J'aime bien l'aspect psychologique dans cet épisode.
Le système ne marche que parce que les prisonniers sont encore convaincus que les règles du jeu sont justes et qu'ils finiront par sortir. On fait appel à un élément de récompense pour qu'ils donnent tout ce qu'ils peuvent, et de l'autre côté, il y a la punition pour les moins motivés. Mais évidemment, the cake is a lie
Par extension, j'aime beaucoup le personnage de Serkis, qui exprime bien cette duplicité. Il est à fond dans son rôle jusqu'au moment ou son monde s'écroule. Le médecin a un tout petit rôle, mais très intéressant et capital aussi.
Dans le monde libre (enfin si l'on peut dire), bonnes discussions du côté de Mothma, que ce soit avec Vel (qui forme une sorte de duo opposé avec elle) ou le banquier qui résout des problèmes financiers avec encore d'autres problèmes. Je sais pas si c'est fait exprès, mais des dette contractées pour rembourser les dettes précédentes, c'est assez courant.
Très sympa aussi au BSI. J'aime bien la méthode de torture, qui est encore plus effrayant en entendant pas nous-même ces fameux cris (j’imagine qu'ils auraient pas réussi à inventer quelque chose d'assez traumatisant), et l'enquête avance mine de rien. Par contre Syril est très bizarre, j'ai l'impression qu'il est amoureux, c'est très étrange et incongru ici.