % - 2 commentaires)
 
     (62 %)

    Ce roman se déroulant 13 avant Le Réveil de la Force met en scène Luke Skywalker et Lando Calrissian. Ce dernier, encore en quête de sa fille disparue il y a des années, se retrouve à suivre la piste des parents de Rey et d’Exegol. Naturellement, il se tournera vers son vieil ami, le maître Jedi Luke Skywalker. Comme vous vous en doutez, c’est un roman qui a beaucoup de choses à dire, donc au final qu’en est-il ?

     

    Beaucoup à dire ? Vraiment ?

    C’est un livre qui fait rêver, surtout après un Episode IX au scénario troué. Lando, sa fille disparue, Luke, son académie, Lor San Tekka, Ben, Exegol, l'Éternel Sith, Ochi de Bestoon, les parents de Rey et même la petite Rey âgée de six ans. Autant d’éléments qu’on a toujours eu envie d’approfondir.

    Souvenez-vous dans L’Ascension de Skywalker, Rey alors à la recherche d’Exegol finit sur Pasaana et retrouve Lando qui lui dit qu’avec Luke, ils ont mené il y a longtemps une quête pour trouver aussi cette planète. Ce que l’on découvre en plus dans ce roman, c’est que cette mission avait aussi pour but de trouver et aider les parents de Rey, alors en fuite face à Ochi. Parents qui finiront par laisser Rey sur Jakku. Et Ochi, lui, finira par les tuer comme on l’a vu dans l’épisode IX.

    Voilà. Vous avez grosso modo les 200 dernières pages du livre qui sont déjà connues ou déjà vues. Par ailleurs, on sait que la quête ne sera pas couronnée de succès, sinon les films auraient été bien différents. Donc au-delà de la frustration de voir Luke chercher Exegol et Lando croiser au loin les parents de Rey ainsi que leur fille, la fin du livre devient assez difficile à lire. Non pas que ce soit mauvais, mais parce qu’on sait déjà tout ce qui arrive.

     

    Beaucoup encore à dire

    Heureusement le début est passionnant, on se retrouve plongé dans une époque méconnue de la galaxie avec des personnages qui ont beaucoup changé et d’autres qu’on voulait voir depuis longtemps. On découvrira par exemple comment Dathan (le père de Rey) a fui Exegol (techniquement vous avez déjà vu cette scène ailleurs), ou bien nous verrons Ochi chasser du Jedi pendant la Guerre des Clones.

    Malheureusement les vraies questions dont on ne connaissait pas les réponses, contrairement à cette quête et au sort des parents de Rey, restent sans réponse. Qu’en est-il de cette dague ? Comment peut-elle pointer la localisation d’un Orienteur Sith ? Depuis quand Palpatine a connaissance d’Exegol ? Quand a-t-il commencé ses expériences ? Snoke ? Bref le vrai cœur du sujet reste inexploité.

     

    Que reste-t-il ?

    Question pertinente me direz-vous. J’ai déjà mentionné la première moitié du livre qui est passionnante, en vérité tout jusqu’à ce que la quête s’enclenche vraiment. Ensuite le reste est connu.

    Enfin il fallait une raison, un motif pour détourner Luke d’Exegol et la parade est bien trouvée. Un méchant est introduit et heureusement il ne sort pas de nulle part et va même boucler une vieille intrigue qui trainait depuis la trilogie Riposte. Très bon point à ce niveau-là pour connecter les œuvres entre elles. J’ai été agréablement surpris par cette menace qui m’a passionné.

    Pour terminer, c’est une bonne chose qu’on en finisse avec ce Ochi car j’ai l’impression qu’aucun scénariste ne sait quoi en faire, il est toujours ridicule et incapable, un vrai gamin geignard alors qu’on nous l’a peint comme « un grand assassin de Jedi à la botte des Sith ».

     

    En conclusion, vous comprenez que c’est un roman nécessaire mais qui raconte uniquement des faits déjà connus, heureusement à ça se greffe une sous-intrigue avec un nouvel antagoniste pas si inconnu que ça et qui redonne un peu d’intérêt au livre.



    + Les plus

    - l’antagoniste
    - les parents de Rey ainsi que mini-Rey
    - la première moitié du livre

    - Les moins

    - rien de neuf sous le soleil
    - les vraies questions encore évitées
    - Ochi

  • 25/06/2022
     (75 %)

    Deux ans et demi après la sortie de L’Ascension de Skywalker dans les salles obscures, voici un roman qui explore l’une des (nombreuses, me tapez-pas) zones d’ombre du film, à savoir la quête menée par Luke Skywalker et Lando Calrissian lors de leur recherche d’Exegol. Alors nos questions trouvent-elles une réponse ? A-t-on affaire à un roman pertinent ?

     

    I) Un timing raté

    Commençons par ce qui fâche : si vous avez vu l’épisode IX, ce roman ne vous apprendra (malheureusement) presque rien. Simplement car la fin du roman (Rey abandonnée sur Jakku, ses parents tués par Ochi de Bestoon, ce dernier mourant sur Pasaana, Lando qui reste sur place, Luke qui ne trouve pas Exegol) est déjà connue. Alors oui, c’est raconté, seulement la plus-value est quasiment inexistante, et certains choix scénaristiques, du fait qu’il faille retomber sur nos pattes à la fin du livre, sont assez douteux.

    En fait, ce roman aurait dû paraître avant la sortie l’épisode IX, et franchement il aurait été génial de le lire à ce moment-là. Car les rebondissements sont nombreux, l’incertitude aurait régné concernant la famille de Rey, la quête de Luke aurait eu un tout autre sens. Là ça fait pschiit, car passés les 2/3 du roman, on tourne les pages en lisant à moitié car on sait comment ça va finir. Heureusement que le style de l’auteur reste agréable et sans difficulté particulière.

     

    II) La famille de Rey approfondie

    L’un des points forts du roman est le développement de Rey et de ses parents. C’est la première œuvre, depuis 2015, qui nous délivre un vrai background à la jeune femme que l’on a découvert avec l’épisode VII. Alors étant donné qu’elle est âgée de 6 ans au moment de ce roman, ce n’est pas elle qui va être au centre de l’attention, mais bien ses parents. À ce titre, on appréciera le développement particulier de son père Dathan et de sa filiation avec Palpatine, et le fait qu’il se pose énormément de questions sur les événements qui arrivent à lui, sa femme et leur fille.

    Cependant, on est obligés de constater que la décision de laisser Rey à Unkar Plutt tombe comme un cheveu sur la soupe. En deux chapitres et une journée in-universe, c’est plié. Non, désolé, ça ne se passe jamais comme ça en réalité. T’abandonnes pas ta fille de 6 ans à un vaurien sur un coup de tête. Ça ne tient pas. Mais bon, « faut retomber sur nos pattes ».

     

    III) L’alchimie Luke-Lando

    Pour une fois en post-épisode VI, pas de Big 3 (ou Big 4), Han et Leia sont occupés ailleurs, donc on ne se retrouve qu’avec Luke et Lando. Entre Luke qui est hanté par des visions Sith, et Lando qui pleure encore la disparition de sa fille, kidnappée quelques années plus tôt, ça ne donne pas un duo super joyeux. Le duo fonctionne cependant plutôt bien, donnant à Lando une importance qu’il n’a que trop rarement eu par le passé. Les deux personnages se comprennent, même s’ils ne se sont pas vus depuis longtemps et comprennent les problèmes de l’autre.

    On aurait aimé en savoir davantage sur la fille de Lando, et en avoir un peu plus qu’un simple souvenir. Une référence au film Solo est également assez drôle.

     

    IV) Encore des soucis

    Je ne peux pas, dans cette critique, ne pas parler de deux problèmes majeurs qui se posent, toujours dans la catégorie « retomber sur nos pattes ».

    - la quête des deux héros les amène à poursuivre Rey et ses parents afin de les sauver de la menace qui les poursuit. Sauf que, vous vous doutez bien qu’il ne faut jamais que Luke ou Lando interagissent avec eux (ou alors de façon très détournée). Cela donne donc lieu à quelques scènes plutôt ridicules, il faut bien le reconnaître, pour éviter ces rencontres ;

    - Luke est à côté de ses pompes. Je m’explique : le gars, il est hanté par les visions Sith. Il apprend qu’il voit Exegol dans celles-ci, commence donc à la chercher (jusque-là, ok). Son enquête va les mener, Lando et lui, sur une autre planète puis vers un autre adversaire (au passage, tout ça c’est vraiment bien, y’a plein de liens avec la trilogie Riposte), et arrivé à la moitié du roman, on oublie Exegol et l’orienteur Sith. Luke n’y pense tout simplement plus… L’auteur attend simplement le tout dernier chapitre pour mentionner de nouveau la planète, car ne pas le faire aurait été trop gros, mais la crédibilité de Luke en prend un sacré coup.

    Alors oui vous allez me dire : « l’auteur était obligé ». Oui certes. Et le principal coupable de ces défauts reste Lucasfilm, qui a (au choix) :
    - donné des consignes bien trop précises à Adam Christopher ;
    - préféré sortir ce roman après l’épisode IX alors qu’il aurait fallu le sortir avant.

     

    Conclusion :

    Shadow of the Sith est un roman qui comble certes un des nombreux pans manquants de l’épisode IX, mais qui paraît beaucoup trop tard. Le développement de la famille de Rey ainsi que la relation entre Luke et Lando sont deux indéniables points forts, mais l’histoire sans surprise, et quasiment entièrement connue de ceux qui ont vu le film, fait qu’on ne peut que s’interroger sur sa pertinence.

    Au final, il m’est difficile de mettre une note. Vous m’auriez fait lire ce roman sans que je connaisse l’épisode IX, la note aurait été proche des 90%.
    Aujourd’hui, elle est plus proche de 60%, pour toutes les raisons évoquées au-dessus.

    On va donc mettre un nombre entre les deux, au hasard 75%.

  • 02/12/2023
     (90 %)  •  Langue : VF

    « Le service après-vente de l’Episode IX ? »

    C’est effectivement un commentaire qui est souvent ressorti sur SWU depuis que le roman est sorti, plus d’un an et demi après la sortie du film qu’il se charge d’introduire. Et le corollaire de ce commentaire était souvent que la fin du roman était plus ou moins inutile étant donné qu’on sait déjà comment cela va finir, une remarque pour le coup assez étonnante car cela donne l’impression qu’en gros, il est inutile de revoir un film, une série, une musique qui vous a marqué vu que vous connaissez déjà la fin !

    Là où le roman fait fort, pour moi, c’est qu’effectivement il introduit de fort belle manière non pas l’Episode IX, mais bien la postlogie entière. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il est indispensable, car globalement pour moi la postlogie fonctionne malgré les scénaristes différents et le passage de relais, mais il est à des années-lumières au-dessus de Liens du Sang, le roman centré sur Leia et narrant les origines du Premier Ordre (en fait, non). Oui, carrément. Il faut dire que ce dernier roman ne m’avait guère convaincu à l’époque, et encore moins avec le recul. Là, on a un roman passionnant et auto-suffisant qui appelle cependant inévitablement la suite que l’on connaît.

     

    L’intrigue du roman

    Parce qu’il faut en parler, tout de même : la base du roman, c’est que Luke est hanté par des visions d’Exegol, sur le fait que le Côté Obscur regagne en Force, pendant que les parents de Rey tentent le tout pour le tout pour fuir et protéger leur petite fille. Lando Calrissian, lui, ayant eu vent que des Sith veulent kidnapper une enfant, fait le lien avec sa propre fille disparue… Toutes ces intrigues vont évidemment se croiser, dans un contexte qui va se faire un plaisir de convoquer les figures de l’Episode IX (Ochi de Bestoon, Beaumont Kin, Enric Pryde, les flash-backs sur les parents de Rey, Exegol, etc).

    Et c’est une réussite totale.

    Non, mais vraiment en fait : à aucun moment je n’ai senti de longueur. Les 672 pages se lisent sans problèmes, avec des intrigues qui prennent aux tripes et la folle envie que les héros finissent par réussir à sauver Rey et ses parents. On sait que non, que c’est impossible, et pourtant c’est là le talent de l’auteur Adam Christopher : jusqu’au bout, il nous fera douter, nous laissant imaginer que, peut-être, un miracle est possible.

     

    L’Ombre des Sith

    Des Sith, au pluriel. Oui, oui, vous avez bien lu.

    Alors évidemment, lorsque le roman débute avec une intrigue qui tourne autour d’Exegol et là, bien sûr, le lecteur se dira avec une excitation à peine continue que le Sith du titre, c’est Palpatine, c’est Dark Sidious revenu d’entre les morts, qui commence à étendre son ombre sur la galaxie. Et pendant très longtemps, le doute va subsister, lorsqu’un obscur troisième rôle de la trilogie Riposte de Chuck Wendig se met à apparaître, dotée d’un masque Sith qui l’influence et prend de plus en plus le contrôle de son âme. S’agit-il de Sidious, oui ou non ? Il faudra lire pour le savoir mais une chose est sure, cette intrigue est véritablement passionnante, tragique même notamment lorsque des flash-backs s’en mêle et nous révèle la création du-dit masque.

    Et puis bon, il y a la doublette constituée des Chapitres 12 et 13, sans doute l’une des meilleures scènes jamais écrites dans un roman Star Wars et qui me fait dire que des scènes comme ça, j’en prendrais volontiers en film !

     

    De la référence, en veux-tu, en voilà !

    Le roman en est rempli, au point de faire, par moments, penser à ce que pouvait faire James Luceno dans ses propres œuvres. Rogue One, Solo, la série The Mandalorian, les comics Dark Vador de Greg Pak – ces derniers sont le véritable moteur des actions d’Ochi de Bestoon, hanté dans ses vieux jours à l’idée de retrouver Exegol après l’unique visite qu’il y a faite avec Dark Vador à l’époque, là où il a perdu la vue. Bon, à ce sujet, il est cependant dommage de nous expliquer que Dathan, le père de Rey, a pu fuir Exegol caché dans le vaisseau de Vador et Ochi… alors même que le comics nous montre les personnages y arriver à bord d’un vieux chasseur Jedi. Mais ce n’est là qu’un détail.

     

    Et Ochi de Bestoon, dans tout ça ?

    Justement, Ochi de Bestoon est omniprésent dans le roman, et il est traité de façon plus sérieuse mais guère plus convaincante que Greg Pak ne le fait dans sa propre série. Comprenez par là qu’Ochi est, en gros, un vieil alcoolique, convaincu de sa vieille gloire, avide de retrouver son rôle, un but, une motivation, en l’occurrence Exegol. Ochi est convaincu qu’il est un bon, un vrai… mais le roman nous montre bien que ce n’est pas le cas, de plus en plus sous le contrôle de la dague Sith qu’il possède. Mais c’est tellement ancré, tellement cohérent entre ce que Pak fait et Adam Christopher qu’on en vient à se dire que c’est un choix de Lucasfilm de nous montrer Ochi à la limite du tocard incompétent.

    Et c’est un choix curieux. D’autant plus qu’un flash-back à l’époque de la Guerre des Clones était l’occasion parfaite de nous le montrer en tant que tueur de Jedi, comment il s’est forgé sa réputation, et ce flash-back se solde, manifestement, par un échec. C’en est d’autant plus étonnant. A se demander comment Ochi a pu survivre aussi longtemps, alors qu’il passe son temps à claironner qu’il est le meilleur. C’est curieux…

     

    Les raccords avec la postlogie

    Il faut bien qu’ils se fassent et… ce n’est peut-être pas laborieux, non, mais un peu rapide tout de même. Dans les toutes dernières pages, il faut bien qu’Adam Christopher nous place les personnages dans des situations cohérentes avec ce que la postlogie va nous présenter. Il faut ainsi nous montrer le sort des parents de Rey, très vite, sans s’appesantir dessus, ainsi que le sort d’Ochi, à quelques pages plus tard. La décision finale de Lando est également un peu rapide. Et le roman élude (j’ai envie de dire « évidemment » en soupirant) ce que Luke a pu faire après. A-t-il eu encore des visions d’Exegol ? Si oui, pourquoi n’a-t-il pas poursuivi sa quête pour localiser la planète ? Si non, doit-on comprendre que l’antagoniste du roman était plus nocif que Sidious lui-même ?

    Le roman prend également le plus grand soin de ne SURTOUT PAS nous révéler qui est la mère de Kadara Calrissian. C’est un peu étonnant, alors même que Kadara est omniprésente dans l’esprit de son père...

     

    Bilan

    Quelques petits défauts dans le roman, certes, mais rien qui ne vienne ternir l’image générale qui ressort de la lecture de ces presques 700 pages. La relation entre Luke et Lando est superbe, certains passages sont parmi ce qui s’est fait de mieux dans tous les univers Star Wars, et le roman réussit à faire oublier les nombreuses facilités scénaristiques du film qu’il se charge d’introduire. Des romans de cette qualité à cette époque, j’en reprends quand vous voulez !

     

    NOTE : 90 %