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1. Généralités
 
A toutes époques, les Jedi surent que le sabre-laser n'était pas qu'une arme, mais aussi l'incarnation d'une véritable discipline, discipline qui ne s'acquérait qu'au bout de longues années d'entraînement. D'ailleur on parle des Arts Jedi quand on veux parler des technique de combats aux sabres lasers. L'utilisation des cet Art par Dark Maul permit nottement a Qui-Gon Jinn de n'avoir aucun doute sur les origine du Sith. Ainsi, lors de leur formation initiale, les jeunes Elèves de l'Ordre apprenaient les mouvements de base du combat au sabre-laser sous la tutelle d'un Maître comme Yoda ou Depa Billaba avec le Clan de l'ours, pour, au fil du temps, approfondir leur apprentissage de cet art subtil qui passait officiellement par sept formes de combat. Dans ces paragraphes vous aborderez les diverses techniques de combats permettant par exemple de contrer des tirs de blaster ou de se battre en duel.
2. Forme I: Le Shii-Cho
 
Description
Des milliers d'années avant la Guerre des Clones, lorsque les épées métalliques furent remplacées par des sabres-lasers, la Forme I fut créée par les Maîtres Jedi à partir des anciennes traditions d'affrontement à l'arme blanche, en conservant en partie les fondements de l'attaque, de la parade et du ciblage de zones précises du corps, tout comme les estocades. Cependant, cette forme également appelée la forme idéale était évidemment un dérivé des arts anciens, puisque les épées ne se maniaient pas avec autant d’aisance que les sabres lasers plus modernes. Cette forme ne fut plus guère utilisée par les chevaliers Jedi durant la période « émergence de l’Empire » mais resta néanmoins enseigné aux novices et apprentis à leur plus jeune âge comme « le fondement de l’art Jedi » débouchant sur l’apprentissage des 6 autres formes.

Les praticiens
D’une manière générale, tous les Jedi ont au moins pratiqué une fois dans leur vie le Shii-Cho, ne serait-ce que quand ils étaient novices pour leur base d’enseignement. Du coup, tous les maîtres participant à la formation des novices connaissaient le Shii-Cho à l’instar de Yoda, Depa Billaba ou encore Cin Drallig. Bien que cette forme ne soit plus guère utilisée, elle était pratiquée par tous les membres dès son apparition. Lors de l’époque de l’Ancienne République, on notera que le Jedi Exilé et que le Covenant Lucien Dray utilisaient ce style. Dooku en fit la base de son apprentissage pour le général Grievous et ses Droïdes Magna gardes IG 100. On retiendra également quelques utilisations ponctuelles d’Obi-Wan Kenobi surtout durant son duel avec Dooku sur la Main Invisible. Kit Fisto quant à lui était l’un des plus grands utilisateurs de ce style, ce qui n’empêcha pas sa mort de la main de Dark Sidious. Pour finir, Luke Skywalker reçu cette méthode de combat au tout début de sa formation par Obi-Wan Kenobi. C’est dans le Faucon Millenium qu’il s’entraina en présence du vénérable Maître Jedi. On suppose par la suite qu’avec l’avènement du Nouvel Ordre Jedi, le Shii-Cho revint sur le devant de la scène comme base d’enseignement et fut notamment pratiqué par Kyle Katarn.

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3. Forme II: le Makashi
 
Description
Discipline de prédilection des plus grands duellistes de la Galaxie comme le comte Dooku, la Forme II était la plus raffinée des sept, portant la maîtrise de la lame à son plus haut niveau, elle était considérée comme le raffinement ultime des combats entre sabre laser. Le principe consistait à porter des attaques puissantes et à se défendre en un minimum d’efforts. En pratiquant ce style, l’individu développait donc un sens inégalé dans l’attaque et la défense. Les mouvements devaient être fluides de façon à anticiper tout revers de l’adversaire. Malgré son efficacité technique, ce style fut pourtant délaissé par les Jedi de l'ancien Ordre, car peu adéquate pour venir à bout des dangers modernes depuis qu'ils croyaient les Sith éteints. En effet, durant les temps anciens, les Jedi se battirent de façon récurrente contre les Sith et les Jedi Noirs, ce qui leur valu de développer cette technique afin de survivre face au côté obscur. Cependant, à la fin des nouvelles guerres des Sith, ces derniers furent défaits et la forme II devint de moins en moins pratiquée, la menace n’étant plus réelle. Elle laissa donc place peu à peu à la forme III, plus adaptée à leurs missions de gardien de la paix et de la justice. En revanche, les Seigneurs Noirs, qui eux s'attendaient à affronter des Jedi, n'hésitaient pas à l'étudier pour augmenter leur puissance technique. Ainsi, même sous la règle des deux, les Sith continuèrent à la pratiquer en secret en attendant le jour de leur revanche.

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Le salut Makashi
Ce salut entamait la phase de duel. Les deux partis adverses portaient alors leurs sabres laser à la verticale juste en face d’eux avant de décrire un X dans les airs. C’est notamment le salut que fit le comte Dooku à Yoda sur Geonosis en –22 juste avant leur affrontement.

Les praticiens célèbres
Cette forme trouve son plus grand maître avec le comte Dooku. Dooku connu pour son traditionalisme et sa noblesse respectait peu la forme III et trouvait la II comme la seule et unique mettant en avance toute la noblesse de Jedi. Comme pour la forme I, il instruisit le général Grievous ainsi que son apprentie Asajj Ventress. Cette dernière manipula ce style et l’adaptant à ses besoins puisqu’elle combattait avec deux sabres lasers. Le deuxième grand maître de ce style est le célèbre instructeur Cin Drallig. Pour finir, voici d’autres utilisateurs célèbres : Shaak Ti, Kento Marek ou encore Dark Vador, bien que ce dernier en tant qu’Anakin Skywalker pratiquait la forme V : le Djem So.

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4. Forme III: le Soresu
 
Description
Développée suite à l'expansion massive des blasters dans la Galaxie, la Forme III fut adoptée par la majorité des Jedi dans les dernières décennies de la République, car permettant une protection maximum face aux tirs énergétiques grâce à son style composé de mouvements brefs et efficaces. Au fil des siècles, la Forme III fut considérée comme une expression de la philosophie de défense et de non-agression des membres de l'Ordre Jedi, comme le comprit Obi-Wan Kenobi, qui en devint un formidable pratiquant après la mort de son maître, Qui-Gon Jinn. Considéré comme une forme passive, le Soresu permettait donc par des mouvements rapides et précis de neutraliser, tuer ou intimider son adversaire. Le praticien utilise donc des attaques et des parades ultra rapides en réponse au blaster, et d’ailleurs cette forme de combat demande une concentration extrême ainsi qu’une bonne affinité avec la force. Pour exemple, Obi-Wan Kenobi était tellement à l’aise dans ce style qu’on le vit dévier des tirs de blaster lui arrivant dans le dos et ce, sans même se retourner. Bien que le Soresu soit une forme passive utilisée contre les blasters, il n’en demeure pas moins que les combats aux sabres restent inévitables, mais comme le fit Kenobi, les Jedi respectaient la forme et essayant de désarmer leurs adversaires. Ce fut évidemment le cas lors de son duel contre le général Grievous sur Utapau. Mais comme toujours, même en duel, le Soresu restait une forme défensive tenant plus de la survie que de la victoire, ce qui collait encore bien avec la philosophie Jedi quand il s’agissait d’épargner des vies.

Les praticiens célèbres
On ne compte pas que des Jedi dans les praticiens de cet art. Il y eut également des Sith dont le plus célèbre d’entre eux fut Dark Bane. Il reçu son enseignement du Sith Kas’im, expert en art martial. Bane apprit donc à son tour cette forme de combat à son unique apprenti de l’Ordre Sith réformé : Dark Zannah.
La pratique de cet art atteint son apogée durant la Guerre des Clones ce qui permis à de nombreux Jedi de survivre. C’est notamment vrai durant la bataille de Géonosis dans la grande arène d’exécution où les Jedi durent repousser d’innombrables tirs de blasters. Cette forme permit également à quelques Jedi de survivre lorsque l’Ordre 66 fut donné et que les clones se retournèrent contre eux. Le grand formateur Cin Drallig était évidemment un fin praticien comme pour toutes les autres formes. Le meilleur praticien restera à jamais Obi-Wan Kenobi qui mis à bas Grievous grâce au Soresu. Luminara Unduli et Barris Offe étaient également de bonnes adeptes.

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5. Forme IV: l’Ataru
 
Description
Certainement la plus acrobatique et exigeante physiquement, la Forme IV nécessitait pour son utilisateur une très grande connaissance de la Force et des ressources qu'elle offrait. Aussi connu sous le nom d'Ataru, ce style entraînait d'époustouflants combats qui donnaient la part belle aux mouvements extrêmement rapides et élaborés, au sein desquels pouvaient être distingués les tournoiements "jung su ma", les sauts périlleux "ton su ma" et les roues "en su ma". Bien qu’esthétique, l’Ataru demandait de grands mouvements et donc un grand espace. Cela cumulé à la fatigue engendrée par cet art permit à Dark Maul de tuer Qui-Gon Jinn, mettant donc en évidence les faiblesses de cette forme de combat.

Les praticiens célèbres
A travers l'Histoire, la Forme IV compta parmi ses adeptes les Jedi Yoda et Qui-Gon Jinn, ainsi qu'Obi-Wan Kenobi avant qu'il ne soit nommé Chevalier. Si la mort de Qui-Gon montra les faiblesse de l’Ataru, la pratique faite par Yoda n’en laissa que les bon côtés, et c’est d’ailleurs avec une vitesse hallucinante que le Jedi combattit le comte Dooku sur Geonosis a coup de tournoiement et de multiple sauts. Cin Drallig reste un maître comme pour toutes les autres formes. Quinlan Vos, Aayla Secura ainsi que Shaak Ti étaient également de fins praticiens de l’Ataru. Sur Geonosis, Anakin Skywalker s’essaya également à cette pratique en manipulant deux sabres laser dans son duel avec le comte Dooku. Les enregistrements de Cin Drallig dans le Grand Holocron permit à quelques Jedi du Nouvel Ordre Jedi de Luke Skywalker d’apprendre cette forme. Ce fut le cas pour Kyle Katarn et Alema Rar.

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6. Forme V: Le Shien et le Djem So
 
Description
Pour satisfaire le besoin de puissance de certains Jedi, comme Anakin Skywalker, la Forme V fut créée en même temps que la précédente. Il existait deux variantes de cette forme, le Shien et le Djem So, que l’on pouvait utiliser de façon alternative selon les situations. La forme V exploitait au maximum les mouvements d'attaque au sabre-laser, notamment pour passer du blocage d'un tir de blaster à son renvoi délibéré vers l'ennemi (Variation Shien). La variation Djem So fut développée par des Jedi qui trouvaient la forme IV trop passive. Le Djem So est spécifique au duel, elle est plus agressive et a la particularité que les praticiens tenaient toujours leurs sabres à deux mains. Pour certains Jedi, cette forme représentait une philosophie digne de répondre à toutes menaces; pour d'autres, le sentiment de domination qu'elle entraînait, cette quête inéluctable de puissance et de pouvoir, lui conférait un aspect dangereux.

Les praticiens célèbres
Comme d’habitude, Cin Drallig était l’un des maîtres de cet art. Mais remontons les temps anciens et de là nous pourrons apprécier l’utilisation de cette forme par quelques célèbre Sith comme Ulic Qel Droma, Dark Bane ainsi que son formateur Kas’im. Il est de notoriété publique que le plus fin praticien restera toujours Anakin Skywalker qui modifia même de temps à autres quelques aspects afin de se créer un style bien à lui et surtout d’une efficacité redoutable. Suite à sa transformation en Dark Vador, Skywalker continuera d’utiliser cet art et l’enseignera même à son apprenti Starkiller ou Gallen Marek.

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7. Forme VI: Le Niman
 
Description
Appelée Niman ou encore "Forme des diplomates", la Forme VI correspondait à une des formes généralement étudiées par les Jedi, car exigeant moins d'endurance physique que les autres, et ce même si elle nécessitait en moyenne dix années d'entraînement pour en obtenir une parfaite maîtrise. En pratique, la Forme VI était une combinaison des Formes I, III, IV et V, et représentait pour beaucoup la quintessence de la technique de combat au sabre-laser, car s'accordant parfaitement à la recherche de l'harmonie et de la justice. A ce titre pour l’étudier, Cin Drallig préconisait une longue pratique préalable des autres formes pouvant s’échelonner jusqu'à 10 années. On parle de forme des diplomates puisque les Jedi cherchait toujours une issue pacifique dans le but de verser le moins de sang possible.

Les praticiens célèbres
Déjà dans l’ancien temps de grand Jedi utilisèrent le Niman à l’image de Maître Vrook Lamar ou encore du tristement célèbre Exar Kun. Un autre grand Sith fut un fin praticien, il s’agit de Dark Maul, l’apprentie de Dark Sidious qui subit un entraînement intensif tout le long de son existence avant d’être mis à bas par Obi-Wan Kenobi. Notons également que quelques Jedi utilisèrent cette forme dans l’arène de Géonosis comme Sarrissa Jeng, Sar Labooda et Joclad Danva. Comme pour les autres formes Cin Drallig était un maître et Dooku enseigna les rudiments au général Grievous.

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8. Forme VII: Le Juyo
 
Description
Le Juyo était le nom que l'on conférait au plus récent des styles de combat au sabre-laser, la Forme VII. Difficile à maîtriser et très exigeante, cette forme était dangereuse aussi bien pour l'adversaire que pour son pratiquant, ce qui en faisait généralement une discipline réservée aux Maîtres les plus expérimentés, tel Mace Windu. Comparable dans une certaine mesure à la Forme V en terme de puissance, ce style demandait en effet de son adepte un recours à des émotions très fortes qui, mal canalisées, pouvaient évidemment le conduire sur le chemin du Coté Obscur. Cette familiarité avec l'utilisation pervertie de la Force était d'autant plus évidente quand on sait que le septième style était généralement préconisé par les Seigneurs Sith. En revanche, lorsqu'elle était parfaitement utilisée en combat, la Forme VII consistait en une série de mouvements directs et saccadés qui plongeaient l'adversaire sous une pluie de coups, rendant ainsi imprévisible son pratiquant.

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Le Vaapad
Au sein du Juyo, pouvait aussi se distinguer un ensemble de mouvements développé par Mace Windu, le Vaapad. Même si elle affinait les capacités de la Forme VII, cette technique était pourtant encore plus risquée, car susceptible de faire davantage tomber son adepte dans les ténèbres. Windu s’inspira du nom d’une créature originaire de Sarapin pour ce nouveau style. Cela consistait en une série d’attaque très rapide et mortelle.
Après sa création, seuls trois Jedi surent utiliser en totalité le Vaapad, Mace lui-même, son ancienne apprentie Depa Billaba, et Sora Bulq, qui céda d'ailleurs à l'appel du Coté Obscur en s'investissant plus qu'il ne fallait dans la compréhension de cette discipline.

Les praticiens célèbres
Comme d’habitude, le maître Cin Drallig était un expert de cette forme. Dans l’ancien temps on compte encore le fameux Dark Bane ainsi que son maître d’armes Kas’im. Dark Maul utilisa également une variante du Juyo lors de son combat contre Qui-Gon Jinn et Obi-Wan Kenobi sur Naboo. Concernant la variante du Vapaad, Mace Windu la mise au point à l’aide du Jedi Sora Bulq. Windu enseigna cette pratique à sa padawan Depa Billaba qui finit par sombrer du côté Obscur pendant la crise d’Haruun Kal durant la Guerre des Clones. Selon le comte Dooku, le Vaapad n’était pas parfait dans les mains d’un Jedi et il fallait embrasser le côté obscur afin d’en maîtriser toutes les subtilités. Sora Bulq se rallia à la cause du comte et continua de manier le Vaapad. Avant sa défection, il ré-entraîna le Jedi Quinlan Vos suite à sa perte de mémoire en lui incluant quelques mouvements de Vaapad que Windu eut tôt fait de remarquer vu le risques que prenait Vos à utiliser la forme VII.

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9. Les différentes bottes
 
En plus de ces sept formes officielles, au fil du temps, se sont ajoutées quelques variantes, comme un style de combat à deux sabres-lasers s'apparentant au Jar'Kai et adopté par Joclad Danva. Toutefois, lorsque l'ancien Ordre Jedi fut exterminé par les forces de l'empereur Palpatine, les études sur toutes ces techniques furent perdues pour toujours.

Cho Maï: Preuve de la supériorité du sabre-laser sur toute autre arme, le cho maï était l'un des mouvements les plus utilisés par les Jedi, car ne consistant à trancher que la main de l'ennemi pour le désarmer, et cela pour ne pas le tuer inutilement. Cette botte était donc l’une des plus utilisée. Obi-Wan Kenobi la pratiquait régulièrement comme pour désarmer Zam Wesell sur Coruscant ou pour protéger Luke à la cantina de Mos Eisley.

Cho Mok: La botte appelée cho mok consistait à couper la jambe d'un adversaire, ou tout autre membre pour un non-humain.

Cho Sun: Le cho sun, ou démembrement, désignait le fait de trancher le bras armé d'un adversaire, une technique surtout utilisée en cas d'attaque surprise, de par son manque de précision. Dooku utilisa cette botte sur Geonosis pour se débarrasser d’Anakin Skywalker.

Saï Cha: Le saï cha traduisait la capacité qu'avait un Jedi de décapiter son adversaire d'un simple coup de sabre-laser, même s'il ne l'utilisait que lorsque le combat était particulièrement meurtrier ou lorsqu’il se retrouvait face à un adversaire véritablement redoutable. Mace Windu utilisa cette botte pour éliminer Jango Fett dans l’arène de Géonosis.

Saï Tok: Botte apparantée par les Jedi à une forme de massacre, le saï tok consistait en la bissection du corps d'un être vivant, ce qui en laissait donc toute utilisation interdite, sauf contre les droïdes de combat ou en dernier recours contre tout autre ennemi. Le saï tok était assimilé aux Sith par les Jedi, en raison de leurs désirs d'anéantir leurs adversaires. Cependant, Obi-Wan Kenobi l’utilisa en dernier recours pour tuer Dark Maul.

Shiak: Visant à frapper avec la pointe de son sabre-laser, le shiak était un mouvement honorable selon les traditions Jedi, car infligeant à l'adversaire une blessure profonde sans causer de dégâts visibles sur son corps. Cette technique était ainsi signe de la vivacité de la Force et du respect que le Jedi avait pour son ennemi, même s'il devait le neutraliser.

Shiim: Le shiim désignait tout type de blessures infligées par un sabre-laser, même si en combat cette technique était peu convaincante en comparaison à d'autres bottes.

Sun Djem: Le sun djem, ou désarmement, était le principal objectif des adeptes de la Forme I puisqu’une fois l'arme de l'adversaire détruite, le Jedi s'octroyait une victoire sans blessures. Toutefois, la pratique de la Forme II rendait pratiquement impossible le sun djem, les combattants étant entraînés à ne pas se laisser désarmer.

Même si en combat réel, il n'était pas rare que deux ennemis mutuels utilisent les bottes suscitées, les combats d'entraînement pratiqués au Temple Jedi avant l'avènement de l'Empire n'étaient pas dangereux, chaque combattant vaincu étant censé déclarer forfait en utilisant l'expression "Solah" pour ne pas se faire blesser.

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