Après
l'Empire contre-attaque, le sommet de sa carrière,
Irvin Kershner a entamé une lente déchéance... Finis les films personnels. A Hollywood, quand on a une fiche, on ne bouge pas de catégorie. On ne fit appel à lui que pour des commandes de science-fiction.
En 1990, ça donne
Robocop 2. Le film ultra-violent de
Paul Verhoeven, brillamment adapté d'un célèbre
comics, devait forcément avoir une suite. On fit appel au vieux briscard. Ca n'a pas aidé à élever le niveau d'une franchise que les producteurs tenaient à garder la plus commerciale possible. Peu glorieuse fin de carrière. :(
On peut s'en rendre compte ce soir sur
Cinecinema Frisson.