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Un extrait en français pour le roman The Living Force, de John Jackson Miller !
 
Jedi en mission, reprenez vos discussions
28/03/2024

Bien le bonjour tout le monde !

La sortie de The Living Force, nouveau roman de John Jackson Miller qui promet d'explorer le rôle du conseil Jedi à l'aube de la Menace Fantôme, est imminente, puisqu'il est prévu dans les pays anglophones pour le 9 avril !
Si vous trépignez d'impatience en attendant de vous plonger dans les mots familiers de JJM, voici un bref extrait du roman, juste assez pour donner l'eau à la bouche avec un aperçu de la relation Maître/Padawan entre Qui-Gon et Obi-Wan !

Evidemment, cet extrait contient de très légers spoilers si vous ne voulez rien connaître du roman avant de vous y plonger.

La date de sortie française n'est pas encore connue, mais pour le moment, découvrez cet extrait dans une traduction réalisée par les soins de votre serviteur, après un rappel de la (superbe !) couverture.


Par le passé, Qui-Gon Jinn encourageait son Padawan à profiter des moments les plus calmes de leurs voyages pour aller à la rencontre des gens. Le jeune homme n'avait pas de difficulté à ses faire des amis - Obi-Wan y démontrait même un don naturel. Mais les structures qui transformaient les Novices en Chevaliers Jedi avaient tendance à les isoler, leur donnant ainsi une mauvaise image de leur place dans la Galaxie. C'est la raison pour laquelle Qui-Gon choisissait souvent de voyager à bord de transports commerciaux, comme le mal-nommé Zephyr Royal, l'un des rares vaisseaux pour passagers desservant l'Ootmian Pabol, qui fut autrefois une des routes majeures reliant la Tranche et Coruscant. Un vol interminable à bord d'un vaisseau dont l'odeur rappelait celle d'un compacteur à ordures était à la fois humble, et porteur d'une certaine leçon d'humilité.

A droite de Qui-Gon, des portes s'ouvrirent. Obi-Wan et lui virent un homme hagard entrer depuis les cuisines, portant dans chaque bras un enfant qui se tortillait. Ignorant les deux Jedi alors qu'il passait péniblement devant eux, l'homme s'approcha d'une femme avec laquelle Obi-Wan avait parlé plus tôt. Après lui avoir passé un des gamins, il sortit une pochette de nourriture, une des maigres rations offertes par le concessionaire des cuisines. La famille semblait épuisée et affamée. Ils déchirèrent la pochette et la vidèrent en quelques secondes.

Qui-Gon traversa l'allée et s'approcha des jeunes parents. Il sortit une paire de tickets d'un pli de sa cape, et attira leur attention.

— Excusez-moi. Vous avez fait tomber vos bons de repas.
— Ils sont pas à moi, dit l'homme en le regardant. Je viens d'utiliser notre dernier. 
— Alors ils ont dûs se coller sous votre chaussure. Ce sont des choses qui arrivent, par ici. 

Il jeta un oeil aux enfants affamés, et reporta son attention sur les parents. 

— S'il vous plaît. Il ne faudrait pas les gaspiller. 

La mère méfiante les fixa un moment, avant de prendre les tickets. Elle se leva. Sa fille sur la hanche, elle trotina vers les cuisines. Qui-Gon se retira à sa place. 

Obi-Wan afficha un sourire narquois. 

— Nous sauterons le petit-déjeuner, dans ce cas. 
— Tu ne l'aurais pas apprécié. 
— Vous avez sûrement raison, répondit-il en scrutant les visages maussade autour de la cabine. J'ai peur de manquer encore de ce contact ordinaire, Maître. 
— Toujours à ressasser cette phrase, lança Qui-Gon en secouant la tête. Chaque être est ton supérieur, Obi-Wan. Souviens-t-en, et rendre service deviendra une seconde nature. 
— Je ne me lasse jamais de l'entendre, répliqua-t-il en repérant un autre siège libre, plus près de l'endroit où se tenait les deux Jedi. Retour dans la mêlée, dit-il en se redressant.
— Essaye d'y mettre un peu plus d'énergie cette fois. Les cuisines sont à court de caf.
— C'est comme si c'était fait !

Qui-Gon observa son apprenti s'avancer vaillamment et s'asseoir à côté d'une grande silhouette recroquevillée. Le Maître Jedi l'avait repéré plus tôt, un Houk massif, avec une peau parcheminée bleue, et ni nez ni oreilles apparents. Tout cela n'était plus visible désormais, le passager s'étant enveloppé dans une cape et un capuchon – un choix étrange, compte tenu de la chaleur qui régnait dans la cabine.

— Salut à toi ! lui adressa Obi-Wan en adoptant un sourire facécieux, après avoir vérifié que le Houk ne s'était pas assoupi. 

Ses yeux jaunes perçants s’écarquillèrent. Le colosse grogna et se releva brusquement, dominant Obi-Wan par sa stature imposante. Le Houk jeta sa cape pour révéler un blaster sanglé sur son torse.

Les yeux d'Obi-Wan s'écarquillèrent. 

— Si vous vouliez que je vous laisse traquille, vous n'aviez qu'à le dire.
— Silence ! cria le Houk en se tournant pour faire face au reste de la cabine. Maintenant !

Deux autres passagers encapuchonés se levèrent et se débarassèrent de leurs déguisements. Un Kaltooinien au visage barré d'une cicatrice et un Dévaronien cornu attrapèrent leurs armes. Ce dernier eut son blaster en main en premier.

— Personne ne bouge ! cria-t-il dans un éclat de ses yeux dorés et de ses crocs acérés. 

Qui-Gon vit Obi-Wan commencer à se redresser, puis se raviser. Son Padawan le regarda. Qui-Gon porta sa main près de son sabre laser, toujours caché sous sa tunique, mais lui aussi marqua une pause. Il lança un coup d'oeil, et savait que son élève en comprendrait le sens. Pas d'effusion de sang. Pas avec autant d'innocents autour, n'ayant nul part où se réfugier.

— Qu'est-ce que ça signifie ? demanda un vieux passager. 
— Permettez-moi de me présenter, dit le Dévaronien en secouant son blaster. Je suis le Lambin. Eh oui, ce Lambin là. Ce vaisseau est désormais sous le contrôle du Vil. 

Le Vil. Qui-Gon en avait entendu parler comme étant l'un des nombreux gangs interstellaires actifs dans la Tranche, l'étendue triangulaire colossale de systèmes qui s'étendait des Mondes du Noyau jusquà la Bordure Extérieure. Ce n'était pas un groupe dont beaucoup de gens sur Coruscant avaient entendu parler, et ce n'était sans doute pas le meilleur nom pour engager de nouvelles recrues. Mais les passagers semblaient savoir clairement de quoi il en retournait, au vue de leurs réactions angoissées. 

Le nom sembla perturber quelqu'un d'autre. 

— Le Vil ? demanda le Houk qui se tenait près d'Obi-Wan. Je croyais qu'on faisait ça pour les Crânes !
— Les Crânes ? grogna le Klatooinien à voix basse. On en a déjà parlé, Ghor. Le gang des Crédits Sales payera plus que ces deux là. 
— La ferme Wungo ! cracha Lambin en pointant son blaster vers le Klatooininen. Garde ça jusqu'à ce qu'on en ait terminé.

Les Crânes Fracassés. Les Crédits Sales. Qui-Gon connaissait ces noms. Des opérations d'une pègre régionale qui agissait de plus en plus à découvert. Il déplaça subrepticement la malette métallique avec laquelle il voyageait sous le siège voisin. Il y avait une ouverture ici, le Maître Jedi le savait. Il lui suffisait juste de la trouver. 

— C'est de la folie ! déclara le jeune père en serrant son fils en pleurs contre lui. Nous n'avons rien à voler !
— C'est assez évident, oui, lança Lambin en agitant son blaster vers le plafond. Nous volons le vaisseau. Ghor, tu sais quoi faire, ajouta-t-il en pointant le Houk. 

Ghor attrapa un sac en toile vide sous son siège et se dirigea vers l'allée.

— Toutes les armes vont là-dedans. 

Il s'était détourné d'Obi-Wan. C'était une opportunité, pensa Qui-Gon, mais il était encore trop tôt pour agir. Wungo le Klatooinien se déplaçait aussi, avec son propre sac, récupérant les objets de valeur. 

— Vous venez de dire que vous ne vouliez que le vaisseau ! rugit un passager Rodien.
— La ferme ! aboya Wungo. 
— Qu... que va-t-il nous arriver ? se lamenta un vieux passager.
— On va vous déposer à l'arrêt le plus proche, ricana Lambin. 
— Où ça ? Qu'est-ce qu'il y aura là-bas ? demanda le jeune père. 
— Arrêtez de geindre ! lança le Dévaronien en élevant la voix, visiblement agité. Vous avez de la chance qu'on vous balance pas tous par le sas !

Qui-Gon en avait vu et entendu assez. Les pirates n'avaient aucun plan, ni aucune idée de qui était leur commanditaire. L'amateurisme était souvent synonyme d'imprudence, et amènerait des blessés, s'il n'agissait pas vite et intelligemment. Il lança un nouveau coup d'oeil vers son Padawan et fit un pas pour s'éloigner de la cloison. 

— Mes amis, tout cela n'est pas nécessaire, déclara-t-il calmement, en plaçant ses mains ouvertes face à lui. 
— T'es qui, toi ? lança Lambin en lui lançant un regard noir. 
— Juste un passager qui aspire à un voyage plaisant, répondit-il en croisant les bras. Je ne veux voir personne être blessé. 
— La seule personne qui sera blessée, c'est toi !
— Très bien, héros. Où est ton blaster ? demanda Ghor en pointant son arme vers Qui-Gon.
— Je fais généralement sans. 
— T'es si fort que ça, hein ? s'esclaffa le colosse. 
— Donne une bonne leçon au grand héros, grogna Lambin, et rejoins le cockpit.
— Mais c'est toi qui sait comment piloter, dit Ghor.
— Contente-toi d'obéir.

Les compagnons de Lambin avait commencé à s'approcher de Qui-Gon lorsque les portes des cuisines derrière lui s'ouvrirent. Il jeta un regard en arrière et vit la mère tenant son enfant agité. Elle avança de trois pas avant de voir les blasters se tourner dans sa direction. 

— Leerah, vas-t-en ! cria son mari. 

Prise de panique, elle trébucha sur le seuil et perdit l'équilibre. Sa fille glissa de ses bras et tomba vers le pont métallique. La femme hurla. 

Elle se redressa rapidement, et regarda avec émerveillement ce qui était arrivé à sa progéniture. La fillette était suspendue la tête en bas, flottant dans les airs, si près du sol que ses cheveux le frôlaient.

— C'est une habitude de laisser tomber ses affaires, par ici, dit Qui-Gon, une main tendue face à lui. 

La petite fille ria aux éclats jusqu'à ce que sa mère la prenne dans ses bras. 

Tous les autres dans la cabine fixaient la scène, comme envoûtés, mais les plus captivés étaient indénaiblement les pirates.

— C'est un Jedi ! lacha Lambin, bouche bée.
— En réalité, c'est même un Maître Jedi, lança Obi-Wan en se levant de son siège. Et pas n'importe quel Maître Jedi. On lui a déjà proposé de siéger au Conseil Jedi. Vous savez ce que ça implique ? 

Son froncement de sourcils indiqua qu'il le savait en effet. 

— Ce sont les meilleurs... les boss.
— Alors qu'est-ce qu'il fiche ici ? demanda Ghor en fixant Qui-Gon. 
— Il a refusé, répondit Obi-Wan. Il pensait que ça l'éloignerait de sa principale activité. 
— Qui est... ?
— La sécurité des aéronefs commerciales. Il n'y a jamais eu un seul détournement sous sa garde. 
— La sécurité ? grogna Ghor. Les Jedi ne font pas ce genre de choses. Ils ne le font pas , n'est-ce pas ? demanda-t-il en se tournant vers le Dévaronien. 
— Bien sûr que non, ricana Lambin. Les Jedi se préoccupent à peine de cette route ces derniers temps. 
— Et pourtant, nous sommes là, dit Qui-Gon. 
— Vous avez vu comment il l'a faite flotter ? bafouilla Wungo alors que ses yeux passaient de Qui-Gon à la fillette qu'il avait sauvée. Je ne savais pas qu'ils pouvaient faire ça.
— Les Jedi sont rarement très démonstratifs, dit Obi-Wan en avançant d'un pas. Mais les nouvelles circulent vite. Je suis sûr que vous avez entendu les rumeurs. 
— Quelle rumeurs ? demanda Lambin, perplexe. 
— Celles qui parlent des pouvoires secrets des Jedi. Certains sont assez incroyables. Ils peuvent vous débarasser de votre arme en à peine quelques mots, par exemple. 
— Ah bon ? grogna Ghor en resserrant sa poigne sur son blaster. 
— Je n'en ferai rien, annonça Qui-Gon en secouant la tête. Ni ça, ni rien de plus... tape-à-l'oeil. 
— Comme quoi ? s'interrogea Wungo.
— Ne vous en faites pas pour ça, répondait Qui-Gon en joignant ses mains. Quelle est le nom de la planète où vous comptiez débarquer tout le monde ? 
— Randon, répondit lambin. 
Formidable. Je m'assurerai que le pilote s'y arrête. Vous y débarquerez tous les trois, et vous y trouverez un moyen de retourner là d'où vous venez. Dans un vaisseau sur lequel vous avez la permission d'embarquer, ajouta-t-il en levant un sourcil. 
— Débarquer ? répéta Lambin.
— Ca veut dire foutez le camps, lança Obi-Wan. 
— Je sais ce que... commença le Dévaronien avant de s'interrompre et de s'esclaffer. On ne quittera pas de ce vaisseau. 
— Oh je pense que vous voudrez le quitter. 
— Et si on reste ? 
— Ce serait une alternative... fâcheuse, dit Qui-Gon. Mon collègue peut en attester, ajoutat-t-il en se tournant vers Obi-Wan. 
— Vous êtes collègues ? demanda Ghor en suivant le regard de Qui-Gon. 

Obi-Wan s'inclina. 

— Un autre Chevalier Jedi ? demanda Lambin.
— En quelques sortes, répondi- Obi-Wan en agitant sa tresse de Padawan. C'est compliqué. 

Lambin jura en regardant autour de lui. 

— Génial. Il y en a d'autres comme ça ? 
— Oublie ça, le coupa Wungo. Je veux en savoir plus sur cette "alternative fâcheuse". 
— Je n'en suis pas si sûr, répondit Obi-Wan avec une appréhension manifeste. Maître, dites moi qui vous n'envisagez pas de faire ce que je crois ? Je n'ai pas envie de devoir nettoyer ensuite, ajouta-t-il en grimaçant et frissonant. 
— Je n'ai pas dit que c'était quelque chose dont j'avais envie, dit Qui-Gon en secouant la tête. C'est un dernier recours. 
— Un autre tour secret des Jedi ? s'interrogea Lambin. Pourquoi est-ce que je n'en ai jamais entendu parler ? 
— Excellente question ! dit Obi-Wan. Quelles seraient les raisons pour que tu n'en ai jamais entendu parler ? 
— Il n'existe pas !
— Ou bien... ?

Les trois pirates mirent un moment à cogiter. Wungo assembla les pièces en premier. 

— Personne n'y a jamais survécu ? 
— Certainement. Je devrais même dire, assurément, ajouta Qui-Gon en lançant à Obi-Wan un regard inquiet.
— Et même si vous y surviviez... je ne souhaite vraiment ça à personne, murmura Obi-Wan dans un haut-le-coeur. 
— C'est bon, je me tire, lança Wungo en baissant son blaster. 
— Ouais, continua Ghor en suivant le mouvement. J'arrête là. 
— Mais de quoi est-ce que vous parlez ? hurla Lambin, hors de lui. Vous bossez pour moi. On a qu'à les buter !
— Ou alors on te bute toi, aboya Ghor en levant à nouveau son blaster, cette fois vers Lambin. Qui a décidé que ce serait toi le chef, d'abord ? 
— Il n'y a pas besoin d'en arriver là, l'interrompit Qui-Gon en levant les mains. Il y a un autre moyen. 
— Pour commencer, nous aurons besoin de ces armes, ajouta Obi-Wan en tendant une main vers Ghor. Pour les mettre sous bonne garde. 

Un extrait présentant donc une forme de complicité Maître/Padawan, où les deux Jedi se jouent d'un piètre groupe de pirates, cherchant à les intimider plutôt que de provoquer un bain de sang... la caractérisation très calme de Qui-Gon et celle plus espiègle d'un jeune Obi-Wan me semblent très bien retranscrites, ça fait toujours plaisir de voir ces deux là interagir, mais j'avoue que le roman m'attire davantage pour les membres du Conseil Jedi !
(on remarquera en revanche qu'avec le temps, Obi-Wan a un peu oublié les enseignements de son maître... "Pas d'effusion de sang. Pas avec autant d'innocents autour, n'ayant nul part où se réfugier", il prendra pas autant de précaution quand il s'agira de découper des bras au beau milieu d'une cantina, en pleine période d'occupation impériale...)

Rendez-vous sur le forum pour discuter de ce futur roman, et à très bientôt !

Parution : 28/03/2024
Source : le site officiel
Validé par : Adanedhel
Section : Littérature > Romans
On en parle sur nos forums
 
Les 10 premières réactions (voir toutes les réponses) :
  • 28/03/2024 - 14:50
  • 28/03/2024 - 17:09
    Merci pour la trad :jap:. Juste un détail : aéronef :? ? Je dirais plutôt astronef dans SW, non ? :)

    Et le bras coupé dans ANH, il y a bien longtemps que les fans et l'UE s'efforcent de l'oublier :D
  • 28/03/2024 - 17:49
    GTZL1 a écrit:Merci pour la trad :jap:. Juste un détail : aéronef :? ? Je dirais plutôt astronef dans SW, non ? :)

    C'est le mot que j'avais en tête oui, mon clavier a fourché :paf:
  • 04/04/2024 - 18:45
    On continue avec les extraits : en voilà 2 autres, bien évidemment en VO ! :)

    Spoiler: Afficher
    After collecting intel on increasingly severe pirate activity in a desperate part of the galaxy, Jedi Master Depa Billaba goes undercover to investigate, operating under a secret identity, the thief known as "Hotwire." As she works to infiltrate the pirate gangs, she meets a young thief named Kylah.

    Where is that girl?

    Depa Billaba didn't know the answer, but it was far from the only question on her mind. The impromptu Jedi Council meeting had given her a lot more to think about. It was the first time she’d ever attended one while seated in the cargo area of a speeder truck. At least now she was in the front seat, though she was still in the dark, both literally and figuratively.

    The Slice extended inward from Hutt space, stretching along the trade routes toward the Core like a dagger pointed at the heart of the galaxy. No sensible Hutt would act directly in the region, but all the local privateers seemed to be auditioning for jobs with them, banking on a future without the Republic and the Jedi to interfere. The Hutts were inevitable, the thinking went. It was just a matter of time before the gangs in the region became their subsidiaries.

    But tantalizing intel had been developed by a student Depa had once tutored, the late, lamented Xaran Raal. One pirate band in the region alone had no ties to the Hutts at all, overt or otherwise: the Riftwalkers. The newest and, from all reports, the most intrepid of the gangs, led by someone called Zilastra. Most in the local underworld knew her name, if little beyond that — other than that she played for keeps, while also reportedly playing a blisteringly good game of sabacc.

    Depa had committed to remedy that lack of information. There was no question of a single Jedi, even a member of the Jedi Council, bringing a multiplanet operation like the Riftwalkers to justice. But the leader of such a group could not remain a cipher. Maz Kanata, who had ruled from her castle for centuries, had shown that a pirate state was not always the worst neighbor to have. Whether a "Queen Zilastra" would be another Maz was in the vital security interests of the Republic to know.

    And Depa's best connection to find out was twelve years old. And running late.

    Where is she? Depa checked the vehicle’s monitors for the umpteenth time before deciding to stand outside the vehicle. This must be what it’s like to be a parent waiting to pick up a child.

    Then again, the trash-filled backstreet outside the spaceport after midnight was no educational institution, and Kylah was no student — unless larceny was the subject. And the blaster shots Depa now heard signaled that school was still in session.

    "Hotwire!" Kylah yelled.

    Depa saw the girl dashing toward her through the darkness, a big bundle in her hands. Behind her, the alley was lit with red searchlights emanating from the bodies of at least half a dozen droids. They were private patrol units — light on intelligence, heavy on aggression. They shouted in unison, their voices amplified: "Halt, thief!"

    Depa had her blaster out in an instant. The droids disregarded her warning shots, charging ahead while a frantic Kylah raced for the speeder truck.

    Knowing that using her lightsaber would blow her cover, Depa reached out through the Force and brought a wave of abandoned shipping containers into the droids’ paths behind Kylah. The girl didn’t see the feat, but did benefit from it, reaching the hovertruck just as Depa opened its passenger door.

    Kylah shouted, "Go, go, go!"

    "Get down!" Depa yelled. Blaster shots peppered the side of the closed door, which Kylah shrank behind. The Jedi herself was already on the move, making for the driver’s side. Within seconds, the speeder was in motion.

    "Look out!" Kylah yelled as two of the droids blocked their path.

    "Hang on," Depa shouted. Gripping the control yoke, she plowed the vehicle right through the attackers. Red lights pinwheeled as the droids went flying noisily end-over-end. Blaster shots continued to strike the vehicle’s frame — but from behind, as she gunned it forward.

    Doubled over the large cloth sack she was carrying, Kylah cheered. "Whee! That was fun!"

    "Not the word I’d use." Depa accelerated until she could no longer see the droids behind her. "We're clear," she announced.

    The girl looked up — and smiled. "Home. No running lights."

    "Got it." Depa took a breath. Squinting in the darkness, she regarded the bundle in Kylah’s lap. "Get what you were looking for?"

    "You don’t need to know."

    Depa straightened. "Whatever you say."

    As the vehicle drove farther from the spaceport, Kylah relaxed — and said a lot more. "I was perfect."

    "You were?"

    "Going in is never a problem. I wait until dark and hop over a fence. Then I shimmy up this post with a rotating security cam—"

    "You climb a post with a cam on it?"

    "Isn’t it great?" Kylah practically bounced in the seat, pleased with her cleverness. “Just below the cam I can hop onto this roof nearby—where there’s a vent that’s about this size.” With her hands, she traced a shape that wasn’t much larger than the sack she was holding. "I slide down, and I'm inside."

    "And you came out with that."

    "Yeah, but I can only grab one in a trip, and there's only ten minutes each day when I can get in the stockroom, during the shift change."

    "Looks like they noticed this time."

    "Only on the way out. As long as I can keep getting in, we’re in business."

    Unsure what the business was, Depa eyed the sack. "Must be worth a lot."

    Kylah laughed. "That, you really don’t need to know."

    "You're the boss."

    ***

    In the days since Depa’s arrival on Keldooine, the Jedi had insinuated herself into the life of the largest megalopolis. Finding a way into its burgeoning underworld hadn’t been easy. Competition among various pirate bands had driven all of them into defensive stances, making them paranoid about newcomers. Posing as a speeder thief for hire had gotten her no ins at all. The only thing close to a break had come from her chance rescue of a child on the street being chased by bandits. Realizing Kylah was a courier for the Riftwalkers, Depa had made herself indispensable as driver and bodyguard, to the point where Kylah offered to share her hovel with the woman she called Hotwire.

    Depa parked behind it and exited, checking the alley for threats. Before she was done, Kylah bounded out. She worked a lock and let them both inside a darkened flat, abandoned by one of the many residents who had left Keldooine in a hurry.

    As she had after her other nightly forays, the girl carried her sack toward a storage room. “Back in a minute.”

    "Right." Depa locked the door behind them — and quickly slipped next to the opening Kylah had entered.

    She listened—and heard Kylah speak. "Wowee bowee zip zap shoo!"

    Depa tilted her head. It was a child’s phrase, nonsense. But then she heard a mechanical voice from the storage room. "Lock phrase initialized." A light click followed.

    There was no time to think about it. Depa quickly stepped away from the aperture and made a show of double-checking the front door.

    She looked back to see Kylah throwing the empty bag on the floor. "I’m a sweat monster. I’m going to change."

    "You have had a long day."

    After she saw Kylah disappear into her personal space, Depa crept into the storage room. The girl’s apparent prize sat upon a table: a carrying case with an emblem on its side. A chalice inside a star.

    Depa began to understand. It was from one of the passenger lines—Regal Voyager. The case had weight, she found on lifting it, but did not make noise when she shook it. It was also locked tight. She wondered about the contents. Money, gems, weapons? Or something worse?

    Examining the mechanism, she understood what Kylah had just done. "Hope I get this right," she whispered, before speaking to the case itself. "Wowee bowee zip zap shoo."

    The lock clicked and the case sprang open. Depa flinched, on her guard—but there was no threat. Indeed, there was nothing inside at all. Struck curious, she lifted the container again. The heft, she realized, came from the interior plating that worked as a countermeasure against scanners.

    It took no trained Jedi senses to know Kylah was almost ready to return; the girl made so much noise at home it was hard to believe she was a successful burglar—much less Depa’s best hope to connect with her quarry, the Riftwalkers. Depa quickly shut the case and exited the room.

    Kylah appeared in brighter, lighter clothes than her work garb. "Let’s go eat. They're still serving at Jammah's Place."

    "A restaurant? Kind of expensive, isn't it?"

    "You're buying. I just paid you, remember?"

    Her memory jarred, Depa nodded. "I left the money in the truck."

    "Some pro you are." Kylah laughed as she unlocked the door. "Stick with me. You’ll learn!"

    Depa watched the girl head back into the alley. That had been their dynamic: someone the age of a young Padawan, treating her as the student. But the kid's loose talk had already told Depa a lot, and she sensed that it would pay to continue playing her part.

    Closing up the flat, the Jedi noticed that a message had come in on her muted comlink while they were driving. It was from Mace— a lengthy hologram, the timecode advised. Depa decided to wait to watch it until she was alone again. Odds were it was just more about the closure of the outpost at Kwenn. That was one debate her mind was made up about. She was already seeing what life was like in a place without Jedi. Homes became hovels—and children became gangsters.

    But out here, I can do something about it.

    "You coming?" Kylah called out, already in the passenger seat and holding up Depa’s credit pouch. "Another minute and I'll start emptying this. If I don't eat it first!"

    "On my way." Depa pocketed the comlink and made for the truck.


    Spoiler: Afficher
    You can’t have a meeting of the minds if nobody attending has one.

    Zilastra had coined the saying early in her career, and it had come in handy far too many times in the decade since. But this was the first time she’d thought of it in the middle of a firefight.

    Blaster shots sizzled through the air in the corridor of the freighter Morleen, bright lines never to be crossed. Even peeking around the corner was death. All Zilastra could see from her side passage was the opening across the hall, where her second-in-command had just noticed her arrival. A Feeorin, Burlug had head-tendrils like hers; his were blue, while hers were Nautolan green. But he was a much bigger target. Burlug yelled over the incoming fire, “Stay back, Zil!”

    “Luggy, what’s the story?”

    “Tal and Krins got it. Our surprise guest popped ’em as soon as they started to parlay.”

    “Saves me from killing them,” Zilastra replied. So much for trying for a peaceful meeting. Her anger grew. A boarding action, in my own port. What a mess!

    Intake was one of the simplest tasks her crew was expected to handle. In the safety of one of her own landing facilities on Keldooine, newly captured spaceships got the once-over. Valuable cargoes were located and removed, while another team evaluated the vessel’s condition using a checklist that would have been the envy of any Republic bureaucrat.

    Before all that could happen, however, the ship had to be secured. Capturing and rerouting a large vessel was a hectic affair, and rarely was there time to clear all the occupants while in flight. That tended to just be a formality once in port, where the numbers favored her forces. From there, it progressed as it had since the dawn of piracy. Most captured crewmembers tended to switch sides without much fuss. Joining up was better than unemployment—or a violent death. Even presumably loyal captains of commercial liners would flip once a little pressure was applied.

    But owners of independent freighters like the Morleen were a different breed: protective of their vessels, and even more in love with their own stories of themselves. One legend-in-his-own-mind after another had refused to give up the ship, some hiding in the ductwork for days, waiting their chance to get taken down by her forces.

    Or to do a little damage of their own.

    With shots continuing to crackle past, Zilastra adjusted her gloves first, and then drew her blasters. Thermal detonators would be of no use—they’d damage the freighter. And a gas bomb would simply mean an even longer delay before intake could begin. No, this would have to be done the hard way, before—

    The shots stopped.

    Burlug looked back at her. “Don’t. It’s a trap.”

    “You think?”

    She heard the cockpit door close—and seconds later the low thrum of the freighter’s engines starting. The owner’s still trying to save the damn ship!

    Fortunately, there was an option Zilastra had ignored while all the shooting was going on: the intercom, on the wall beside her. She holstered one of her blasters and activated the communications device. “Hey, listen. Up in the cockpit.”

    Static. Then a husky voice. “I’m not talking to you. Get off my ship!”

    “Yeah, I hear that a lot. I’m Zilastra.”

    A pause. Then the speaker sounded. “You’re Zilastra? Of the Riftwalkers?”

    “I’m glad you’ve heard of me. That means you know what I’ll do.”

    Silence followed. Burlug shook his head. “I don’t think—”

    Wait, Zilastra mouthed. It usually took ten seconds.

    The freighter owner was ready in five. “Let me keep the Morleen.”

    “The what?”

    “This ship. It’s mine. Just take the cargo.”

    Zilastra had heard that one before, too. “What are you carrying?”

    “Tanks of industrial acid. Four million liters, bound for Introsphere on Gorse.”

    Ehh. Zilastra’s green mouth crinkled.

    Still, the engines were really starting to rev. She toggled the intercom. “Okay, you’re in luck. We happen to have a buyer for that right here on Keldooine.”

    “And?”

    “I’ll give you one of the tanks. You sell it, you can find your way offworld.”

    What?” The owner was clearly caught off guard. “No! I want my ship!”

    “The offer stands. The Morleen is mine. You want to negotiate, next time get caught by a used starship dealer.” She listened to the engines. “If your ship clears the facility, my people will shoot it down, with me in it.”

    “What? You’d really order that?”

    “I thought you’d heard of me before. You’ve got ten seconds.” Zilastra snapped off the device and redrew her other blaster.

    It took the owner all ten seconds to see reason. The engines died. And when the door to the cockpit slid open, the owner died, too—shot once by each of Zilastra’s blasters set to kill.

    Burlug stepped out and stared at the corpse, which now rested beside the bodies of Zilastra’s two former henchmen. “Good old Zilastra. Smile and shoot.”

    “She was wasting time.” Zilastra holstered her weapons. “Get her out of here.”

    Nearly twice Zilastra’s weight, Burlug had no trouble at all picking up the pilot’s limp body. “Where to?”

    Zilastra pointed a thumb aft. “She owns one of those acid vats in the hold. A deal’s a deal.” She glanced at the corpses of her fallen henchmen. “Them, too.”

    “Got it.”

    Zilastra wanted a bath, herself—if in something a lot less dangerous. Nautolans were at home near water, and while her job kept her in space, Zilastra liked a good soak. But there was more yet to do. “Luggy, where was she hiding?”

    “Under the heat exchange manifold. Snuck into the cockpit past everyone.”

    “Just great.” This wasn’t supposed to happen. Zilastra looked from side to side. “Where’s the kid?”

    She started to reach for her comlink—and decided instead on the ship’s public address system. Her voice boomed through the halls. “Kylah Lohmata! Show yourself!

    A metal bulkhead panel behind Zilastra shot outward, landing on the deck with a clang. A dark-haired human girl of twelve slipped out of a space barely a meter tall. Her face and clothing were completely covered in grease smudges—and her wide brown eyes beamed as she saluted. “Reporting, Your Majesty!”

    Zilastra waved a gloved hand. “I’m not in the mood. I’ve got two dead because of a pilot we missed. Checking crawl spaces is your job!”

    Kylah got to her feet. “I found something else. I knew you’d want to see it.”

    “And you thought the way to reach me was to crawl here?”

    “People were shooting.” Kylah lifted the panel she’d just knocked out. Like most of the corridor, it was pocked with score marks from the pilot’s blaster. The kid smiled wide. “Come on! Follow me down to the hold!”

    The wiry girl dived back into the maintenance tunnel before Zilastra could grab her. Kneeling, she saw Kylah clambering like a rodent through the tunnel. Unable to fit, Zilastra shouted inside. “What’s the matter with taking the stairs?”

    Shortcut!

    Seething, Zilastra heard a comment from above. “Smart kid.” The pilot’s body over his massive shoulder, Burlug snickered at his boss. “Saves her from getting chewed out. I’d follow if I could fit!”

    “Get to the hold before I liquidate the lot of you.” Zilastra watched him pass and turned to follow. The long way to the hold, down the halls.

    There was no place in Zilastra’s life for children of her own. It had been hard enough starting the Riftwalkers from the castoffs of the four other gangs working this sector of the Slice. Yet somehow she had become a kind of surrogate parent for Kylah. The foundling had been a stowaway on a merchant ship Zilastra had grabbed; with nowhere to go, she’d stayed on. The skinny kid’s talent at getting into places no one else could and finding things no one knew to look for had made her handy to have around.

    Still, given all the would-be lieutenants wanting to impress her all the time, an incorrigible orphan made for a change of pace. Kylah was all striving, with none of the conniving. Zilastra wasn’t exactly alike in that, but she certainly knew what it was to be on her own—and she respected performance. She’d lately entrusted the stowaway with a very special project, in fact.

    She was beginning to doubt the wisdom of that when she arrived in the hold. True to the late captain’s word, freestanding tanks stood in the wide area. They were bolted to the deck, and the only way to drain them was at a reservoir facility, using the proper equipment. That was why Zilastra instantly had known the prize was less than useful.

    “No kid,” Burlug said. “I was sure she’d beat us here.”

    Zilastra’s blood boiled. “Stowaway!

    “I’m up here!” came a voice from high above.

    Zilastra looked to the top of one of the tanks. Somehow, Kylah had gotten up there and was perched next to an opening in the massive container. “What’s the idea?” Zilastra asked.

    “You’re going to want to see this,” Kylah said. “I’m not the only stowaway on this ship!

    On se rapproche de la sortie, toujours prévue pour le 09/04 prochain !
  • 23/04/2024 - 8:26
    J'ai commencé à le lire en VO et on tombe sur easter egg innatendu, mais alors c'est vraiment improbable ....
    Je mets le passage en spoiler :
    Spoiler: Afficher
    “If there’s a proper navy someday, young Veers here will be in charge of it, mark my words. I have so many people who can tell you what’s already happened that I could start a holofeed.”
  • 18/05/2024 - 9:18
  • 24/05/2024 - 20:26
    C'est parti. :love:

    ImageImage
  • 26/05/2024 - 22:28
    Fini lundi, y a de quoi de discuter
  • 30/05/2024 - 17:55
    Fin d'une lecture assez chaotique qui m'a empêché de savourer (ou pas) le roman. Donc mon conseil de lecture sera de lire le roman d'une traite et de ne pas faire de pauses d'une semaine entre deux sessions de lecture. :transpire:


    Le Conseil Jedi est englué dans les plans de restructuration de l'Ordre, quel temple faut-il fermer? quel personnel faut-il virer? quel impact sur le public aura la fermeture de ce service? Au-delà de ce côté réforme d'une administration très sympa à lire, ce sont les liens avec l'époque de la Haute République (et je dis bien l'époque, pas la peine d'avoir lu les romans car il n'y a pas de référence directe) qui m'ont fait apprécier cette première partie du roman. L'atmosphère crépusculaire par rapport à la HR est très bien rendue.
    Ensuite, le Conseil Jedi s'installe sur la planète Kwenn et c'est malheureusement là que j'ai décroché. Malheureusement ma lecture a été interrompue et je n'ai pas réussi à accrocher ni à la planète (pourtant le thème de "territoire abandonné" était intéressant à suivre après celui de la "restructuration") ni aux leçons de la Force que chaque maitres Jedi donnaient/recevaient. Seul le destin d'un Jedi m'a fait tenir... et iel ne se trouvait pas sur Kwenn :transpire: Du coup je n'ai aucun avis sur l'objet principal du bouquin et je n'ai pas put apprécier le développement des différents Jedi. Peut être qu'un jour je relirai le roman si vos avis sont positifs.
    Enfin, la troisième partie, purement de l'action, est bien sympa lire. Sauf que, dis-donc, ce que nous raconte ce roman ce ne serait pas la même chose que nous raconte les 15 romans, 10 comics et 5 audiobooks de la HR :chut: On a donc (gros spoil) une pirate qui veut s'approprier un territoire de la République comme Marchion Ro parce que comme la Mère elle a été traumatisée très jeune par des Jedi venus prendre des enfant. :paf:

    J'ai bien aimé les plans de la méchante et les parallèles avec le sabacc est une bonne trouvaille de Miller. J'ai également apprécié les trois antagonistes de QuiGon/Obi (je pense qu'ils vont diviser :think: ) et l'humour en général, même si c'est quelques fois asse pataud, tout comme les nombreux clins d’œil au reste des œuvres SW- même si pareil, parfois un peu trop appuyés.
  • 30/05/2024 - 23:04
    J'en parlerai dans ma critique mais ce roman c'est littéralement 30% des comics Marvel :
    Chaque chapitre un maître vit sa propre petite aventure sur la planète
    Au début et à la fin y a un fil rouge
    Et dans le dernier chapitre tout le monde se réunit pour conclure le fil rouge.

    C'est littéralement les comics d'anthologie Marvel avec des mini histoires et un fil conducteur. Je comprends pas qu'ils se soient embêté à en faire un roman :chut:
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