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Legacy, au cœur de l’actualité ?
 
Voyons ce qu’en pense notre cher Aaron ...
05/06/2006

Il y a quelques jours, le site officiel nous à fait le plaisir de mettre en ligne une interview de Aaron Allston, auteur incontournable de l’univers de Starwars et plus particulièrement, auteur du récent Legacy of the Force, #1: Betrayal.

Pour les anglophobes affirmés, le Jedi SWU Harrar nous à fait le plaisir d’en faire la traduction. Merci à lui.


Question : Quand se situe votre nouveau roman, Betrayal, dans la chronologie Star Wars ?

Aaron Allston : Il se déroule plusieurs années après la fin de la série le Nouvel Ordre Jedi. Ben Skywalker, né pendant les évènements du NOJ, a 13 ans au début de la série Legacy of the Force. Chronologiquement, le dernier roman avant Legacy of the Force est la trilogie le Nid Sombre, de Troy Denning, et où il a préparé des évènements de Legacy of the Force dans ses livres.

Q : Pouvez-vous nous présenter un petit peu la situation ?

AA : Bien sûr. Des années après la défaite des Yuuzhan Vong, la galaxie est toujours en train de récupérer des batailles qui ont eu lieu en ces temps sombres. Maintenant, la guerre pourrait de nouveau éclater, cette fois-ci entre des planètes autre fois alliées, puisque Corellia défie l'Alliance Galactique.

Les plus grands héros de la galaxie – Luke, Leia, Han, Jaina, Jacen, et bien d'autres – vont se retrouver dans des camps opposés durant le conflit ... et un danger du passé de Luke va forcer Jacen a faire un choix difficile s'il veut sauver les vies de ceux qu'il aime.

Q : S'agit-il du début d'une grande série, quelque chose comme le Nouvel Ordre Jedi, à laquelle de nombreux auteurs contribuent, ou est-ce plutôt une petite série entièrement écrite par vos soins ?

AA : C'est à peu près au milieu de ces deux extrêmes. Il s'agit d'une grande série, aussi conséquente dans l'univers Star Wars que l'était le Nouvel Ordre Jedi, mais il n'y a que neuf livres, et écrits par seulement trois auteurs : moi-même, Karen Traviss et Troy Denning. Nous effectuons des rotations, ce qui signifie que j'écris le premier, Karen le deuxième, Troy le troisième, de nouveau moi pour le quatrième, et ainsi de suite.

L'une des raisons pour laquelle la série Legacy of the Force est intéressante est que nous avons beaucoup appris pendant le Nouvel Ordre Jedi : à propos de la coordination entre auteurs, comment mener les personnages et les intrigues secondaires, ce genre de choses. Il est amusant de pouvoir mettre en pratique ce que nous avons appris.

Q : Jacen Solo semble être au cœur de ce roman. Sans donner de spoilers, pouvez-vous nous dire comment vous voyez ce personnage, comment il a été transformé, en tant qu'humain et que Jedi, par les évènements de son passé ?

AA : Il va être difficile de répondre à cette question “sans donner de spoilers”. Dans sa manière de devenir un Jedi, Jacen a suivi un chemin comme aucun autre. Il a été exposé à plus de philosophies de la Force qu'aucun autre. Il s'agit de sa plus grande force, mais aussi de sa plus grande faiblesse. Il peut faire des choses qu'aucun autre ne peut faire, mais il a tant été habitué à penser d'abord par lui-même qu'il est très, très rapide à laisser tomber les traditions. C'est comme s'il avait eu tant de prédécesseurs qu'il est prompt à ignorer les leçons de la plupart d'entre eux. Cette combinaisons de vertus et de défauts fait de lui quelqu'un de très intéressant à écrire.

Q : Comment voyez-vous la relation entre Jacen et Luke ? Il semble y avoir de la rivalité et du ressentiment, au moins de la part de Jacen.

AA : Jacen aime profondément son oncle. Mais à un tel point que je pense qu'il l'aime plus qu'il ne le respecte. Oui, il y a quelque ressentiment. Mais pas de rivalité : Jacen ne veut pas du travail de Luke, ni de son rôle spécifique dans l'histoire. Il souhaite simplement que Luke voie et comprenne ce que fait Jacen et prenne ses décisions avec une meilleure appréciation du point de vue de Jacen.

Q : Ben Skywalker joue aussi un rôle important dans le livre, et je suppose qu'au fur et à mesure de la série, cela va continuer dans ce sens.

AA : Bien sûr. Ben est un adolescent, avec sa curiosité typique, son désir de se frayer un chemin dans le monde, ses poussées hormonales, ses ressentiments, sa paranoïa, son potentiel extraordinaire, ses angoisses et ses drames… et il possède un héritage des plus forts dans cette galaxie lointaine, très lointaine. C'est un peut comme si on donnait à un adolescent de la dynamite. Saura-t-il l'utiliser de manière responsable ?

Q : Une partie importante de l'intrigue du roman tourne autour de la capacité des Jedi à utiliser la Force pour entre voir des avenirs possibles. Quelles en sont les limites ? Il semble étrange pour des Jedi, qui sont entraînés à se concentrer sur l'instant présent, chercher à découvrir les éléments d'un futur plus ou moins prédéterminé.

AA : Il y a des limites, ne serait-ce que parce que le futur n'est pas encore fixé tant qu'il n'est pas encore devenu le présent. En supposant que l'on peut voir “le futur” de manière fiable et aussi clair que du cristal – et personne dans l'univers Star Wars n'est bon à ce point, tant que je je sache – il reste toujours le fait que toujours en mouvement est l'avenir. Chaque action peut le modifier. Scruter l'avenir sous toutes ces formes peut donner aux Jedi des indications de motifs, de tendances, mais baser une décision sur l'un de ces futurs est un choix très risqué. C'est Charlie Brown qui suppose, une fois de plus, que Lucy is going to hold the football steady for him to kick. Sauf que cette fois, ce sont des vies qui sont en jeu.

Avec ceci en tête, je suppose que le conseil stéréotypé des Jedi du genre “occupe-toi du présent”, en plus des “fais attention, arrête de rêver”, signifie aussi “ne base pas tes décisions sur ce que tu vois du présent – sinon, tu vas mal tourner.”

Q : Dans ce roman, vous entrez dans des aspects intrigants de la philosophie Sith. Je ne me rappelle pas les avoir vus évoqués avant. Comment avez-vous étendu ou approfondi la philosophie Sith ? Quelles restrictions, ou indications vous a-t-on données ? Et pensez-vous qu'un Jedi pourrait embrasser des aspects des croyances Sith et leurs techniques liées à la Force sans devenir mauvais ou plonger dans le Côté Obscur comme Anakin Skywalker ?

AA : En tant qu'auteur, je dois beaucoup réfléchir à l'éthique personnelle des “méchants” dans mes romans. Je n'aime pas tellement les fous à lier ni ceux qui embrassent volontairement la notion du mal. Ils sont, en un mot, mauvais. Donc les variations que j'ai fait sur la philosophie Sith émergent de ceci – je vois comme un besoin pour de nombreux Sith de créer une philosophie dans laquelle leurs actions sont acceptables, voire héroïques... d'un certain point de vue.

Avec les Sith, nous voyons un “career path” qui les rend capables de crimes et d'atrocités toujours pires au fur et à mesure qu'ils progressent. Typiquement, la méthode humaine pour s'habituer aux atrocités est de s'y insensibiliser, d'en déshumaniser les victimes, et ainsi de suite. C'est normal, mais c'est une vieille technique, alors j'ai voulu quelque chose de différent pour les Sith – suggérer que ceux qui essaient de se placer dans cette éthique le font en se forçant à souffrir avec ceux qu'ils font souffrir, à aimer ce qu'ils détruisent, comme un moyen pour contrôler leurs propres excès.

J'ai aussi voulu suggérer quelques points communs entre les philosophies des Jedi et des Sith, pour mieux montrer leurs différences. Par exemple, si la version la plus extrême de la philosophie Sith implique une rage destructrice, l'abandon de soi à la passion destructrice, la version extrême de la philosophie Jedi serait distante, sans émotion, aurait tendance à se focaliser sur la loi sans faire preuve de compassion, et ce genre de choses… avec la notion que ce fut l'une des erreurs commises par le Conseil Jedi pendant la période prélogique. Je voulais suggérer que tout philosophie prise à son extrémité est destructrice, y compris une philosophie théoriquement héroïque et altruiste comme le Code Jedi.

Je n'ai eu que peu de restrictions. Sûrement parce que nous avons mis ce concept sur pieds en Novembre 2004, à Big Rock Ranch lors d'une réunion avec Lucasfilm, et donc chacun savait ce qui allait être exploré et que chacun allait s'en préoccuper.

Quant à la question de savoir si un Jedi peut embrasser des aspects de la philosophie Sith et rester bon – eh bien, je parie que la réponse est oui, tant que ce ne sont que quelques “aspects” et pas tout leur enseignement. Parfois, je me demande aussi si un non-humain pourrait devenir Sith sans devenir mauvais. Je ne crois pas que ce soit possible pour un humain, à causes des faiblesses de la nature humaine, mais peut-être qu'un alien y parviendrait.

Q : Vador n'était-il pas censé unifier les deux Côtés de la Force ? Il semblerait que cette prophétie ne s'est pas réalisée.

AA : Les unifier... ou leur rendre l'équilibre ? Une grande part de la philosophie de la Force est basée sur la philosophie orientale de notre monde, qui place le yin et le yang à l'opposé l'un de l'autre, et en complémentarité. Apporter l'équilibre semblerait impliquer une influence équivalente pour les deux, plutôt que les mélanger en une sorte de bouillie.

Q : Votre écriture contient beaucoup de détails dans les descriptions du matériel militaire, l'armement, ... Cette accumulation de détails est-elle le secret pour décrire de manière convaincante des objets qui n'existent pas vraiment ?

AA : Je crois que vous êtes la première personne qui me dit ça. Ma tendance naturelle en tant qu'écrivain a toujours été de décrire assez peu l'environnement, si bien que j'ai eu besoin de repasser plusieurs fois sur chaque manuscrit avant d'être sûr que j'ai introduit suffisamment de détails sensoriels.

Mais, oui, j'ai essayé de me mettre à la place du lecteur et d'analyser chaque passage du livre, en me demandant s'il contient assez de détails pour que le lecteur puisse visualiser ce qu'il se passe. Il faut ajouter à ceci la tâche de décrire le matériel qui est déjà familier aux fans de l'univers Star Wars, comme les ailes X, mais qui doivent tout de même pouvoir être imaginées par ceux qui ne le sont pas. Où est le point magique d'équilibre entre les deux ? Je le cherche toujours.

Q : Qu'est-ce qui vous intéresse dans votre travail pour l'Univers Star Wars après tant de livres et d'années ?

AA : Eh bien, il s'agit d'un univers si vaste qu'il y a toujours une nouvelle partie à développer. Et la saga s'étend sur une telle période que nous pouvons étudier les personnages principaux à chaque étape de leur vie et trouver quelque chose d'intéressant.

Regardez Luke, par exemple. Nous avons l'adolescent qui découvre la Force. Luke à une vingtaine d'années, au sommet de sa carrière de pilote de chasse, qui fonde l'Escadron Rogue et l'une des pièces maîtresses de la Rébellion. Nous avons Luke en seul Maître Jedi, qui prend le fardeau de la recréation de l'Ordre Jedi. Luke apparemment condamné, avec une série d'aventures romantiques, à rester célibataire. Puis lorsqu'il trouve la femme de sa vie. Nous avons Luke en tant qu'époux. Luke en Maître d'un Ordre Jedi renaissant, en conflit avec d'autres Maîtres. Nous avons Luke qui lutte pour garder en vie sa famille malgré l'invasion d'aliens qui pourrait détruire la civilisation telle qu'il la connaît. Luke en tant que père. Et ainsi de suite. Chacun de ces Luke peut être le protagoniste d'un ou plusieurs romans explorant ces circonstances. Et ce n'est que pour un seul personnage.

En d'autres termes, il y a toujours du travail pour chaque auteur qui se plonge dedans.

Q : Travaillez-vous sur d'autres projets, liés à Star Wars ou non ?

AA : Oh que oui. Mon emploi du temps est plein, ces jours-ci. J'ai encore deux romans dans cette série à écrire, et d'autres, hors Star Wars, sont sur le feu. J'ai scénarisé, produit et dirigé un film d'horreur à budget très restreint, Deadbacks, actuellement en post-production. Avant, j'écrivais des supplément jeu-de-rôle, et j'ai encore deux ou trois projets dans ce domaine. J'ai également fait un travail préliminaire sur deux livres hors de la fiction : l'un à propos de l'écriture de fictions et l'autre sur la réalisation de films à faible coût.

Parution : 05/06/2006
Source : SW.com / Harrar
Validé par : Dark Bono
Section : Littérature > Comics
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Les 10 premières réactions (voir toutes les réponses) :
  • 06/06/2006 - 9:35
    TF a écrit:Moi je l'ai reçu jeudi dernier, mais il faut encore que je finisse le bouquin que j'ai en cours...

    Perso, j'ai mis le bouquin que j'avais en cours en stand by... :lol: Faut dire aussi qu'il me passionnait pas, alors j'étais plutôt content d'avoir une excuse pour le mettre de côté, même si ce n'est que temporaire. :D

    Vile >> Ah, ces jeunes ! :D

    Avancé un peu, toujours bien. Merci à Allston pour nous avoir apporté son humour particulier (pas aussi subtil que celui de Denning, mais tellement fun :wink: ). Pas le meilleur SW de tous les temps mais c'est vraiment sympa à lire, plutôt du genre à tirer l'UE vers le haut que l'inverse (quand on compare à certains romans Clone Wars, y'a pas photo !). Mais bon, là où j'en suis, pas encore de Lumiya, donc je garde quelques réserves quant au traitement de la philosophie Sith par Allston. Wait & See. :wink: En tout cas, pour l'instant, pas de quoi "foutre en l'air une saga" (dixit Cesba :P ).
  • 06/06/2006 - 11:28
    Ayé ! :) Fini mon bouquin hier soir. J'ai donc attaqué la bête ce matin avant de partir au boulot. J'ai lu les chapitres consacrés à la mission de Jacen et Ben sur Adumar.
    Bien sympa même si, pour l'instant, je suis encore un peu rouillé (un petit moment que je n'ai pas lu de VO) pour juger du style et du rythme.
    A suivre...
  • 06/06/2006 - 18:10
    Je l'ai reçu samedi, mais j'ai pu le lire que dimanche... Et finalement j'ai trouvé ça tres sympa... Je dois dire que j'avais pas mal ralé quand le projet avait été lancé au détriment de la periode TotJ/KoTOR/Jedi vs Sith, et que j'en attendais pas grand chose (toujours les mêmes persos dans les mêmes galères :evil: ) et finalement, ben voila, j'ai plongé dedans et je l'ai engloutit d'une traite. Le premier tome est plutot court, ça se lit vite (Aalston a toujours un style assez direct et concis) mais ça reste assez dense et plutot interessant, principalement pour le prolongement des longues interrogations sur la Force et son utilisations soulevées par le NOJ et Dark Nest.
    Le seul truc qui m'a un poil géné c'est l'engagement pro-Corellien de Han (et Leia par la même occasion), mais ça reste passablement argumenté et somme toute acceptable.
    En gros consommateur de comics, des plus récents aux plus vieux, j'ai adoré voir revenir une de mes "méchantes" préférées, cette bonne vieille Lumiya avec ici un traitement bien ambigu à la Vergere qui donne envie d'en savoir plus. Bien qu'appréciant le perso j'apréhendais un peu son retour pour le lecteur lambda, mais elle est bien introduite avec je crois suffisament d'éléments de son passé pour ne pas perdre un lecteur qui ne se serait jamais penché sur les BD de l'ere Marvel.
    Et puis bon, le retour des Sith dans la GFFA, c'est pas rien quoi

    En tout cas le bouquin m'a suffisament plu pour que j'attende la suite avec plus d'enthousiasme que ce premier tome (que j'ai commandé in extremis alors que d'habitude je m'y prend 6 mois à l'avance). :)
  • 06/06/2006 - 21:22
    Les deux premières pages sont sympas.
  • 06/06/2006 - 21:31
    Les deux premières pages sont sympas.


    :D
  • 06/06/2006 - 21:32
    TAWAK a écrit:Les deux premières pages sont sympas.


    Savoure, c'etait les meilleures :D
  • 06/06/2006 - 22:38
    Merci Harrar pour la traduction !

    Une question : dans quels comics on trouve Lumiya ?
  • 06/06/2006 - 22:46
    Euh la réponse avait déjà été donnée dans un des topics de ce board, faudrait retrouver... ou alors:
    Spoiler: Afficher
    faire un tour sur sa fiche Dossier Force où toutes ses apparitions sont référencées. :wink: :D
  • 07/06/2006 - 8:06
    Je n'ai pas eu le temps de (beaucoup) progresser, fichu boulot ! :)
    Mais bon... je dois avouer que j'ai trouvé que le discours de Han au cours du repas de famille sonnait faux ! J'ai peut-être la mémoire qui flanche mais j'ai eu l'impression de découvrir son attachement (excessif) pour son système d'origine. Le "nous" qu'il employait m'a paru artificiel, de même que son emportement. Quant à son manque de confiance dans l'Ordre Jedi (depuis la mort d'Anakin ???), il ne m'avait pas paru flagrant jusqu'alors... Suis-je passé à côté d'indices semés par Denning dans Dark Nest ? C'est bête à dire, mais je trouve que cette dispute fait très "grosse ficelle scénaristique" nécessaire pour l'histoire mais pas forcément dans la continuité (dans le sens de "cohérence") de ce que l'on connaît...
    Quant aux réserves de Jacen par rapport à ce que lui apprend Luke, ça donne trop l'impression que, par la suite, ses réserves s'avèreront fondées et que, décidément, personne n'apprend du passé
    Du coup, j'espère qu'Allston assurera mieux dans la suite de son développement parce que là, j'ai comme un doute :)
  • 07/06/2006 - 15:12
    TF a écrit:C'est bête à dire, mais je trouve que cette dispute fait très "grosse ficelle scénaristique" nécessaire pour l'histoire mais pas forcément dans la continuité (dans le sens de "cohérence") de ce que l'on connaît...


    C'est ce qui me fait le plus peur dans cette série. A vrai dire c'est flagrant depuis quasiment le début, dès qu'on a eu les premières infos sérieuses sur le backround initial La goute d'eau qui à fait déborder le vase, pour moi, c'est la présence totalement injustifiée de Sal-Solo. Et en plus, il est encore a la tete de Corellia.

    Mais bien sur. Si c'est pas un manque flagrant d'immagination ca.

    Pour ma part, je qualiefierai presque ca de foutage de gueule. Peu importe la qualité (apparente et globale) du premier roman. Je suis quelqu'un de maniaque, mais starwarsment parlant, ca fait longtemps que j'ai pas cherché la petite bete. La, c'est une légion de cafards géants, j'ai l'impression... :(

    Dans le dossier l'UE pour les Nuls, je disais dans la partie consacrée aux romans qu'on vivait peut-être (il y a deux ans, quand j'ai tapé ca) l'age d'or de l'UE. Le déclin est en marche, m'est d'avis....
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